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(S A Z CT T K OKt» A Ct D K N Isl * •

LE BOMBARDEMENT DE DEOEAGATSCH

lu lotte■ alliées, bombardant lui leur dépu ta pu usant, U
iUi enverra de Dedaaxattch. A ci propos. U. Rsdoilawivf,
■résidant du Conseil «ul*-*re, » adressé m iceréser.t»r,ii

D*dM(tuUl et da Porto-laiot el

ni; ai l'I: Jnl a ■
iacmdiéa par Ici Drojcciilei-

LbBb Victoires laxntaiBiet-

n Iall.lt .attendre à « qu'avec U distance du théâtre
'l'opération la nouvelle* du agence» alliéet tagnien lassent
«0 cor» leur do» d* fenlaliLe lendancieut* 1

En (ace do l'écrasante offensive bulgaie, enfonçant ta
flanc de la Serbie, n fallait bien inventer, pour le bon pu-
blic da Tirii et aana doute pour lea Neutres, quelque pcliUt
Tkloire. C'est «inai qu'on ai.il tout d'abord tnnoncé 1»
. pris* de la tIIIo bulgare de Slrouroilss, auaailûl tonnelle-
ment démolie Ensuite, ce fut une • victoire > det troupes
serbes el de quelque, contingent» français cuire Kmclac
cl StrouuiiUa, Le a Timci », lui, fol plui lincÈre. II avoua
fnuvbemenl VW dam celle renconirc, Ui [roiqje./raoco-
iiroci furent liollues II poursuiuies par lu Duljare».

On eat d'ailleurs méfiant, en France, a l'égard du in-
formation, balkanique». La a Journal i a protesté formel-
lement contre lea nouvelles lendancicusct [fimmunlquéej I

» que

liuna d*

L'ITALIE ET LES BALKANS

l'attitude spéciale de l'Halle dons 1a crise qu> traversent
• :l . ■ neni les Alliés. La déclaration, pourtant tri» vague,
de m. Vivian! » la Chambre, MhmM entrevoir la paaUdtpfci
Uoo Italie uns a, l'expédition balkanique, avait sui'ilé l'eo-

Ce»l eu.=l que U a Rappel • exulte, voyant dent Poaatt Ha*
Meunt lïlCnieul déu-il Ja la cun; npie liolLau.que.

Mania désillusion a suitI da près. La presse ilabeane a
dtntenti l'interprétation do» parole» de M. Vivlonl, lals-anl

n(r« délit Sara a pre-lestc a canl.-c U ptiKian
année par Ici Miifa ajr liiolie alla qu'elle biIonienne.
UrUa-cl doit apprécier librement l'état da aei lorce-, de ton

U>T» poor éviter a* f
Intérêt poil tiqua * Intel

de grandes perle».

a ojsti de munition»

îrtouna n «clora qu'il n'eilsle pour l'Italie aucu

■lagU flinuiMil
niotiques daa autr...
ipto que de l'opinion

tlienni el non da celle de» pays alliée.
Sn attendant, la queakon da la pailtdpallon itaneiin»

onagalion da participai
qu'elle n'a pu a Hptrar

LES VAINS EFFORTS ITALIENS

U bataille génér.lc 1 t'Itoaio continue. Hier lea cor
■ d'infanterie, conduitl avec un aehtrnemfnl aana net
ivcloppét 1 la lato da pont i

g ri ce 1 la l««lata>aa le mes do I

qui a Iromé un excellent appui oaua ip.....I>uu>.„,.

de l'artillerie; l'ennemi lubil dei pertea conaîdcrablee.

L'attaque principale italienne eit accompignée do pout-
aéee prononcées par dee forcée considérable» contre le front
du Tyrol. Lei hauts plateau» do Yiclgereulh cl do Lafraun

Halle,

et quatre attaques contra noa lignea

de Mal et dini la vallée de !.......

Au Iront de U CarinlÈie, 11 n'j
'd'artillerie ot d* d

i.Krn,

Itaaa

) de Flitech e

rea daltaqucl. Le combat aa rellcha
deieaper^a dee Ilalieui as dirigent en-
cors loujoura contre le Iront de Hnll bioqu'a la laie de
pont da Tolmcin (inrluiivcment). La hauteur à l'outit da
Ste-Lucl» eat particulièrement et ineruamment atlaqueo.
Dca alpine onl p^oiilid ici dani un petit morceau du Iront.
Un contre-attaque reaolue dea rigimenla d'intanteria
u" 6*1 et 88 lee en chassa de nouveau en peu da tempe.

