DOI Heft:
Janvier
DOI Seite / Zitierlink:https://doi.org/10.11588/diglit.23886#0048
LE CHARIVARI
PRIMES POUR 1892
Le Charivari, comme les années précédentes, offre à ses
abonnés une attrayante collection de primes :
PRIMES GRATUITES
OFFERTES AUX ABONNÉS D'UN AN SEULEMENT
Tout abonnement d’UN AN, F^IT D’UNE SEULE FOIS ET
SANS INTERMÉDIAIRE, donne droit à une des deux primes
ratuites suivantes :
1° LE PETIT JGURÜÂL POUR RIRE
PARAISSANT TOUTES LES SEMAINES
Huit pages de texte et de dessins comiques, 52 numéros par an
2° QUATRE VOLUMES A CHOISIR
parmi ces dix ouvrages, format in-18, vendus en librai-
rie au prix de 3 fr. 50 le volume :
Ai.ba-Monte. Destinée étrange. — L. Barracand. Le Calvaire
d’une Femme. — Grosclaode. Les Gaîtés de l’Année. — Hughes
Le Roux. Le Frère lai. —H. Cerjioise. Une Maîtresse riche. —
Vicomte de Beaumont-Vassy. La Commune de Paris.— A.-J. Dal-
séme. Les Péchés de Thémis.— Imbert. Joyeusetés de la Régence.
— G. Kandel. Lieutenant, Capitaine et Commandant.— Hugues
Le Roux. Chez les Filles.
(Afin de recevoir franco les 4 volumes, joindre à la
demande 1 franc 50, pour le port).
GRADES PRIES EXCEPTIONNELLES
OFFERTES A TOUS LES ABONNÉS ET LECTEURS
Par suite d’un traité passé avec la maison Jourdan, Je
Chariviri a la bonne fortune de pouvoir offrir à ses
abonnés et lecteurs, à des prix vraiment excep-
tionnels, de superbes reproductions des ehefs-d’ceuvre
consacrés et qui comptent parmi les merveilles de l’art.
1° L'ANGÉLUS
ET
LES GLANEUSES
peints par François MILLET
Deux sujets se faisant pendant, magnifiques gravures.
Hauteur : 48 cent.; largeur : 49 cent.
lO francs les deux, au lieu de 25 francs
(prix du corpmerce)
Plus 2 francs pour le pprt et l’emballage.
2° BŒUFS ALLANT AU LABOUR
ET
RETOUR A LA FERME
Peinls par TRGYOIV.
Deux sujets se faisant pendant, magnifiques giavures.
Hauteur : 40 cent. ; largeur : 6Ü cent.
10 francs les deux, au lieu de 20 francs
(prix du commerce)
Plus 2 francs pour le port et l’emballage.
3° LA NOCE VILLAGEOISE
ET
UN BAPTÊME D’AUTREFOIS
Peints par Firmin GIRARD
Deux sujets se faisant pendant, magnifiques gravures.
Hauteur: 50 cent.; largeur: 67.
22 francs les deux, au lieu de 60 francs
(Prix du commerce)
Plus 2 francs pour le port et l’emballage.
Enfin, à ses lecteurs et abonnés, le Charivari offre sous
ce litre :
LE MONDE El\ POCHE
dû superbe Globe terrestre d’un mètre de circonfé-
rence, tiré en 8 couleurs, qui par une ingénieuse combinaison
se plie et s^nferme dans un livre-étui, objet d’une valeur
commerciale de 25 francs, au prix fabuleux de :
7 francs 50
Plus 0 fr. 50 centimes pour le port.
Ajouter à chaque demande le monlant (plus le port) en
un mandat de poste. (Les timbres-poste ne sont pas reçus.)
LA FÉE PRESTANCE !
De tout temps, les chroniques scandaleuses, les
correspondances plus ou moins secrètes, les petits
papiers passés de mains en mains, se sont gaussés
des faux jeunes hommes et des coquettes sur le re-
tour, en dévoilant par le menu les imperfections ca-
chées dont les uns et les aulres étaient atteints.
