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Gazette des Ardennes: journal des pays occupés — Januar 1916 - Dezember 1916

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14- Mol 191*

gazette de

s ardemmes

3

Iouim méthode», à son sens de l'oignuisation et de l'utili-
sation, l'Allemagne représente encore un adversaire redou-
table. Et puis, un peuple afsî lutlc pour sa tMfontl n'est
il pas cnp.iWc do miracle ?

En 71, Paris encerclé, affamé, réduit à rien, n'a-l il pis
tenu des mois ?

La vérité c'est que la rqmme est telle que Ici esprits
avertis l'attendait.

Salus populi suprema /ex.'

Gcrmnnin tiendra le coup conhc l'Onde Sam s'il la
faut.

On wliut imaginé que le* m en a Ma de l'AmériqiM pour-
raient l'influencer.

C'est une erreur qu'elle relevé vertement dans sa ri-
pon.se.

Et qu'on ne s'y trompe pas : le gouvernement impérial
est d'accord avec son peuple là-dessus^

La Bloc nu hermétique, urbanisé par I'ViiRlcterre, oblige
l'AUNnairne à s» défendre. Elle riposte par la guerre de
lous-mnriiii — seul niovcn efficace de défendre «a in-
digènes. On l'Angleterre renoneem nu blocus, ou Isa tor-
pillages continueront, 1

Voilà la théorie.

Kt comme on est persuadé, de l'autre côté du Rhin, que
Iêiinitance» de M. Wihon sont dictées par les Anglais, aux-
quels la guerre sous-marine fait beaucoup de mal, on en
conclut que celte guerre porte à la cause des Alliés de* coups
terrible*.

L'Allemagne acceptera donc plutôt la guerre aveo
l'Amériqu'- que de renoncer à son lyetame.

Ceux des journalistes français qui interprètent autrement
la noie allemande, continuent a errer.

Ils en sont encore & la snoùlerie des premier! joura de
guerre

Le malheur, c'est que c'est le pays qui paye leur aveugle-
ment, leur ignorance et leur puffisme 1 a

Où sent les vrais oppresseurs?

UN MANIFESTE RÉVÉLATEUR.

Les Vliés, qui ne oes«ent de se proclamer les « dé-
|ens«urs du droit » et les « libéral» tu&ide l'Kurope »,
.Tiennent d'éprouver une nouvelle rit-faito mornle, qui
t'ajoute à la révolte h peine élouftéo des- palriotea irlan-
dais.

Au moment où la presse alliée fait tout pour gagner
i ta cause compromise l'aide des ElaN-Cnis, la « Ligue
des peuples étrangers incorporés à la Russie » vient
d'adreaser au président Wilson un long manifeste de
protestation Contre l'indigne traitement, auquel sont
tournis soin le régime russe les petit» peuples asservit
e l'Empire des Tsars : Finlandais, Balles, Lettons, Li-
thuaniens, Polonais, Juifs, Ukraniens, Musulmans et
Géorgiens.

Une série det représentants Ica plus marquant $
et les plus autorisés de ces diverse* petites nations vic-
time! ont mis leurs noms sous ce manifeste, et on se
souviendra- en Angleterre que oe sont lu de» raveudi-
calions que plut d'un homme d'F.lal anglais, et non
dca> moindres, approuva jadis de sa signature.

Nous reproduirons intégralement dans un de nos
prochain* numéros ce manifeste, qui est sans nul doute*
l'un dfs plu» uupo&antt documenta de 1» guerre mon-
ditlt.

LA GRECE VIOLENTEE.
Les journaux russes publient, h lu dute du R mai, l'In-
formation suivante du bureau officiel île In presse :

h Le gouvernement grec a refuse sou consentement au
projet allié du transport des troupes serbes par territoire
grec Le- gouvernement giec donne comme laison de son
redis la ci.unie des épidémies et lu dune de ces transports
sur In petite ligne secondaire de Palrat— Larissa. Il est
néanmoins clair que c'est lu crainte de l'Allemagne (?) qui
inspire Ita décisions du gouvernement grec

Les Allié** mit doue décidé de forcer la Grèce a se hoii-
inettre. L'altiludc énergique des Alliés d.in» celte question
est dictée par le déur de mellie définitivement uu clair les
desseins de lu Grèce. Les ambassadeur* alliés ont reçu
l'ordre d'ugir d'accord avec l'Iilat-Mnjor (1rs troupes nllucs
en Grèce. »

