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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 7.1877

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https://doi.org/10.11588/diglit.6810#0012
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LE GRELOT

LA SEMAI N

le portier.

Monsieur, j'ai l'honneur de vous la souhai-
ter bonne et heureuse.
** * •-• • • moi.

Merci, mon ami, merci... tenez... voilà dix
francs.

lé portier.

Bien obligé, monsieur(A part). Dix francs I...
pané, va !.,. si tu crois que je te monterai tes
lettres I

(7/ sort.)

la bonne.

Monsieur, permettez-moi de vous la sou-
haiter...

moi.

Bonne Joséphine!

la bonne.

Et de tout cœur!

moi.

Je w'en doute pas... oh! je sais que vous
êtes une brave fille... Voilà vingt francs.

la bonne.

Que monsieur est gentil I... (A part, en s'en
allant.) En v'ià un ratl... vingt francs!... et
moi qui passe mon temps à dire à ses créan-
ciers qu'il est en voyage chez son oncle à hé-
ritage!... Ohl les maîtres!...

le charbonnier.

Monchieur, ch'est aujourd'hui...

moi.

Je sais, mon ami, je sais... voilà cent sous.

le charbonnier.

Monchieur est b|en aimable !... (En sortant.)
Client chous !... chi cha ne fait pas pitié!...
pus chonvent que tu auras ton poids, echpe-
che de rapial...

moi, ches ma maîtresse..

Chère amie, permets-moi de l'offrir, avec ce
sac de marrons, ce petit porte-bonheur qui...

ma maîthbssb, pinçant les lèvres.
Vous n'avez pas dû vous fendre beaucoup,
vous, dites donc, pour acheter ce bibelot-
là!...

moi.

Mais, chéri amie...

ma maîtresse.

On dirait du toc!

moi, rageur.
Du toc!... Il me coûte parbleu bien dix
louis 1...

ma maîtresse.

Eh bien, en ce cas, on vous a joliment
floué !... Ça vaut cinquante francs.

moi.

. Enfin, ma bonne amie, qu'est-ce que tu
veux.... je ne suis pas Rothschild, moi...
D'ailleurs, le coeur y est.

ma maîtresse.

Votre cœur!... votre cœur!... quéque vous
voulez que j'en fasse?... Quand je serai sur la
paille, est-ce qu'on me prêtera quéque chose
dessus au clou, he:n?

(Inutile de faire observer que ma maîtresse est
une jeune personne extrêmement distinguée. )
(Chez les Gratinard, une famille très-bien, amie
de la mienne, et où je suis obligé, par conve-
nance, d'aller une fois par semaine manger du
bœuf aux choux.)

moi, tenant un pot de fleurs à la main.
Chère madame Gratinard, serais-je assez
heureux pour vous faire accepter, à l'occasion
de la nouvelle année, cette plante grasse qui
produira, j'ose le dire, un certain effet uans
votre jardinière î

madame gratinard, jetant un cri d'effroi.
Dieu 1 que c'est laid!...

moi.

Mais, maintenant, c'est la mode, et...

madame gratinard.

On dirait uh pissenlit mal venu.
(Notez que j'y suis de seize francs avec la plante
grasse. Enfinl... je serai peut-être plus heu-
reux avec le jeune Gratinard, un aimable es-
piègle qui met du cirage dans le pot-au-feu,
sous prétexte que ça colore mieux, et de la pou-
dre à gratter dans votre faux-col.)

moi, souriant.
Mon petit ami, daignez accepter ce polichi-
nelle... articulé... et cette boite de chocolat
que...

le jeune gratinard.

Voyons voir vot' polichinelle... Oh! là! là.r
il n'est pas chouette... et quant au chocolat,
merci!... il me fiche la colique. Faut porter ça

au cinquième, chez le môme du savetier... il
aime bien çs, lui.

(Je sors furieux )
Les époux gratinard, quand je suis puni.