Personne ne trouvait grâce devant leurs auteurs
qui, de la plume, — ce scalpel donné à l’homme pour
torturer ses semblables,— mettaient à nu, avec un
rare talent de sous-entendu, les défauts physiques,
les infirmités corporelles de ceux qui prenaient tant
de peine — usant de génie, parfois — pour les sous-
traire aux regards de la malignité publique, de peur
de succomber sous les coups de la satire, tani est si
viai qu’en France le ridicule tue plus sûrement que
poignard ou balle
Paris n'ignorait rien de la conformité de ses per-
sonnalités; il savait que monseigneur le prince de
Vichy avait perruque, le comte Courhant un râtelier,
et que si le marquis Zha portait beau, c’est qu'il se
sanglait d’un corset; il savait, Paris, que la petite
duchesse d’Unthel n’avait pas de poitrine, la mar-
quise du Dehors pas de hanches, et que la comtesse
Dation se bombait par le dos.
Paris n’ignorait rien, le boulevard savait tout!
Il n’en est plus de même aujourd’hui, et le docu-
mentiste reste bouche bée à la vue des modernistes
fin de siècle qui défilent sous le feu de leurs regards.
? se disent-ils !
Inquiets, sans savoir à qui ou à quoi attribuer ce
redressement subit de la majorité des dos ronds et
des poitrines rentrées, ils vont le nez en l’air, inter-
viewant, scrutant, déduisant, sans oser lâter et,
voire, déshabiller.
Les pauvres! Ils ignorent l'existence de la Bre-
telle américaine, le talisman précieux par excellence
et qu’on dirait forgé par les mains d'une de ces
bonnes fées gardiennes qui exerçaient leurs bien-
faisants sortilèges aux temps où Perrault contait!
Hélas! Riquet à la Houppe, de joyeuse mémoire,
ne la connut pas; sans cela, qu'il eût été moins long
à se transformer aux yeux de son adorable princesse!
Et, comme le dit l’immortel conteur, ceci
Est moins un conte en l’air qup la vérité même!
Certes la Bretelle américaine, que nous devons à
l’ingéniosité de la magicienne Oury, est le plus pré-
cieux des auxiliaires à qui veut plaire, charmer,
paraître et ne jamais se courber.
Avec douceur, méthodiquement, par persuasion
presque, elle corrige les inflexions au corps Jes plus
vicieuses ; par elle plus de dos ronds, « bombés, » di-
sent les railleurs en clignant de l’œil ; plus de poitri-
nes rentrées, ce qui est chez la femme une retraite
fâcheuse, préjudiciable et désagréable à l'œil du con-
naisseur, plastiquement parlant et officiant. . .
La Bretelle américaine, c’est la déesse et dispen-
satrice du galbe, de la vigueur, de la santé ; elle
presjde à la toilette de tout homme, de toute femme
jolie, gracieuse, jeune ou mûre, soucieux et sou-
cieuse de leur hygiène comme du bien-être et du
bien présenter.
Fée gracieuse, d’un léger attouchement, là aux
épaules, elle développe la poitrine, assure le fonc-
tionnement des poumons et des pectoraux ; redresse
la taille d'un rien et aplanit, d’un souffle, Jes omo-
plates portées à l’insurrection, au soulèvement de...
chair; elle souligne les lignes du corps et met à
bien le maintien.
Eclectique et de forme et d'usage, elle s’accroche
aux pantalons des uns, aux corset et jupe des autres.
De toutes grandeurs, de toutes étoffes, faite sur
mesure pour mieux s’adapter et ne faire qu’un
avec celui ou celle qu’elle est amenée à redresser
ou à maintenir, la Bretelle américaine est la Fée
Prestance par essence.
Aussi préside-t-elle aux destinées heureuses de
Mme veuve Oury, dont la renommée, aujourd’hui,
atteint l’apogée de la gloire, 1 e summum de la gra-
titude humaine.
Il est vrai de dire que, devant le succès obtenu
depuis de longues années par sa création aussi hu-
manitaire qu’hygiénique, Mme veuve Oury se con-
sacre, avec une énergie et une initiative qui ne se
démentent pas, à perfectionner et à rendre acces-
sible à tous l’emploi de ia Bretelle américaine.
‘ Ça, je vous le dis, quand vient l’époque des étren-
nes,cadeau utile estchoseconseillable:courez donc
ferme, 34, rue de Rivoli.
Les dos ronds ont toujours tort ; or, la Bretelle
américaine redresse les torts de ceux-ci et corrige
les absences des autres.
Lancelot du Lac chanta les fées de la Table ronde.
Que ne puis-je, à mon tour, comme je le voudrais,
exalter celle de la poitrine ronde, la Bretelle amé-
ricaine, la protectrice de tous, la Fée Prestance\
Gaston D alivet.