La presse- russe se montre ici plus franche que la
preste anglaise cl française. Elle éprome moins de honte, h
avouer les coups de force allié" contre l'indépendance de la
Grèce. La presse gouvernementale française croit encore
devoir cacher ces urles bous un voile d'hypocrisie. Ecoutons
la k Temps » du 7 mai :

11 Les troupes francoTses ont occupé Plnrina le 1* mai.
Celte station frontière grecque est distante d'enviion ^00 kilo-
mètres par chemin de fer de Sulonique. Celte prise de
possession est la. réponse du gènérul San ail eux menaces
des Germano-Bulgares qui comptaient, par cotte voie,
prondre notre camp retranché a revers. Une des principales
routes d'invasion de la Gièce occidentale se trouve ban ce,
et si l'opinion publique hellène n'était pus empoisonnée par
la propagande teutonne (!}, elle serait unnnime a applaudir
a, une mesure qui constitue une protection et une sécunté
pour le territoire national. (!) i>

C'est toujours la honteuse légende de la « Grèce proté-
gée u malgré elle.

EN FRANCE

QUELQUES VABITSS.

M, Vrbnm Gohier public dans le u tournai » du 8 mai
un article de fond intitulé : « Ne pourrions-nous suivre
l'exemple du Danemark ? » Pourquoi du Danemark ? h
demsnde-t-on. M. Goliier le dit : «S'il n'est pas patriotique
de prendre leçon des Mtcmands, prenons leçon des Danois ».
A la tetc de cet article ce trouvent quelques considérations
générales, qu'il nous semble utile de reproduire ; quelques
phrase» chauvines s'y sont glissées, que M. Gohier a sans
doute jugé nécessaires pour ne pas paraître K alarmiste » et
pour ne pas provoquer trop violemment la censure. Voici
celle introduction :

» L'Allemagne organise résolument g l'offensive écono-
mique » pour le lendemain de la guenc ; vaincue sur un
champ de bataille (I), clic espère prendre sa revanche sur
l'autre ; elle eonclut des m archet, prépare son ravitaillement
en matières premières, amasse des stocks d'objet» fabriqués,
pei fi 1 ! inskati son outillage industriel, révise ses plans et ses
méthodes pour les adapter aux circonstances nouvelles.

(n Vaincue sur un champ de bataille 1 ?? Où cela, Mon-
sieur Gohier ? — La Héd.}. *

« De notre côtf, les discours succèdent aux rfi'vouri, dons
les congres internationaux et naiionoui, dan* les confé-
rences tnterpa élémentaire s et parlementaires, dans le* conv
missions, dans les comités, dam les ligues, c'est une merveil-
leuse florcisoiPde harangues, de brochures et d'articles pour
démontrer « qu'il faudrait » nous organiser aussi.

<,< Personne, d'ailleurs, ne le rontcle. Mais nous croyons
avoir fait beaucoup en faisant des phrases. Les mots nous
su f lisent.

11 Quand nous avon* décidé que les csrnlopcs slinnoltft
s'a|.|n lli 1 .lient des c»< aliqics Ih'yi oi«n, — (il y a en France
une ville de Vu une qui fut pin'| en*, illuMre, et 1res digne
de donner son nom aux escalopes), — ou que l'eau de Co-
logne s'appellerait l'eau de [,uu\.iin, — (comme s'il n'était
pu», plus simple d'annexer Cologne (M) et de naturaliser
ainsi Jean Marie Vanna), — mm* nous frottons les mains...,

u Les plaisanteries sur le pain KK furent un tel délice
que nous ne tentions pas doubler, tripler ou quintupler le
prix du sucra, du pétrole et de IHIiool u brûler EnTin, la
géniale substitution du mot t*. boche » au mot a allemand 11
nous palfl nniplemcnl île deux années d'invasion, »

RAPPORTS ECONOMIQUES FRANCO-SUISSES.

On suit que les Alliés usent u l'égnrd des Neutres de
moyens peu cornpntiMcs avec lu a liberté » qu'ils prétendent
défendre. C'est ainsi qu'ils tendent à imposer, en abusant
de leur suprématie niiv'ale, un contrôle commercial aux
pajs neutres dont la vie économique dépend de l'importa-
tion.