Dans le lecteur de l'iaonio, entre lea te ta de pont da
Tolmein et de Gocn, où le combat a notamment ils violent
I Pltva, l'ennemi ne parvint 1 pénétrer nulle port. Devant
U téta de pont da Ooera, pEusirun tentatlvee d'attaque*
contre I* M on le. Eabolino avaient déjà échoua avant-hier.
Hier, iprèe de vlgoureui pr^parilila d'artillerie, dee force»
Italicnnca Lrea comidérablei panèrent a l'attaque contra
celui montagne dominanta et contre Oslavi*. La combat
longtempa indédt contiout pendant la oult ; flnalement
noa troupea maintinrent aolidemrnt loutca leure position).
Au bord du haut plateau de Doberdo, la batailla dans la

dlonal 1* Jour et la nuit furent plut calmée. Lu allaquer da
rennemi, rtnoureléei toujouri acee dit força fraSchil,
ichouirxjit compiélfmrnf, Lea Italieni ne parvinrent qua>
passagèrement à prendre pied dam quelque» tranchée»
«vaaceee. Not™ inlanteric, comme par eiemple la vaillant
régiment d'infanlerie n" lo, a toujoura repris dans de»
aorpt i corpa aea poiitiona au aud de San Htrtino.

ÉCHOS D'ANGLETERRE

un grand article de lond intitulé • fraude a, qui i
tant plua inlïrcaiont, que ca journal cet ealrémcnicnl :
anglophile. Cet article s occupe du Dasco complet do la di-

ica. Q v

a La crise arlirrllt du cahintt att la damier pas' da I» I
rîeélallon d'une /rouda al de fiffondrtmtni final d'un

peuple angl.ia. Est il aurprrnent que le peupla veuille a»
dilaire de ces politicien) qui n'ont pea te courage d» dira
U vérité, crovaul ipie la ptuple ns voulslt pai 1» connaltirJl
L'Angleterre en ■ aaira de ces braillarde et da cea men-
teuri; elle est décidée de regarder bien en face U vérité, toi
Dation n'est paa lasae de la guerre, mais elle cet lisse d'une
guerre Inutile. La peuple a eu la vérité par morceaux déla-

ça seppeliniennes. (Joujoun la devli
. fîW..) ^ ^ ^

Le colLI,

i départ

de 6.

A Dcmiondsey une éj>idéinie.
Carellr .), Dam certains quir

du « Daily CAronide »
verjjca par l'Angleterre ans
ian i g 16, probablement U
■es alerling.(ai,5 milliards d*

a augmenté da plua de 6o
an raison d* l'inleRlion du coinmandemeol anglala d'i
Toycr d'abord Ici céhbaUjrca au front. Le» vapeur» pt
l'Amérique aont bondùa de jeunes gena qui, d* celle ft(
nrigiojle, a répondent » l'appel aopréin» du liol ».

LA DIPLOMATIE FATALE

a Kos ami» du Parlement hfaflatj] mieux d* dire publiqu»-
ment ea que noua avons loua tuf le coeur, ftu avjat d» M
wudulie de coite politique extérieure.

Ce que noua »von» aur le cceur, c'est que depuis de lon-
guea annéea, nona avlona, an matière de robitipie étronafre,
une politique ■ à la remorque ».

Parce que non» éliona la» vo-ncus da 70, parce que noua

> daa elllnne», noue noua ledilonB patil»
otre allié parlait, sou» aiiona une ten-
rtpondre : ■ Brigadier, voit» »»e»

Les auteurs de la guerre

Depula qubsle moi:
de réfléchir, el S n»
cal» clairvoyant» qui

a TJ'"^

préparation do

h catoitrophe qui afflige l'Europe. Il na assurait y an «voir
beaucoup, anxquel» la grava culpabilité do M. Dolcaeaé et
d* aa diplomatie aeCrète, condamnée Jadla par la préetdeni
da Conaetl Rouvlar, mal» continuée dapida, d'accord »»eo
Us » Impérleltate» □ anglais ot le» I Panslaviatea » meeei,
échapper. H est vrai que ce n eat pa» dan» le»

I qu'A fi

qui Yellle. lee petile» franchise» qui lui
échappent n'en août que plu* précleuic». Nolone une de ce»
Irnnchl»ee. Dan» V « Homme Enchaîné » du M octobre
M. Georges Clemenceau, bien placé pour lavoir la vérité,

dont □ « efforce a écarter la France, lâche ce cri d» alncèr»
dépit :

.....Quand |» eonga que c'eel ta «nuilarit* rususo-»erba

qui ■ déchaîné celle (jucrre..... ■

Entendes bien : c'en n'est pus tittaUgm, mats Men le
eomplo» tramé antre Sntnl-Pélersbourg et Belgrod» qui
déclancAe le conllll auropéen.' Et la Pronca j lut entraînée et
par la lalarilé de aea alliances - prévoe depui» longlsmp»
par de» Fronçai» rJolrvoyonl» I — et parce que, g ri ce t ce»
alliances laa chauvin» da Pari» croyaient le moment venu
d'écrater l'Allemagne,

Noue n'avons jamais dit autre chou.