Le Directeur-Gérant, Pierre Véron.
Paris. — Imprimerie Alcan-Lévy, 24, rue Chauchat.
FONDS DE COMMERCE
Petitjean, 12, rue .jjoutiiiartre, 12, 4 e année.
KPinfillIî1 Fruiterie, Lait, bonne sjtuatkn
EliI IliLüEEi dans rije populeuse (La CFi'apè’tl" “
.Maison tenue depuis 12' ans par vendeur, liénéf
nets 7000. Prix 8000 (petit loyer, frais nuis).
ISMhT immeuble évalué mmm
sont demandés en coninpindite pour acheter pro-
priété et y faire des travaux devant rapporter un
million 5% intérêts et part dans bénéf. (Sécurité;.
Petitjean, 12, rue Montmartre, 12(40° année)
(166) Position de ISOOjfr. net assur. à hoin. intel.
actif.|disp. de 30000 fr p. ass.d.imp.âff. connu.sûre
gar. tout repos. PETITJEAN, rue des Halles.
&
V
BITTEffS
3XT. S AILL.ARD
du HAVlUi
ENTREPOT G* : Rue Danguy F* S Ssver
ROUEN
t Les Srs de N.et S SAILLARD : BDNODF & C°
Jîitters. Nous n’avons pas 2 quai, de bittors,
la différence ne réside que dans la couleur,
nous la varions au gré de la consommation,
Extrait de Grenadine. — La dose d’extrait pour transformer
100 litres sirop simple en sirop de Grenadine est de21it. 70 centilit., 11
suffit pour opérer cette transformation do l’ajouter h froid au sirop
Bimpl^t^^^ien^emuei^le^out^fi^d|obtenir^mmélange^comglet^
[jIXXB
Dépuratif, Tonique, Reconstituant
ELIXIR DE LA POSTE
Elixir Quino - Tannique
Glyco - lodo - phosphaté.
Spécialement indiqué pour remplacer l’huile de foie de
morue, dont il n’a pas le goût désagréable.
Guérissant par son emploi raisonné les anémiques,
chlorotiques, phtisiques et toutes les personnes affaiblies,
soit par une longue convalescence, soit par une maladie
à effet rapide (fièvre typhoïde, pneumonie, etc., etc.).
Prix du Flacon : 4 francs.
PH*« 4e la NOUVELLE POSTE. 36, Rue Etienne-Marcel
fJociiTte DBS ^AUX JVIikAralbi»
(VOSGES)
VITTEL
I EOUTTE, QHAVELLE
, DIABETE,VESSIE
| ESTOMAC
. COLIQUES HÉPATIQUES I
CONSTIPATION
CONGESTIONS, FOIE
Etablissement ouvert du 25 Mai au 25 Septembre.
Grande Source
Source Salée
JjSîàiîle i’ir d(d
Exposition de 1889
^ DIJON
Biimit
Grande Absinthe
RAQUETTE & MERCIER
de PONTARLIER
(Distillé® il CO, €6 et 72 degrés, dépouillé# do t-aat® |
matièro nuisible).
Borlre S M. Léonce ïV3 Agent Général,
Q, Rue de Tracy (Boulevard Sébastopol) RA.RIS
-'trente directe
W - ' au consommateur des
et de -- Vins avVt enthiques en litres,
\ -” bouteilles et pièces à des prix modérés.
SOCIÉTÉ A INTOTV-STIVriLl
MARSEILLE, 5, Bu» «03///»*,
TÉtÉPHOMB
Cave Médaillée pour la
‘ Supàrlu. :tè de ses
Vins- * v
w--Vd>ol,r
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B.OV
rt ]
VERÉIOUT-DOLIN]
F. DOLIN k G1®, Inventeurs du Vormout de ChAmbâry ?
CHAMBERY
Paris GARE SAINT - LAZARE Paris!