S'il est Dieu pennis de veiïir bouffer toule
une année chez des individus et de leur offrir
des horreurs comme, ça au jour de l'an!...
Quel crasseux!... Il peut bien rester chez lui,
par exemple !... C'est pas n.;us qui nous en
plaindrons !

¥

' *

Et c'est partout la même chose !..,
Qu'on me dise que j'ai tortl...

* «

Eh bien, moi, je demande l'abolition des
étrennes !
Mais là, franchement,., carrément.

Qu'on me trouve antre chose!
Du nouveau I... du nouveau)
Je demande du nouveau!

« N'en fût-il plus au monde! »

Comme dit une ancienne romance jadis
extrêmement répandue et dont dix-sept per-
sonnes peut-être, moi compris, se souvien-
nent encore a l'heure qu'il est.

0 fragilité, dès romances ! !

Oui, je ne trouve rien d'odieux, de bête,
d'idiot, de dangereux, de sauvage et d'absurde
comme cette convention qui lait qu'un jour
par an la moitié du monde se moque de l'au-
tre qui se ruine pour elle.

Quand on aime les gens, on leur donne
toute l'année.

Quand on ne les aime pas, il est assez dur
de se mettre pour eux, les trente et un jours
de janvier, sur la paille.

Je reviendrai quelquefois sur ce sujet, qu'on
se le dise t

Et avec d'autant plus d'énergie que je suis
absolument convaincu de l'inutilité de mes
réclamations.

Mais ça me soulagera!

Et j'aurai, ô martyrs, mes frères, la conso-
lation du devoir accompli.

NICOLAS FLAMMÈCHE.

L'INVENTAIRE

Nous sommes à l'époque où tout industriel, tout
commerçant,—marchand d'eau rie Lourdes nu de ely-
soponipes, fabricant de seapuiaires ou chirurgien un
vieilles chaussures, — l'ait Sun inventaire, élaulilson
bilan, et cherche à supputer combien il a gagné dans
l'année de clémence et d'opportunisme 1876.

Nous croyons fermement ne pas émettre une opi-
nion subversive en disant que les hommes politiques
ne doivent pas être classés dans une catégorie infé-
rieure à celle des marchands de peauxde lapins ou des
négociants en engrais plus ou inoins odorants et fal-
sifiés.

Aussi, sommes-nous persuadés que nous ne tom-
bons sous le coup d'aucune loi en imitant ces inté-
ressantes classeb de citoyens, et en dressant dans les
colonnes du Grelot — un des organes politiques les
plus sérieux de France, — le bilan de l'année qui
vient de finir.

De prime abord, il semble que le Doit et l'Avoir
se balancent presque également.

Chaque fois qu'on a fait un pas en avant, on en a
fait immédiatement un en arrière,... quand ce n'est
pas deux.

Et les génies politiques, qui sont chargés de nous
faire gravir la rude pente qui mène à la véritable
République, n'ont jamais pu mériter un bon point,
sans faire, aussitôt après, une faute qui leur eût valu
un bon coup de palette sur les doigU.

Ainsi, 1876 a vu la fin de l'Assemblée élue dans un
jour de malheur.

xVlais elle a vu naître le Sénat,

Elle a vu tomber M. Ducros de Pont-trop-court, le
préfet de Lyon,

Mais elle a vu lui succéder M.Welche, l'inventeur
de la censure des discours prononcés sur Jes tombes,
l'immortel auteur d'un décret qui peut faire con-
damner à six jours de prison,un scélérat, coupable
d'avoir prononcé, sans autorisation préalable, sur la
tombe d'un ami, une allocution , capable de l'aire
sortir l'hydre de l'anarchie de son antre, comme
celle-ci :

Ma pauvre vieille branche de Lichevinasse,
Tes vieux copains viennent de t'aider à emménager
dans une condition dont tu ne partiras pas au ternie
prochain, comme c'était ton habitude, et ils ne sont
pas plus contentsque ça de te voir enfin une position
stable. vSfeffv

Enfin, que veux-tu, tu es mort', c'est un accident
qui peut arriver à tout le monde, et il n'y a rien à y
faire.

