PAR PIF
CROQUIS “
le tertî1°ns*eur a oublié que c’était il y a trois jours
i’orsry„°;Us,n’avez donc pas dit au propriétaire que
nisais la Grève des Locataires?
LA GRÈVE DES COCHERS
(D’après ies cochers). (D’après les patrons).
constatant qu'ils gagnent encore moins que les
c> en«rs et qu’ils n’ont pas la ressource des mar-
leO<Js de vin, les chevaux se mettent en grève à
ur tour.
— Moi ! je veux aller à Paris, me faire co-
cher...
— C'est dur, le métier.
— Peuh!... La moitié du temps en grève 1
sv avait ça dans la gorge !... Un nid de bacil-
Mn^uenza !
avalé ,s .non> docteur: c’est la fève qu’il avait
I>asSae mjour des Rois et qui s’était arrêtée au
— Très joli, le bacille de l’inftuenza ; mais ils
ne donnent pas le moyen de le tuer...
— Moi, je le combats victorieusement avec
l’Amer Picon!
ît^moin, qu’avez-vous remarqué auThéâtre-
monsieur le président, rien d’extraor-
Sevnn :••• Je suis médecin... Un avortement, ça
olt tous les jours 1
— Je m'engage à fournir gratuitement les pom-
pes funèbres et à donner 50 0/0 à la Ville.
— Et votre moyen?
— Je mettrai de la publicité sur les corbillards!
—T’as pas Uni de donner des coups de fouet au
petit ?
— Voilà dix jours que je suis en grève... C’est
pour ne pas nie rouiller 1
— Mon mari!... Fourre-toi dans ce placard 1
— Et s’il m’entend remuer?
— Je dirai que la maison est hantée !
— Vraiment, vous avez surpris votre femme en
flagrant délit? Ça a dû vous faire un cruel effet.
— Je croyais être encore au Théâtre-Réaliste.
a l’opéra, le dimanche
— Non... pas de bis\ Vous allongeriez le spec-
tacle, et nous ne pourrions jamais reprendre te
train de neuf heures et demie!
CROQUIS “
le tertî1°ns*eur a oublié que c’était il y a trois jours
i’orsry„°;Us,n’avez donc pas dit au propriétaire que
nisais la Grève des Locataires?
LA GRÈVE DES COCHERS
(D’après ies cochers). (D’après les patrons).
constatant qu'ils gagnent encore moins que les
c> en«rs et qu’ils n’ont pas la ressource des mar-
leO<Js de vin, les chevaux se mettent en grève à
ur tour.
— Moi ! je veux aller à Paris, me faire co-
cher...
— C'est dur, le métier.
— Peuh!... La moitié du temps en grève 1
sv avait ça dans la gorge !... Un nid de bacil-
Mn^uenza !
avalé ,s .non> docteur: c’est la fève qu’il avait
I>asSae mjour des Rois et qui s’était arrêtée au
— Très joli, le bacille de l’inftuenza ; mais ils
ne donnent pas le moyen de le tuer...
— Moi, je le combats victorieusement avec
l’Amer Picon!
ît^moin, qu’avez-vous remarqué auThéâtre-
monsieur le président, rien d’extraor-
Sevnn :••• Je suis médecin... Un avortement, ça
olt tous les jours 1
— Je m'engage à fournir gratuitement les pom-
pes funèbres et à donner 50 0/0 à la Ville.
— Et votre moyen?
— Je mettrai de la publicité sur les corbillards!
—T’as pas Uni de donner des coups de fouet au
petit ?
— Voilà dix jours que je suis en grève... C’est
pour ne pas nie rouiller 1
— Mon mari!... Fourre-toi dans ce placard 1
— Et s’il m’entend remuer?
— Je dirai que la maison est hantée !
— Vraiment, vous avez surpris votre femme en
flagrant délit? Ça a dû vous faire un cruel effet.
— Je croyais être encore au Théâtre-Réaliste.
a l’opéra, le dimanche
— Non... pas de bis\ Vous allongeriez le spec-
tacle, et nous ne pourrions jamais reprendre te
train de neuf heures et demie!