GRAND RESTAURANT
de la SilliÉ de rOUESTl
Communication directe avec l’intérieur de la Gare
Coin de la COÜR du HAVRE et Rue d’AMSTERDAI, 111
Cuisine et Vins renommés — Prix modérés. \
Un service spécial et gratuit est organisé pour t.
prise des billets 6t I’enregistrem ent des bagages
--- ---‘-1-ÜÜ'
Deuxième année EN VENTE DANS TOES LES KIOSQUES
Dciixième aimée
PARIS-JOURNAL
GRAND JOURNAL POLITIQUE, LITTÉRAIRE
Paris et Départements : 5 Centimes
Seul journal paraissant à 8 heures du matin, avec les dernières nouvelles du monde entier
Directeur : LEON 33 O TJ ET
The CONTINENTAL OXYGEN G0 IA
7, Hue Ga ^arni,
IPa.S-13-PAaSTr
-*•
“P?,» -- «.asi saturé© d'Oxygène spécialement recommandée par
kmg&Ui pia.\iedecine,danslesmaladiesdesVQiesurinalr©set
digestives,Voies respiratoires,Albuminurie,Si&toète,
Elle contient sept fois plus d'Oxygène que l’Eau pure bien aérée.
m 99at«afcarée d’Oxtçène, pour Cafés, Limo-
nadiers, Restaurants. Cette Eau diffère de
l’Ean pure, saturée d’Oxygène par son goût piquant. Elle
contient en dissolution la même quantité d'Oxygène.
ÉXaSONADE OSIYGENATÉE
L’Oxygène rend la Limonade plus légère et plus dig-eattT©,
CAS! OXYGÈNE PUR
#W récipients sous pression pour Inhalations, Eclairage, Expériences, etc.
LIVRAISONS A DOMICILE. — EXPÉDITIONS EN PROVINCE.
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Fondée en 1842
LA FRANCE
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Journal (Hebdomadaire illustré
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j Industriels, Scientifiques, Agricoles
Commerciaux, Artistiques & Financiers
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Le Roux. Chez les Filles.
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abonnés et lecteurs, à des prix vraiment excep-
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1° L'ANGÉLUS
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LES GLANEUSES
peints par François MILLET
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Hauteur : 48 cent.; largeur : 49 cent.
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2° BŒUFS ALLANT AU LABOUR
ET
RETOUR A LA FERME
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Deux sujets se faisant pendant, magnifiques giavures.
Hauteur : 40 cent. ; largeur : 6Ü cent.
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de peine — usant de génie, parfois — pour les sous-
traire aux regards de la malignité publique, de peur
de succomber sous les coups de la satire, tani est si
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Paris n'ignorait rien de la conformité de ses per-
sonnalités; il savait que monseigneur le prince de
Vichy avait perruque, le comte Courhant un râtelier,
et que si le marquis Zha portait beau, c’est qu'il se
sanglait d’un corset; il savait, Paris, que la petite
duchesse d’Unthel n’avait pas de poitrine, la mar-
quise du Dehors pas de hanches, et que la comtesse
Dation se bombait par le dos.
Paris n’ignorait rien, le boulevard savait tout!
Il n’en est plus de même aujourd’hui, et le docu-
mentiste reste bouche bée à la vue des modernistes
fin de siècle qui défilent sous le feu de leurs regards.
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redressement subit de la majorité des dos ronds et
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Les pauvres! Ils ignorent l'existence de la Bre-
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Hélas! Riquet à la Houppe, de joyeuse mémoire,
ne la connut pas; sans cela, qu'il eût été moins long
à se transformer aux yeux de son adorable princesse!
Et, comme le dit l’immortel conteur, ceci
Est moins un conte en l’air qup la vérité même!
Certes la Bretelle américaine, que nous devons à
l’ingéniosité de la magicienne Oury, est le plus pré-
cieux des auxiliaires à qui veut plaire, charmer,
paraître et ne jamais se courber.
Avec douceur, méthodiquement, par persuasion
presque, elle corrige les inflexions au corps Jes plus
vicieuses ; par elle plus de dos ronds, « bombés, » di-
sent les railleurs en clignant de l’œil ; plus de poitri-
nes rentrées, ce qui est chez la femme une retraite
fâcheuse, préjudiciable et désagréable à l'œil du con-
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La Bretelle américaine, c’est la déesse et dispen-
satrice du galbe, de la vigueur, de la santé ; elle
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jolie, gracieuse, jeune ou mûre, soucieux et sou-
cieuse de leur hygiène comme du bien-être et du
bien présenter.
Fée gracieuse, d’un léger attouchement, là aux
épaules, elle développe la poitrine, assure le fonc-
tionnement des poumons et des pectoraux ; redresse
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chair; elle souligne les lignes du corps et met à
bien le maintien.
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aux pantalons des uns, aux corset et jupe des autres.
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Prestance par essence.
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Mme veuve Oury, dont la renommée, aujourd’hui,
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Le Directeur-Gérant, Pierre Véron.
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Paris et Départements : 5 Centimes
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