En Suisse, c'est la u S. S. S. » (Société suisse de sur-
veillance économique) qui est chargée de ce contrôle Or
le <i Temps- n du 35 avril avoue que c'est là « un instru-
ment défectueux a bien des égards », Le grand journal pa-
risien écrit :

u Dans l'étal de choses actuel, on éprouve en Suisse un
vérilable découragement à constater que les Yilistnrlcs soule-
vés pan l'administration française restent à peu près ici
mêmes qu auparavant, alors qu'on pouvait légitimement es-
pérer que lo créalion de la k S, S. S. », avec les M orifices
de toute espèce qu'elle imposait n la Confédération, aurait au
moins l'avantage de hnsHttr les relations économiques avec
la Fronce.

n, Ces difficultés sont d'autant plus regrettables qu'elles
se trouvent encore aggravées pur la crise des transports.
Cette question, dont on connaît l'importance, sorl du cadre
de notre étude. Nous nous bornerons donc a constater qu en
dépit de l'effort fourni par la Suisse, l'amélioration obtenue
reste insuMisanlc. En effel, le nombre actuel de h agoni
suivies, se trouvant couramment en France, sjélcve a 4,ooo,
soit au quart environ du matériel mutant que po«sèdcnt les
chemins de fer fédéraux, néanmoins, la quantité de mar-
chandises qui pénètre quotidiennement de France en Suisse
ne dépasse pos la charge de joo wagon» au plus, dont les
trois quarts environ sont fournis par la Suisse et exclusive-
ment employés au trafic de transit. Les importations de
provenance française atteignent donc a peine 100 «ugons
par jour, alors que ccllvs do l'Allemagne s'élèvent en
moyenne à i43oo !

k Par surcroît, un arrêté, considérable de marchandises
suisses, remontant dans certains cas à ioi'i, encombre plu-
sieurs ports de France, pur suite soit de l'insuffisance, de leur'
aménagement, soit du manque de main-d'œuvre. ÎI en ré-,
suite que souvent les produits périssables s'y abîment, tan-
dis que les autres, grevés de droits de surestaric, de maga-
sinage, etc., finissent par codter à la Stiissf le triple de leur
valeur, sinon davantage........ n -

QUESTION D'ORGANISATION.

] Avant la guerre, la grande presse parisienne menait
une campagne aussi violente qu'injuste contre l'industrie
allemande, qu'elle accusait de tous les crimes, alors qu'en
réalité il s'agissail simplement d'une manœuvre de concur-
rence peu loyale. r

Vnjnurd'hiii, on commence h se rendre compte que c'est
le travail pacifique cl sérieux de l'Allemagne qui lui a valu
tes succès légitimes et que ce n'est pas en calomniant la
concurrence, mais uniquement en employant de meilleures
méthodes industrielles et commerciales que l'industrie
française po.ara prospérer.

Voil.\ oc qu'écrit M. Octave Umnne dons la u Déptche »
de Toulouse :

n Nous nous rendons compte dp la médiocrité et de la
routine Je nos procédés commerciaux et de l'insuffisance de
no* fabrications Industrielles. 11 nous faut relever partout
notre exportation pitoyablement, dét hue, créer, de toutes
pièces, des organisme» nouveaux de productions chimiques
ou autres et nous ouvrir carrière, par exemple, dans la
teinture du textile où les Allemands sont dos fournisseurs
exclusif* et omnipotents. Non» devons ardemment prendre à
rmir d'innover, de répandre à l'étranger nos voyageurs et
nos marques françaises sur If us les marchés lointains. Pour
arriver à nos fins, il est surtout urgent de réformer les con-
ceptions l'Imites, égoïste» et routinière» de ito* grandes mai-
sons de crédit financier, qui se «ont jusqu'ici iln\nnlnge
préoccupées de leur intérêt si particulier et borné en l'ingé-
niant sans cesse aux placements d'emprunts étrangers, plu-
tôt que de l'intérêt généra] du pays, etc....... »

D'autre part, M Compèrc-Morcl constate dans 1' « f/u-
mnmlê » l'insuriisancc de l'organisation française :

« Si, au lieu d'altendre que le» événements nous contrai-
gnent ■ réglementer aussi étroitement nos besoins, nous
avions nji préventivement, notre situation iiiun. it-re serait
moins compromise ol la vie de la population moins pré-
carre.

