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Le 5 octobre, le sr Philippe Lallemant, de l'Académie
royale, et François Sicre, maître peintre, sont appelés à
faire l'estimation des tableaux, opération qui prend trois
séances. Charles Du Laurent, bourgeois de Paris, est
chargé de celle des estampes. Au cours de ces opé-
rations, Hercule Le Breton vient réclamer une somme
de i,5oo livres pour une médaille du sr Le Nostre qu'il
avait été chargé de graver. L'inventaire des papiers exige
six vacations. On termine par les médailles et les bijoux.
Le tout se termine le 19 octobre sur un débat entre la
dame Le Nostre et le sr Claude Desgots au sujet de cette
charge de Contrôleur général des Bâtiments du roi, dont
le défunt avait fait don à son neveu le 18 octobre 1698,
comme on l'a vu plus haut. Il paraît que la dame Le
Nostre ignorait cette libéralité. Peut-être ne s'entendait-
elle pas très bien avec le neveu appelé à partager avec
elle la succession de son mari.
Le 5 octobre, le sr Philippe Lallemant, de l'Académie
royale, et François Sicre, maître peintre, sont appelés à
faire l'estimation des tableaux, opération qui prend trois
séances. Charles Du Laurent, bourgeois de Paris, est
chargé de celle des estampes. Au cours de ces opé-
rations, Hercule Le Breton vient réclamer une somme
de i,5oo livres pour une médaille du sr Le Nostre qu'il
avait été chargé de graver. L'inventaire des papiers exige
six vacations. On termine par les médailles et les bijoux.
Le tout se termine le 19 octobre sur un débat entre la
dame Le Nostre et le sr Claude Desgots au sujet de cette
charge de Contrôleur général des Bâtiments du roi, dont
le défunt avait fait don à son neveu le 18 octobre 1698,
comme on l'a vu plus haut. Il paraît que la dame Le
Nostre ignorait cette libéralité. Peut-être ne s'entendait-
elle pas très bien avec le neveu appelé à partager avec
elle la succession de son mari.