LE CHARÎVAM
CROQUIS — PAR SAB
— Ils ne m’ont pas réélu maire !... Des gens i
qui je payais à boire chaque matin !
— Payer à boire!... Imbécile! Il fallait leur
donner de l’apéritif Mugnier, comme ton concur-
rent qui a été élu.
— J’ai entendu que Madame trouvait Mossieu
un peu faiblard... Voici une bouteille de Goutte-
d’Or Koch qui va métamorphoser Mossieu !
— Ma chère baronne, je trouve cet'e glace ex-
quise.
— Ce qu’il y a d’exquis, c’est de voir que le
Pôle Nord a songé à la distraction des honnêtes
f emmes.
FONDS DE COMMERCE
Banque Petitjean, 12, rue Montmartre, 40» année.
ININFLAMMABILISATION DES ÉTOFFES 1
20.000 f. sont demandé? pr exploiter brevet appelé
à grand retentissement. Bénéfices énormes.
SOIXANTE MILLE FRANCS DE BENEFICES PAR AN
A céder pr. VilliliAI lé DEC0UR0NNES.Aff.de 1"'
gd cimetière f lilluljtl'J ordre, agenc‘ sup 18 a.
d’exist. 3 eh. 3 voit. 3 voyag. Jidijard. d’agrénh. App.
de 8 p. au 1". Loy. 3,u00. Px h déb.(Cèdeap.gde fort.)
Banque Petitjean, 14, rue Montmartre, 4u° aunée.
INTÉRESSÉ OU COMMANDITA dispos*de
ui»i ” 3 i à 40.0i)0 f.,demandés BUT fU febric*
d’un article cour* et de luxe d’aris).PLACEMENT DE 1 '
ORDRE et d? toute securité Maison fondée en 1»7-’.
L’euipl.iufér. ser1 chargé de 11 représ. (Brill* a venir i,
Banque Petitjean, 12, rue Montmartre, 40° aunêo
40.000 f. DE BÉNÉFICES NETS PAR AN
Aux Halles II I ' i ’ Il | a, ternie depuis 1870 et
sp!en lide U > lit j llfjp llj à ceder après fortune.
Inst, de l»r ord. Sup app‘de 4 p. sr b° pl. Px 70,' 0o.
Banque Petitjean. 12, rue Montmartre, 40” année.
,ç>
&
OS
BITTERS
JNT. SAILLARD
du n a Vue
ENTREPOT 6“ : Rue Danguy, F« St-Sever
ROUEN
Les Srs de N. et S. SAILLARD : BDNOÜF & C° ,
Jiitters. Nous n’avons pas2qual.de bitters, t
la différence ne réside que dans la couleur,
nous la varions au gré de la consommation.
Extrait de Grenadine. — La dose d’extrait pour transformer
100 litres sirop simple en sirop de Grenadine est de21it.70centilit. ;
Il suffît pour opérer cette transformation de l’ajouter à froid au sirop
pie et de bien remuerle tout afin d’obtenir un mélange complet.
de Vienn#
MAISONS l /, Rut SalntrOtnlh
IFARI8 lit, B* ëmm-Rmimm
1u«. iiOûMïsWS
\Dlitlll.tmr t
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j.ijCîî'—
vas. —
O&i
i-—HORS
C ON CO un 8
$Sx»»®a ©>^tVÏ«ÏWOM 1891
Ittwî.
üliotlièpes
TOURNANTES
JBrevetéea S. G. JD. G,
Appui-Livras — Chevalet*
Porte-Dictionnaires
«te., etc.
garni franco du Çatalogui
Em, TEEQ’O’EÎÆ
19, rue Scribe, 19
PARIS
Distillée à 60, 66, 72 degrés
abstraction faite
de toutes matières nuisibles.
PA a UETTE
et MERCIER,
ii'.W
Ecrire à MM, Léonce MAURANT a C1', Agents Generaux,8,Bat de Iracpi-sauivoPariS
l'Arbre ne Noël * J OUETS * lesÉtrennes^
AU PARADIS DES ENFANTS^
156, Rue de Rivoli et 1, Rue du Louvre, Paris.
1
2
Le COTILLON Articles exclusifs et inédits. -*• Le COTILLON S
Lie jSeuI qui ©uérisse
Exposition Universelle 1878 — Médaille d’Argent
EXPOSITION UNIVERSELLE DE 1889. — 2 MÉDAILLES D'ARGENT
PAIN DE GLUTEN FOUCART
A L USAGE DES DIABÉTIQUES, GASTRALGIQUES, DYSPEPTIQUES
Fabrique à Vichy-les-Bains, et à Paris, là, Avenue cle Versailles
MAISONS DE VENTE A PARIS :
Passage Véro-Dodat, ti° il, et là, Avenue de Versailles
DÉCOUVERTE RÉCOMPENSÉE
PAR LA SOCIETE D’ENCOURAGEMENT POUR L’INDUSTRl
Deux Médailles à l’Exposition Internationale Paris 1875
ENCRE-POUDRE EWIU
Pour faire son Encre soi-même
Dissoute à la minute dans l’eau froide, noire, limpide, inaltérable, végétale, inoffensive, ne tachant pas le linge, n’oxydan
pas les plumes, ne moisissant jamais, durée indéfinie.
Présentée sous un petit volume, commode à porter sur sol, l’Encre-Poudre Ewig est indispensable au
ecclésiastiques, aux médecins, aux officiers ministériels, aux militaires, aux marins, ainsi qu’à toutes les personnes qu
voyagent. Cette poudre peut rendre de grands services aux fabricants de gants pour noircir les coutures des gants noiri
soit seule et .mieux additionnée d’une décoction de campêche, avec un soupçon de soude au lieu de l’eau.
La boîte d.e 1 litre
10 — .
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Paris — 92, Rue HicRellou, 92 — Paris
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1, Boni, des Italiens
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PLUS d'HUIHID|TÉ,de FROID aux PIEDS
Grâceau“SANS RIVAL”
CHAUSSURE
g-arantie cousue à la main
Bien supérieure à tout ce qui s’est fait jusqu’à ce jour.
E. DEGORCEIX, fabricant, à LIMOGES.
*N VENTE CHEZ LES PRINCIPAUX MARCHANDS DE CHATI8STJRF8.
Durillon» et Verrues
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ffueoos s«u38 préoédtat)
PAR L.K
C0RIFUGE AMERICAIN
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MÉDAILLE D'ABSENT, TNQYES 1888
C’est le «pecinque par excellence,
supérieur A tous l« remedes employés
jusqu'à ce jour, avec lesquel* 11 n’a
aucun rapport.
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39, BouleT* de Strasbourg, 39
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