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ai,ls de l'époquef."^
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3sez beaux et aVet Hl"
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fès simple :|ans w ,
™ se dérouler 1^ Jj
s XIV pour Mlle de if
leune fille d'honne^'
dames de la cour „ ll(

î-oiPresquri;;;

dle-meme aperçue '
oniesquise répandent,
»t couverte d'affronls !
reine-mère, ets'apj
Louis XIV arrive, K

tlajeune fille d'honn i
'âge et la qualifie du ag

'est plus désormais un *
mmandé à Molière ul
«être joué à Versailk,
-esse d'Elide, offre sous le
es et antiques l'image f,it
et de la nouvelle favorite
drame de M. Adolphe h
:tte fête de Versailles, pi
uns curieux, nous offre lé
it asseoir à sa table Pop.,
int en ouire de débiter»
tre les grands seigneurs qui
un jeu d'humilier le mari
plus beau que vrai,
triste fin des amours di
)as de constance. En iuèist
Duleurs de l'âme, Mlle Li-
lites, Molière, brisé par le
e sur la scène, où il n

i sur les qualités littéraire!
ièce de M. Adolphe Dumas,
le plus mérité. Néanmàj
is silence le jeu des artiste
bué pour une bonne parti
Lavallière. Frédérick a «
rôle si difficile de Molière;
t rôle qui est une créai»
t Louis XIV convenable,
(■mante Lavallière, dont Ij
inction.

pièce est très soignée et s

iéra-Comique.

r, opéra-comique en l a*
ique de M. Ambroise 1»

d'après le titre du nom»!
'une fable empruntée à 11-
an de chevalerie. Krreur.
;rs, mais de cordonniers,
e dirons pas sur lapon
.ointe d'un d'un soulier,1
ue probablement l'ante»
vec un pareil fonds de

ans les formes. . .
mvre cordonnier qu'!10"
;sous le règne de Louis-
lin nommé Muguet;
mie mieux que son J
.tervenudanssesaj. (
luguet était d'abor d

îre adoptif; m^MlW'

(La mte à la Vf*'

SALON CARICATURAL 1)1 18*3

;ïamùet Elit1 TUu Croissant,^ .

COUTURE .]

IN TROUVER E

o-uo - m'hô nange
Mo - no - m ' liô nange,
Jamé le guieur ne change
l'amour d'un jour,
L'amour d'unjoui-
Ce n'est "pas de l'amour .