Prends-en philosophiquement, ton parti, vu que ça
ne sert à rien de se taire du mauvais sang dans ces
cas-là, et que tu n'en auras pas un asticot de moins
qu'en prenant ton mal en patience.

Nous savons que tu étais un vrai camarade, et que
tu avais toujours du plaisir à voir s'amuser tes amis,

Aussi, pour te causer une dernière joie, nous allons
nous payer une bonne petite noce où on te jure de
bien s'amuser pour l'être agréable.

—o—

Continuons.

1876 a vu détruire le crédit relatif aux aumôniers
militaires,

Mais elle l'a vu rétablir deux fois, par le Sénat et
par la Chambre,

Elle a vu autoriser le Congrès ouvrier,

Mais elle a vu empêcher la réalisation de toutes les
réformes qui y avaient été projetées.

Elle a vu demander le pardon, l'oubli, l'apaise-
ment.

Mais elle a vu voter l'inamovibilité des haines.

Elle a vu le maréchal de Mae-Mahon ordonner gé-
néreusement, dans une lettre célèbre, la cessation des
poursuites,

Mais elle les a vues continuer.

Enfin, tout ce qu'elle a vu créer de beau, de bon,
de véritablement progressif, elle l'a vu aussitôt annu-
ler, détruire.

1876 n'a renversé aucun abus, — mais elle a soi-
gneusement conservé tous ceux qui existaient :

Les interdictions arbitraires de réunion;

Les attentats contre la liberté de conscience, prin-
cipalement dans les enterrements civils (atïaire Féli-
cien David) ;

Le volontariat d'un an, cette odieuse loi qui favorise
annuellement six mille crétins, ayant le talent de
posséder des parents assez niais pour payer 1,B00 fr.,
afin de n'être débarrassés de leur progéniture que
pendant un an;

Les impôts exorbitants qui écrasent le pauvre et
ne font qu'effleurer le riche;

Le tirage du jury, ce truc ingénieux qui consiste
à ne mettre que 25 numéros dans un sac, pour faire
sortir les gagnants d'une loterie qui devrait être tirée
pour 100 billets;

Etc. Etc.

Tout cela a été maintenu avec un soin excessif par
le grand parti conservateur !...

Si sur tous ces points on n'a pas avancé, en re-
vanche, sur beaucoup d'autres, on a recule.

Ainsi, du côté de la liberté rie la presse, nous avons
vu ressusciter les décrets de 1852,

Et les journalistes ont payé au Trésor, soixante mille
francs d'amendes de plus qu'en 187o.

Nota Rens. tti'ajnianach l'Aigle, qui traite le
gouvernement de la République de « ras de bandits, »
n'entr» pas pouf un sou dans celte augmentation.

Que dire de. notre prestige à l'étranger?

Croyez-vous que la cuniiuite des habiles diplomates
que l'Europe nous env.e— pour un faire des gardes
ch unpêtres, — ait été de nature à donner aux autres
puissances une idée tant soit peu relevée de notre
énergie?...

Et cette faria francese, autrefois si fameuse,qu'est-
elle devenue?...

Hélas!... où sont les neiges d'autan?...

L'opportunisme a tout amolli, tout énervé,—disons
le mot, brutal, mais vrai,—tout avachi

Ce n'est pas impunément qu'un peuple admet pour
base de la politique qu'il doit suivre, lu principe sui-
vant :

— Si on te flanque une gifle, au lieu de la rendre,
demande pardon, de peur d'en recevoir deux 1... »

Le plus optimiste des importunistes pourra tout au
plus nier ces pas en arrière, et je le défie de. trouver
plus de deux progrès accomplis dans le courant de
cette mémorable année, qui vit Gatubetta triompher,
en formant une écrasante majorité républicaine, et,
connue Annibal. nu savoir pas profiter de sa vietnire :

1" La reconnaissance ollieielle du titre de Répu-
blique Française, et son adoption sur les timbres-
poste,

2° La pratique de la Large Clémence.