LA GUERRE NAVALE

Ce matin une escadre ruise a paru devant Wern», qt
comnsenca s bombarder la villa et le port, d'aprè» le» ladï-
calions d'un hydroplane. Noe batteries de cote ripotlcrent.
Deui vaisseaux russes de la clasoa • 7ri-5ulalitslja » lurent
touché* par de» ohua mi de» torpille» et coulèrent. Lee au-
tre» valsicaux ae retirèrent, pouriulvi» par dea sous-marins.
Quelque! personne» civile» lurent tuée», quelques béli-
ments endommagé.. Le» déglla miliUires aont minimes.

(Celle attaque a'eet produite eana déclaration da
goerr* I La» Russe» ont été punis par II perle da deux
grande bateaux qui jaugeaient chacun environ ia-i3,ooo
tonnes. — LaBéd.).

Un croiseur cuir as aé anglala échoué.

La crolwur anglais a Arnyll » a fait naufrage a la cita
ast de l'Eccaae. L'équipage fut aauié. Lo vaisseau est conli-

(Ce croiseur a été co.iilrutl en 130', et jaugeait 11,000

page tlait de u5â bornmea.)

Baleau Italien coulé.'

> Sdlla » a été torpillé d

n itili.i

r Egée par un joue-rai

A SALONIQUE

(Petit conta funt&isiate et moisi)

M. LorjftcS, dépu!6 belge, (»it dtpuil Un an la
tournée de» piyi neutre». Parlant t loque m ment de 11
violation de la neutralité belge, II espéra persuader les
neutre» t ne pas le natal davantage. Sea discourt
avaient du succès en Italie. Puis, il partit pour Buca-
rest, El, quand il apprit 1» mobilisation des Bulgares,
vile il boucla aa valise et pril l'express pour Salonique,
La lendemain, quand les Iroupct françaises et anglaise»
débarquèrent, elles purent voir partout de» affiches aux
couleurs françeites et anglaises, portant en giauds

CE SOIll DISCOURS DE M. LORAtfD.

Quand le» Grecs avaient appris la violation de leur
neutralité, i|« en furent comme renverse*, excepta
M. Véniseloi qui ne le fut que quelque» Jour» plus tard.
Une foule muette assista sur les quais su débarquement
du étrangers sur le sol national. Le soir, on n'osi pa»
sertir de» maison». U y avait eu quelques rixes, que U
rumeur avait encore amplifiées. -Aussi U salle, où
U. Lorsnd devait tenir son discours, rte se remplït-ello
que lentement : quatre à cinq Grecs tout tu plus, par
contre beaucoup de Français et d'Anglais, attiré* psx
lea couleur» de l'affiche.

Et U, Loraud commença :

a II y a des guerres de commerce, où un peuple, n*
connaissant que ses intérêts, en voyant un nuire plu*
/«une turoir comme concurrertl, Idtfic de i'ecrojer. /I
y a des guerres de revanche. Mai), nobles fil» de Thi-
mlifocîe, noire guerre d'ou/ourd'ftui «si d'un tout attiré
j/enre. C'est une guerre pour une idée. Quand l'Angle-
terre tire l'épie des oulres, c'esl fou/ours pour an Idéal.
El celle /ois, l'Idéal pour leaud elle combat, s'etl U
nrulmlilé des prlilt peuples 1 ».....