(i Mais le grave défaut de notre race étant de ne penser
1 remédier au mal qu'au moment même où il nous est im-
possible de faire autrement, ce fut un tollé général chaque
fois que nous avons demandé qu'une organisation ration-
nelle et prévoyante utiliOt mieux et plus avantagcu'ement
l'ensemble des richesse» que nous possédions...... 11

Le Danger des Chimères

Dons la » Dipêehe « de Toulouse, k NU an cier-jounia liste Ed-
mond Hiraucourt publie un article, dont voici quelques passages
essentiels :

k Ceux qui se nourrissent de chimères viennent d'avoir, je
pense, un cruel déjeuner, en apprenant tout à coup les con-
ventions pastéea entre l'AIlenruignc et la Roumanie, conven-
tions qui assurent tout au moins la paix à un ennemi qu'on
se plaisait ù considérer déjà comme des affamés. Je nu suis
pai de ceux qui pâliront de ce déboire et qui procureront aux
Boches la joie de le contempler

Cela tient simplement ù ce que je professe une convic-
tion salutaire, ou que du moins je juge telle Depuis le début
de la guerre, je me tiens prudemment u l'ubri des illusions,
qui m'épargnent le* désillusions. J'eslimc qu'il faut su garder
de la complaisance dangereuse qui nous porte à croire trop
aisément ce que nous déairoris.

L'optimisme béat n'est bon à rien, parce qu'il endort
l'énergie ; les mirages sont funestes, parce qu'ils préparent
de pénibles réveils en face de la vérité ; le plaisir éphémère
qu'ils ont procuré il noire imagination nous )ais»c sans urmes
contre les exigences de la réalité, et je n'uirno point ce
plaisir-lu, parce qu'il diminue en nous la notion des devoirs
qui s'imposent à nous ; j'abhorre le misérable jeu de l'au-
truche qui ic cache la tète dans un trou, pour ne pas voir
venir le danger, et je ne conoois guère qu'il,puisse y avoir,
dans la crise actuelle, de politique plu* néfaste.

Voilà dix-huit mois qu'on nous parle de Népui>cmcnt de
l'Allemagne, de la famine à. Vienne, de ta misère û Buda-
pest, des émetilrs ù L' riin. Vous mppclez-vou» nos rires
quand on nous présenta pour la première fois, en 19jni, le
pain K et le pain KK P Je refusais pourtant de me réjouir ;
quand on m'a, montré, comme preuve, de» morceaux de ce
pam-là, j'> ai bien, en effet, reconnu une preuve, non pas
de la détresse où se trouvait déjà notre ennemi, mais au
contraire de sa force, cl j'y ai vu, non pas une promesse,
mais tant menace.

LISTE 5T 15S CONTENANT 450 NOMS

(Reproduction stricte ment interdite)

Lk nom u lilt Ok groupss désignent les endroits où se trouvenl les prfswiien dont les cous silvsul — le total dis noms nvnités fy5i)Ui>j«wnial se mrcte a environ 954,400.

Total des prisonnier* français interna» ors Allemagne i 330,000.

GIESSEN

ISuite.) , - ,

Eloc Alexandre, NeufcbAtel.-en-Saûnnois (Sarihe), uai. 3is.

J.-..uh l?i«rra, Knnquia (Luirfl-lnftjneuiw), infanterie 101.

Eveu François^ St-Gillcs-les-Bois (Cotcs-du-Nord), inf. 101.

Eve Julien, Vtmrifjnay (jeteuse), chasseurs à pied 16.

Eïin Auguste, Ballot (Moyenne), infonlerie 101.

Etctwverrs' Joan-Buptiste, Istarits (Basses-r*vrénè«s), inf. 170

Etiertne Jules, Aubenas i Vrdèclic}, infunlcnc 170,

Evrard Adelin, Nancy (McHrllie-et-Mos.), capor., tirait. m*vr.

Fsrdel Jean-Baptisst, Lillers (Pas-de-Calais;, infanierie

Fargier Léopold, Ilurset (Ardèche), tirailleurs maroc.

Faucœur Julien, Bel hune iHas-de-CaJiiisi, infanterie 373.

Fsvron lidssMwd, Niort (DeiiK-Sè-vits), infanterie 170.

Faye Henri, Usoux (Creuse;, infsuterie 170,

Février Henri, Amettes (l'ae-do-Calais-i, infanterie 37!.

Fiflo Blieime, Paris, infanic-rie 3io.

