■vainqueurs, ni vain- Toute dépeinte !...
Usl- Tous
ruines !
On l’a tellement em
brassée
LE SOLDAT
DE MARATHON
r—Onne saura jamais —Polis!... Ah! la la! Comme
à quoi j’ai employé mes dit le poète du troisième : elle
étrennes et mes jours est finita, la coumédia, fouchtra!
de congé.,. Si, le phar-
macien le saura !
DE S0N AM0UR rOlJH LES CADEAUX
A VOULU PRENDRE A L’ÉTALAGE
est dur, de
des étrennes
roir * vous saviez ce que c
:t de ^ie- monde donner de
en jamais recevoir!
— Tu as cassé ton polichinelle?
Te voilàMnen avancé!
— L’an dernier, tu m’as
donné un livre et tu t’es fâ-
chée parce que je ne l’avais
pas ouvert!
— Pouvez-vous me reprendre
cetteîipoupêe? Elle a ôté achetée
ici vingt-cinq francs.
— Parfaitement... pour qua-
rante sous!
— Plus d’argent, polisson? Il faudrait pour-
tant s’entendre!... Qu’avez-vous fait de la pièce
de cinquante centimes qu’on vous a donnée au
.lourde l’An?
6+^7 Etque sont devenus les bonbons qui
*e®t sur la cheminée?
ns sont devenus... des coliques.
-ïfif
— C’est le baron de Cornemuse.
— Je vois ça d’ici... Il voudrait ren-
trer dans ses étrennes!... Dis-lui que
je n’y suis pas! ëaggl
— Monsieur... vous
me devez cette note
depuis trois ans !
— Comment ! vous
ayez le toupet de ve-
'l nir au lendemain du
Jour de l’An?
— Dans tout cet escalier-là, ils se sont
conduits comme des pingres ! Aussi ceque
j e leur en colle, des peaux d’orange 1
Êênp1!8 ont rac^é sur les étrennes; aussi je ne me
Pas pour cracher dans les plats 1
— Unlotde cartes de visite!... Ça, doit avoir été
jeté par un philosophe, qui sait à quoi s’en tenir !
Ah! ces hommes !... Quels mufles . Ernest m an-
nonce une broche de trois cents francs... Je 1 ai portée
au clou !... On voulait me prêter cent sous !
Usl- Tous
ruines !
On l’a tellement em
brassée
LE SOLDAT
DE MARATHON
r—Onne saura jamais —Polis!... Ah! la la! Comme
à quoi j’ai employé mes dit le poète du troisième : elle
étrennes et mes jours est finita, la coumédia, fouchtra!
de congé.,. Si, le phar-
macien le saura !
DE S0N AM0UR rOlJH LES CADEAUX
A VOULU PRENDRE A L’ÉTALAGE
est dur, de
des étrennes
roir * vous saviez ce que c
:t de ^ie- monde donner de
en jamais recevoir!
— Tu as cassé ton polichinelle?
Te voilàMnen avancé!
— L’an dernier, tu m’as
donné un livre et tu t’es fâ-
chée parce que je ne l’avais
pas ouvert!
— Pouvez-vous me reprendre
cetteîipoupêe? Elle a ôté achetée
ici vingt-cinq francs.
— Parfaitement... pour qua-
rante sous!
— Plus d’argent, polisson? Il faudrait pour-
tant s’entendre!... Qu’avez-vous fait de la pièce
de cinquante centimes qu’on vous a donnée au
.lourde l’An?
6+^7 Etque sont devenus les bonbons qui
*e®t sur la cheminée?
ns sont devenus... des coliques.
-ïfif
— C’est le baron de Cornemuse.
— Je vois ça d’ici... Il voudrait ren-
trer dans ses étrennes!... Dis-lui que
je n’y suis pas! ëaggl
— Monsieur... vous
me devez cette note
depuis trois ans !
— Comment ! vous
ayez le toupet de ve-
'l nir au lendemain du
Jour de l’An?
— Dans tout cet escalier-là, ils se sont
conduits comme des pingres ! Aussi ceque
j e leur en colle, des peaux d’orange 1
Êênp1!8 ont rac^é sur les étrennes; aussi je ne me
Pas pour cracher dans les plats 1
— Unlotde cartes de visite!... Ça, doit avoir été
jeté par un philosophe, qui sait à quoi s’en tenir !
Ah! ces hommes !... Quels mufles . Ernest m an-
nonce une broche de trois cents francs... Je 1 ai portée
au clou !... On voulait me prêter cent sous !