Il y eut un étonnement géiiiéril. Les quelques Grecs
quittèrent la telle avec un Leut-lc-oorps, liais Loratid

Qui n* oortnntl pas l'idéalisme de IMnglelerre ï
Parfois mente, dis le pousse trop loin. Ainsi quand, aa
milieu da efrrnfer siècle, fa Chiné ru coulai! plai »«
taiiier empoisonner par l'opium oenanf des Indes,
FAngteferri lui déclara la guerre. Non pai par raison
ete commerce, mais pour nue les Chinclt ne soient pas
pricéj de la fumerie délicieuse et du réue et de l'Idéal
ou'elle donne / De même, l'Angleterre sauvo l'idéalisme
des IfoéVt. SI on leur avait laissé les mine» d'or, 01
ptuple religieux psu à peu smrait perdu son tint,
L'rlngleferre, risijuani oénéreusrmeni la sienne. Ici
débarrassa dé celle propriéfé dangereuse.

léal», proleclrlce des pelils peuples, U /au! r/ue
eeux-c! à leur lour la nroiéoenl. Oh. /iis courageux de
Thémfjfoel» tl afe iWiifiade, «Ider, comme nous Belge»
(I les traies Franr/ais l'onl tenlé, d sauusr VAngltlerrl,
Car, et demain l'Allemagne prenall une place nréport-
dérant» dans ta Védilerranée, qui voai protégerai! t.
Qui cous garantit, r/u«, /afianl jt de oolre neutrafifi.
(Ile ne débarque des troupes Ici mime, sur noire sol
sacré dans votre plus beau port, à Salonique T

Le» «oldalj écoulsienl »buri». E j eut des murmu-
re*. Va ofQcier français se pencha vers ton coUsgua
anglais ; « Décidément, II manqua de Uct. u Et 1 -Mi

«1 octobre l»1»j

: .

glai» de répondre. ■ Aoh, ces Belge» I Avei-vous lu le»

rapporta da leurs ambassadeurs dana Ici capitalea euro-
péennes I Aoh I — a Et Lornnd continuait :

« SI noue, /ils lic'rolques et sages de îhémisfocle. de 1
Milliade et d'/lrislidt, ne noies pas au secoure, tes Alle-
mands sûrement arriceroni d Conslatilinopié. La
arande porté de l'Orient leur sera oueérie. Dn soleil,
désorniail allemand, poindra tous les matins, tandis
que nous ne voulions leur céder que les rayons de la-
lune rontanlique. Et que détiendra «lors toteeretc-
rnsnf, ['pétror* mogislrale de Grey, DcIoa»»é et fsoatsfty,
l'oeuure dépeinte dam tel rapport» des ambassadeur»

le» empereurs allemand» du mojen dge se cef-
nruient de la couronne lombarde en fer. C'ait celle-ci
dont la Triple-Enlenle voulait eot//(r le /ïotrrjel Empiie:
de fer diplomatique, lut enserrant U /ronl,
de ftr dan» Us /inondés pour itaafftr ton
commerce, couronne de fer rtreJégique pour l'o/Jamer
él lui faire criailler l'âme. Mats il arrma un miracle : te
front allemand t'élargit de tous lés coté», ooiià que le
diatléme éclate.. ..»

, , . Quand Lorond eut fini, il n'y eut d'applau-
dissements que d'un Mi : c'était dana le grouue d.»
Sénégalais. Est-ce que ce» Africaine avalent apprécié
Il Bneeae ithénlenna de eea période» » On bien sonl-ili
kli;nliilos comme les Anglais t II Tsut avouer qu'il» ne
savaient pea lo français, excepté un seul root, que Lo-
rand employa souvent dans la péroraison de son dit-
cours : ala civilisation.11 On leur anit enseigné ce
mot comme cri de guerre. Lea brave» Sénégalais
croyaient sens doute que cela voulait dire : n butin a.

NOUVELLES DIVERSES

Mort de deux écrive

D'après un télcgnrnmo de Pa

premier ordre, dont les ceuvre» aurvivront i leur »uteur. Il
naquit en 1857, 4 Neuilly, et publia en iS8> lem premier
roman : e Diogéne le Chien ». Parmi se» roman» le plus
connu reste l'excellente satire u Peints par eux-mêmes il, qui
fut iraduilo en plusieurs langue».

En itVji Llcrvicu. fut joué pour la première fois su
tbéilre. Parmi ses pièce» les plue fameuses, noue Barri mont
a La Lai de VFlomme n, > Les 7"enailles », a La Coursa eu
/tombeau ». En , 000, il fut élu membre de l'Académie fren-

t. Qui

1 Ola

le» Allemands le trouvaient trop léger et lea Frtn-
térïeux. C'est surtout dans tes piécet de.théJire
1 sérieux. U traita en premier lieu dea questions

• pejeb

10 m me de lettrée. Je calibre critique drama-
tique cl musical Henri Baaer est mort égtdcment ce» Jours
dentiers. Pendant de nombreuses années it fut tout-puissant
ll'i Echo de Paria g. On ae rappelle que Ion de l'affaire
Dreyfus, 11 quitla ce journal, désapprouvant la campagne
d^.1 iii'/iiïcn^ci, dont alort déjl 1' a sîeho a était un maiLra