FrwHeim. Baillent (Nord), infanterie 3io

Jlahiut .]c„:i Baptiste, ]^iëvin (Pas-de-Calais), cap., inf. -..3.

Florent *mcJ, Cauchy-à-lerTour (Pas-de-Calais/, inf. 373.

Fallet Ainrufite, Merville \nid,, infanterie 373.

Fourcad" Pierre, Mcndivo (Basses-Pyrénées), infanterie 170.

Fousmy \u<?n$Ie, Appcnai 'Orne), infanterie 170 .

Fournier Pnul, Deavres iPas-de-Caleis), infanterie 308.

Fmnohow Henri, Dunkerque (Notsr), infanterie 3ao\

Fulchiron Pierre, Saint-JeamBortnof (Loire), infanterie 170.

Galisèii' ttan, Sumac (Gironde), infanterie 170.

Gamain Ubcrt, Cambrin (Pas-de-Cnlaisj, caporal, inf. 308.

GaLuinfrt Stlflltsuine, Cenon (<Girond*>), infanterie 170.

Gérard Marcel, Har*»ult (Vo-pres), infanterie 170.

Geoffroy Charles, Saint Vnllier (Saone-et-f-OireJ, inf. 170.

Gervv Marins, Desni^iu* Vrdcche), infanterié 170.

Cliinsberg Clinstion, Pau- infanterie 10S.

Gérard Marcel, Paris, infanterie 170. .

Godau CeoiRcs, Paris, iiifan'u'i ie 170.

Godderidjje Joseph, Calais (Pas-dt-CalTi-i), infanterie 308.
Godefrm \rc.ide, Naonr-> 'Somme'), infuulerie 170.
Gombeit B'né, Ponl-de ^.eppe i,>ord>, infanterie 373.
Gossart Pernand, BtJanea ràt-dfc-CtltPÎs), infanterie 30S.
Gossct Paul, \nclult , 1b-,11 1 PaS-de Calai*;, infant. 373.
Gouilly l otm, l a Bén].'Ciiuiide), infanleiie 170
Gourdin Theodbre, Hcsnil les-Kultt > l'a-.b-Calais), inf. J73.
JJrapeaii l.uffi-ne, Sain! Vnieeal (Vendée), infnnlerie 137.
Durand hionçois, Pari». Bifanleric 1.17. ,
iMiry H.-niî, Pans, inf, i.t -, e-

Duboz I uejen, Cluire* cu-Pl une (Côte-d'Or), chttttlirj a.
Dieunu; ani Alphonse, Payi ï-siir-YendVe (VcmMt), inf. 137.
Darras < totgpfc Bosr PJMîn (?eine fnféVicuroJj inf. 3rç>.
Devisot Georgtt, Toul (Meu lhe-ef•Mottite), infanterie ikt.
Dupuis cianvois, Mard ' im" Ctorf), infanlene 137.
Diinetni Ile,,n, lt.imin;i: a (Sssrdc-CalaMÛ, infanterie («S.
Lssioux Qumï, UrU ^ ffi [c>rssj, cambrai, infanierie /in3.
Evsui Ce asXttt, U-i4i.fi ! iii-lùv. uffanterie 65.
Even b >«. Queniui fi 1 , |. infanierie ijo.
Esnanll Itnruàrd, I tvvt- I 1.r■ •et-(.oire), infanterie ijo.
Etienne Alam, Lcvaié (Majenne), infanterie i5o.

