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Le charivari — 61.1892

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https://doi.org/10.11588/diglit.23886#0083
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Eza. — Itoule de la Corniche.
fi.A^reliândes de mandarines qui donnent envie
etre mandarin.

DANS LES SALONS

.... — Parle donc à cette dame... Elle est char-

mante!

.( — J'attends quelle ait perdu... Ça sera

" moins cher

— Mal combiné , mon bon... Elle gagne
aujourd’hui plus de trente mille francs.

dans l’atrium
— Non, non, mon ami,
je ne m’en vais plus. J’ai
retenu à l’hôtel nos
chambres pour deux
ans.

brù~nelh 1 si les peintres connaissaient Roque

'“ci

Il peureusement, qu’ils ne le connaissent pas..
Rendrait trop!

AU THÉÂTRE

— Quel rendez-vous d’étoiles!
— Et quel charmantartiste que
ce Soulacroix!... Pour justifier
son nom. moi, je le décorerais.

AU TIR AUX PIGEONS

— Celui-là, gros, maladroit et sanguin, c’est
réglé d’avance. Rouge... impair... et manque !

AU CAP MARTIN

C’est beau, liein, Gustave, ce ciel d’azur, cette
mer bleue?... Qu’est-ce qu’il te manque?

' D’être encore garçon!

— C’est drôle, à Paris le problème de la repopula-
tion do la France...

— Te laissait froid... Je le sais.

— Eh bien, je crois que c’est le pays... Je com-
mence à y songer!


EN REVENANT DE LA TURBIÊ
Et dire que j’ai un oncle richissime qui s’obstine
à ne pas vouloir quitter Asnières !

— Emmenez-le ici.

— Jamais de la vie... Ça le rajeunirait de vingt
ans 1

J
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