Hcproduïsons quelques lignes d'un nécruloge paru dan*

a Da grands ét puissant» dramaturges et écritoius
élrangera, Ibaen, Tolstoï, Gorki, Bjaernton furent grlc* i
lui connut du public fronçait. Nul ne combattit avec >u-
t»nt de vigueur pour L'oeuvre géniale de Richard Wagner,
aujourd'hui l'objet de i'calnciama d'imbécile* qui ae
voient pat que par leur action — ai dla pouvait réussir —
lia diminueraient la Franco dont ils méconnaissent 1» ira.

AVION! ALLEMANDS SUR BELFOBT
On se rappelle que, ta semaine dernière, une cita.] J!-,
sJlenmnde a entreprit un raid contre la Plat» Mctlflé* é»
Bellort.

Fidèle au principe do cacher le vérité autant que-pos-
sible, la centure française aiait supprimé loua le» détails de
celle affaire. Aujourd'hui seulement un petit journal local

"a Pronllire s, publie un récit, pas complet.

n I n

t qui d

passé. L'atlaque a dure environ si
matin déjà, les tiré ne» hurlaient, et bientôt ce fut un Iraeaa
inlcmal : eiplosioni, coups .le couen el Le bruit exaspérant
dee mitrailleuses. Tuut avion disparu usant 1 l'est était iin-

l'oucit. Quelques avions français tçnlirtnt da s'oppcea

Cela dura pendant deux heure* I

Da nombreuses personne» s'exposèrent' au plus grand
danger en regardant par lee fenêtre», et le* camelot» conll-
nucruit de parcourir les race. Apre* quelque* moment* de
répit, on sa mit k déjeuner et voilà que cela rctontroente
pour durer Jusque 1 heure* I Au total ou compta lingl
avions allemand» qui, sur la villa «eulc, avalent Jelé S°
bombet. Lee dégita sont 1res Importants, beaucoup da f*t-
blciséea pu de petits éclat* d'obus francait

Quant

a l'ai
sx dégita mililain

tntl 1

I Irèe g

Le n a caudale de» rétormaa *.

On annonce la découverte h Part» d'une grava allab-e il*
trautles militaires ; dea médecins civils et dea médecina mili-
taire* s* sont entremis pour taira réformer, moyennant
finances, do* aoldat» qui n'avaient nulle errvte d* partir au
Iront A l'heure actuelle, disent les Jaumeuix parisien),
U. Bouciiardon, rapporteur pré* la troisUm* oaneefl d»
un* vingtaine de mandat* d'amener. I*

Bûreié générale a, a
plusieurs inculpés.

r Acbill

ttent du conseil d'arronJissement d* Sceaux, demeurant »
Ivry; i* docteur George» d» SoJnt-Mamica, originaire do h
Uailinéque, uemourniit rue du Vieux-Colombier; deux miiir
tins mililoire» du cadra da réserve, des accré-taires d'élatr
major, de* Infirmier» mBitaires et pluaieur* de* „ intéres-
sé* •. Le docteur Lombard, qui n'exerçait plus, avait fondé,
la» I* débul dea bosuiilcs, aa hôpital temporaire dans *■
e-.: .. d* santé Cillot, à Neuillj. a Lea mal» HicculenLs,
rapporte un journal ,lee vin» fins, te Champagne luisaient
pallie du rigtm», autel lee mcJodee ne darmndaicni-il»
|amai* d abréger la traitement. On cite des repas 4 M inné»
par lèlfs *

Mai» quelqu'un troubla la léta CM «îquela fut ouvert»,
■D* amenai* découverte du ecandaUs. Le* srreaUUooi Sui-
virent; eUee continueront pendant phisisnra Joure. On U
Donce, en «flot, que le* Inculpé» tradall» en coo»oû d* guerre,
seront eu nombre de.... (la censeur panuûen a bilfé le nom-
bre). Ci auront a répondre de* crime» de foui, mage» 9»
taux,-eorrupléon d* funcnonnalre* et oampbdta. L'ençiifl»
a* poursuit, «Joute c* Jwimal, et le nombr* de* ir^paUotui
peut monter 4 trots rente «. Cboe* piquante ; Comme ce'
idtnéa eat 1* tout demter du km g article consacré t cette
adtaire, le censeur a Laissé par diitraclion la nombre qft»
kvait effacé plue bauL

x parisii-oi aont remplie» de c*
 
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