Fouchart Ernest, Flcurj-ln-Rivière (Marne), infanterie iai.
Faugèrc Jacques, Aubenilliers (Seine), infanterie 1S0.
Fretel Ambroise, La Kontenellc (Illc-et-Vilaine), infsnt. j5o.
Frin Pierre, Iffindic (Ille-et-Vilaine), infanterie i5i.
Fiquet Pierre, Clevillt (Calvados), caporal, tirailieuss maroc.
Fouitleul Louis, Colombiers (Mayenne), infanterie :5o.
Feunteunau Germain, Pleybcn (Finistère), infanterie Gô.
Feruel Goorgcs, Merlcllitre (Orue), infMnteric i5i.
Frcuohct Jcao, La Chevreliere (Loire-Infiir.), cap., inf. 65.
Frcsnais. Théophile, ticauniont-sur-Siirlhc (Sarllie), inf. i5o.
Foncier Gustave, Reims. (Marne), infnnlerie i5o,
Fauconnet Pierre, Tcga (Dordpgne), uifiuiterie i5r.
Fauriisoii Bernard, Limoges (Haute-Vienne), infunlcrie 80.
Fabre Victor, MonUm-lauss i,Scine-et-Msjne), chasseur, a.
Freuchet Louia> La Chevreliere (Loire-lnfonicure), inf. 137.
Fitarnant Jean, Diocault (Finistère), infanterie coloniale 3.
Krabroiikit Guillaume, Loudéac (Cotes-du-Nord), infant 19.
Fressauge Philistin, biorac (Uordoyne), infanterie 44-
Giraud Alexis, Poutaugos (Vendée), infanterie 137.
Gallic Louis, Bontanio-(Knisjtre), infanterie 65.
Gourrnaud Pirmm, St-lliluire-des-Logcs (Vendée), inf. 137".
Farvaque lïmilc, Watlielos (.Nord), caporal, infanierie t6a.
Fasquel Edouard, Calots (Pas-de-Calais), chasseur» 16.
Faucon Emile, Albert (Somme), infanterie 3i5.
Favcrnicr Jules, St-Moure-la-Bruyere (Sarlhe), infanL 3i5.
Favicr Aiigustc, Brelcuil (Oise), chasseur* 8,
Favre Joseph, Sainl-Pol-dc-Varaix (Ain), infanterie 44.
Feillu Félicien, Brou (Euif-et-Loire), infanterie 101.
Félix Eugène, Courtes 1 \m), infanterie 44.
Fcrson Adolphe, Saml-Brieuc (Cûtes-du-Nord), infanterie gà.
Fesq Jenn-Boptiîte, Cmley (CanttJ), toutves 3.
Fiévô Pierre, Samt-Pierre-Eschon (Oise), ohassours 8.
Flcurinet Gaston, Cbanuuy (Indre-et-Loire), zouavea 3.
Fleury Jci^n, La Bnaouge-du-Désert (Ille-el-Vilaine), inf. iôl.
Floun Etienne, Voiteur (Jura), infanterie â\.
Fodre Amédoe-François, Paris, infnnlerie gà-
Fouanon Théodore, Courtemont (Sarthc), infanterie 3i5.
Foucber Jules-Henri, Laval (Mayenne), infanterie ia4.
Foulard Auguste, Savigné-Lévêquo (Sarthc), cap., inf. 3i5.
Fouijuet Emile-Chartes, Paris, infanterie 16a.
Fourcadé Sauveur-Jean, Illo-sur-Tûte (Pyrén.-Or.), inf. l»J.
Fourmy Marcel, Fiée (Sarlhr), caporal, infanterie 3i5.
Fournier Edouard, St-Eticnne-du-Bouvray (S.-Inf.), inf 10a.
I-ranibourg Alfred, Bcrny-Iliviére (Aisne), infanterie g4.
François Louis, Miennewllc (Somme), chasseurs 8.
Franol Jules, Chartres (Eure-el-Loirc), adjudant, inf. 10a.
Fa-Iier Victor, Marcq-en-Bnrcouil (Nord), chasseurs 16.
Friches Virgile, Besançon (Doubs), infnnterie ifis.
Fulneau Alphonse, Bougonnet (Loire-Inférieure), inf. 101.
Fourq^Éfcjcrre-André, Allcgras (llnulc-Loire), infant, roa.
Faure^TOToine, Pont-dcs-Eaux (Puy-de-Dt^mo), infant. 170.
Faure Simon, Bourg-Lastic (Puy-dc-1 >ôme), infnnterie 170.
Figcron'Raymond, Queyrac (Gimnde), infnnterie 170.
Fargeot Félix, Ccyze-riat (Ain), Mpttlè, infanterie lté},
Fnriria Félix, Coudrin (Oise), infanterie 163.
Faucon George*. Sottoville (Seine-Inférieure), génie 1.
Fauveau Henri, Be»se ^Sarthc), infanterie 3i5.

Pauvre Valcntm, Foussais (Vendée), caporal, infanterie 64.

Favereou Auguste, Mieul-sur l'\utize (Vendée), chas, à p. S.

Fay Lucien, Villers-l'Hôpitnl (Ha»-de-Calais), infant. i5i.

Fellen fugène, Paris, infanterie 3i5.

Fenouillel Ernest, Loiiibron tSnrthe), infnnlerie 3i5.

Feres AlDert, Douges (Loire-lnfvrieurc), sergent, infn-nt 65.

Ferv* Henri, Lillers (Pf«*-de-Calais), chasseurs à pied 16.

Fcrragu Henri, Lu*smill (Indie), infanierie -g.

Fenand Clinrles, Pans, cupural, infanterie t)4.

Ferré François, Pans, infanterie 64.

Ferret Georges, Tourcoing (ÎN'ord), caporal, cha»s. h pierf 16.
Feunlcun Léonard, Landuval (Finistère), infarrlrrie 6$
Fiai 111 Ferdinand, Saint-Viren-BrisauH (Orne), infant i5i.
Fillette Albert, Monlailliî (Sarthc), infanterie 3i'i.
Fillon Albert, La Chopelle-MonLligeou lOrne), infant. 5r.
Fin Charles, Wimy (Aisne), infanterie i5i.
Flamand Ferd., Mat-du-Rey-Canet (Pyr.-Or.), cap., inf. toi.
Flanc Julien, Hem (Somme), chasseurs A pied 8.
Fleury Louis, La Ferrgicre-au-Etangs (Orne), infanterie 37.
Fontaine Albert, Yerres (Eurc-et-Loire), infanterie 101.
Formcntel Henri,Clichy (Seine), sergent, chass. a pied P.
Four art Adolphe, VilJers-Brulian (Pas-de-Calais), ch. i p. iC. t
Fougernt Maurice, Confolens (Charente), infanterie 163.
Fournier Maurice, Château l'Abbaye (Nord), infanterie 79.
Fournier Henri, Amiens (Somme), sergent, infanterie 3i5.
Fourrier Emile, Pans, sergent-major, infanterie i53.
Fourrieux François, Lucé (Eure-et-Loire), infanterie 3oi.
François Léon, Ccré (Indre-et-Loire), infnnterie 73.
Frayer Oscar, Bazoche-en-Bcrnois (Eure-ct-Loire), inf. 10a.
Frcliei Arthur, Lillers (Pas-de-Calais), chasseurs a pied iQ.
Freraie Henri, Paris, infanterie 3i5.
Frcuton Louis, Cormes (Sarthc), infanterie 3i5.
Freyburger Charles, Mottuncourt (Vosges), infanterie 75.
Frichet Henri, Matangua (Marne), chasseurs à pied 8.
Fricquignon Marcel, Puxieux (Meurthc-et-Mot.), ch. a p. 16.
Frison Charles, Ecury-sur-Coole (Marne), infanterie ioa.
Froumenly Pierre, Saint-Hilaire (Loire-el-Chcr), ch. i p. 16.
Gabont Louis, SainL-Prouant (Vendée), chasseurs a pied 8.
Gabriel Norbert, Saint-Cliarny (Aianc), infanterie i5i.
Gachignard Jean, Saint-Hermeaault (Vendée), infanterie 37",
Galand Joscpli. Bi .1 e-du-Lodct (Finistère), infanterie 65.
Galibourg Louis, Nogent-lc-Hotrou (Eure-et-Loire), inf. 3i5.
Galinis André, Eguson (Indre), infanterie 3i5.
Gslliot Jean, Menilobn (Canada), infanterie 10a.
Gallopin lsmaél, Nogent-sur-Eure (Eure-ct-Loire), Inf. io>.
Gallon Louis, Plutin (Cotes-du-Nord), infanterie 64.
Gallouedec Jesn, Saint-Thugonnet (Finistère), infant. 64.
Galloucdec Yves, Pleyber-Christ (Finistère), infanterie 64.
Garel Emile, Montoirc (Loire-lnféricure), infnnterie 65.
Garcl Julien, Bain-de-Brelngne (lllo-cUViloinc), inf. iBJ.
Garnier Eugène, Chnpelle-Janson (Illc-et-Vilaine), inf. toi.
Garnier Victor, Pari*, infanterie 79-

Garreau Alphonse, Mviisonneuvc (Vendée), chass. 1 pied 8.

Gaucher Henri, Fyé- CSarthe), infanterie loi.

Gaucheron Picn-e, Ecbellr-Jamignièrc (Eure-ct-L.), inf 10a.

Gsumer Albert, Mnntilly (Orne), infanierie 37.

Gauthier Charles, Arrencourt (Meurthe-et-Moselle), inf. i46.

Gsuthier Louis, Fouenri (Maine-et-Loire), infanierie 10a
Gareju Clément, LueUion-'ur-Vir (Vendée), infnnterie 64.

Geoffroy l'homns, Plouman (Finistère), infnnlerie ro.
Gcndrineau Jean, Barbeaieux (Charente), infanterie 44.

Gendron Jean, Blain (Loire-Inférieure), chasseurs h pied 8.
Geneste Maurice, Vincennes (Seine), chasseurs à pied 8.
Genevois François, La-niy (Nièvre), mfnntrrw 37.
Faubert Ulysse, Villidommango (Marne), chasseurs 66.
Fiévet Charles, Moubeuge (Nord), infnnlerie tflt
Fournel Léon, Auberives (Marne); chasseurs 6u.
Fâché Joseph, Landes (Nord>, chasseur* 65.
Feugère Ernesl, Uesidon (Calvados), chasseurs 60.
Enivre Jules, Gentilly (Seine), infnnterie 3f>4-
Fontaine Victor, Darcmbert (Nord), infanterie 394.
Fouré Mené, Epernay (Marne), chasseurs bg.
Fernande Gustave, Paris, chasseurs ng
Fournîer Stanislas, Paris, chasseurs 60
Forsse Denis, Saint-F. lien ne (Loire), chasseurs On.
Guillemin Louis, Joncy (Saônc-et-Loire), sergent, inf. 170.
Gabriel Jules, Orquigny (Marne), sergent, chasseurs 65.
Gilbert Augustin, Troisvillcs ÇSotd), cliasseurs 65.
Gadoulrau Pierre, Paris, chasseurs 65.
Glay Emile, Mnyenmoutiers (Vosges), infanterie 1715.
Gourdin Irénée, Bruay (Pas-de-Calais), sergent, infant. 373.
Gmndrémy Jules, Cornicy (Marne), infanterie 170.
Grard Emile, Solre-lc-Château (Nord), chasseura 65.
Gricsser Jean-Baplislc, Perdrupt (Vosges), infanterie 170".
Girardol Marius, Epernay (Marnc)j chasseurs 69.
Gondcmand Etienne, Paris, infanterie 170.
Cirardin René, Essarfs-les-Sezannc (Maine), infunterio agi.
Grenei Maurice, Villers-Guisluiri (Nord), infanterie ag4.
Gallois CSlestin, Scrannc (Maine), infanterie 394.
Grandvalct Pierre, Lanouée (Morbihan), infanterie agi.
Gcsson Georges, Le Chesnc (Ardennes), infanierie ag4.
Goupy René, Paris, chasseurs 69

Gallsnt Casimir, Gouy-cn-Tcrnois (Pas de-Calais), inf. 373.

Gyégen Yves, Pospoder (Finistère), infanterie

Gaillet Léon, Bar-Ie-Duc (Meuse), infanterie ao4.

Hemlwrt Louis, Guine» (Pas dc-Calais), infanterie 373.

Hermant Hippolyte, Fresnîcourt (Pas-de-Calais), inf. a"73?

Hochart Jules, Plumaison (Pas-de-Calais), infanterie agi.

HoIIemart Marceau, Lillo (Nord), zouaves 3.

Engels Adolphe, Villcfranche (Rhânc), infanterie 35g.

Exoofticr Juste, Valmente (Savoie), infanterie 35g.

Fabre Isidore, Landeyra (Cantal), infanterie 35.

Fabre Jean, Landeyra (Cantal), infanterie 35.

Fâche Marius, Saint-Sauveur (liantes-Alpes), infanierie 35g.

Faivre Louis, Neu\cllc-lea-Lure (Hte-Saôno), capor., Inf. 38.

Fauro \malov, Cornilltc (Drûme), infanterie 3og.

Faure Léon, Saint-Sauveur (Hautes-Alpes), infanterie 36g.

Féaud Auguste, Vcijon (Ain), infanterie 4a.

Floquel Maurice, Lona-le-Saunier (Jura), infanterie 4a.

FoJliol Pierre, Issigny (Calvados), infanlorie colonial» 1.

Founux Victor, Bcauhray (Eure), infanterie coloniale 6.

Foulon Victor, Des\rca (Pas-de-Calaia), infanterie 373.

Fuoc Abel, Chamaret (Drôme), infanterie 35g,

(A suivre.)
 
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