Malgré notre envie d'être agréable aux républicains
sincères, mais modérés, qui votent pour le maintien
d'tin ambassadeur auprès d'un pape qui n'a plus d'au-
tres Etats que celui de grâce, nous négligerons, à
notre Avoir, cette somme de Progrès, tout comme les
commerçants négligent, les centimes dans les factures
dépassant cent francs.

Et nous ne pouvons rien faire de plus galant aux
opportunistes, que de déclarer que le bilan du Progrès
accompli en 1876 se solde par zéro.

Et encore, nous négligeons de bien étudier les frais
généraux,

Qui, si on ne change pas les administrateurs, pour-
raient bien conduire ta République à une faillite.

GRINGOIRE.

FEUILLES AU VEUT

Quand on va dans une bibliothèque publique à
Paris,

Et qu on a quelques recherches à faire,

(lu ést abasourdi de la quantité de réglementations,
de restrictions, de prohibitions, de recommandations,
d'interdictions—de toute sorte—dont est accompagné
le prêt du plus simple volume.

Avec une exquise impolitesse,

LèS directeurs de ces établissements créés surtout
pour le bien-être des employés qui y logent comme le
rat. dans son fromage, vous font entendre par leurs
règlements, plus prolixes que Jules Simon et Albert
Vfblf, que rien ne les ennuie davantage que de vous
prêUr les livres confiés à leurs soins,

D'abord, parce que se donner la peine d'aller
chercher dans leurs rayons des bouquins poudreux
peut salir les mains,—ce qui est le suprême de l'em-
bêtant;

Ensuite, parce qu'ils vous considèrent comme de
simples voleurs dont la seule apparition ne motive
que trop ce cri du cœur :

« Esclaves, cachez l'argenterie ! »

» *

Ce qu'il laut, en effet, à la Bibliothèque nationale,
de formalités, d'explications, de supplications, de
laisser-passer, pour obtenir un ouvrage quelconque,

Et pour sortir ensuite de cet édifice peu public en

obtenant de n'être pas fouillé des pieds à la tête, c'est
inconcevable.

Mais si vous allez au déparlement des Estampes,
c'est bien une autre affaire.

Les épreuves maçonniques,

Les minutieuses pratiques de l'initiation aux mys-
tères de l'antiquité,

Et les examens pour entrer dans le corps d'Etat-
major allemand ne sont rien auprès de ce qu'on exige;
de vous avant de vous communiquer l'œuvre de Lucas
de l.eyd—ou les désopilantes caricatures de Cruisks-
liank.

Les employés, fort occupés de leurs propres tra-!
vaux, ont l'air de dire, quand vous vousadressez à
eux :

— Quel est ce malotru? et pourquoi vient-il me
déranger?

Vous cependant, le chapeau dans la main, comme
le courtisan de Malhurin Régnier, vous demandez
d'une voix douce, et d'un air contrit et affligé de
troubler dans sa besogne un personnage si important,
— vous demandez qu'on veuille bien vous communi-l
quer telle œuvre d'un maître flamand ou hollandais..

Il est rare alors que vous n'obteniez pas une de ces
réponses :

— Nous n'avons pas, monsieur.
Ou bien :

— Cette collection est communiquée en ce moment,
monsieur.

Ou bien encore :

— Cette œuvre est dans la réserve, — et ce n'est
pas aujourd'hui le jour où on communique la ré-
serve.

Vous venez de Là Chapelle, ou de Batignolles-
Clichy, ou de Levallois-Perret,

Et votre nez prend — on le conçoit, — des propor-
tions que ne fait que rêver celui d'Hyacinthe.

Mais que faire.

Ces messieurs ont des pouvoirs de satrapes et, s'ils
ont dans la tête de ne point vous prêter une seule
gravure et d'exiger de vous des serments affreux pour i
vous communiquer une image d'Epinal, c'est leur
droit, et vous n'avez rien à dire.
' . « Il faut bien prendre des précautions contre les
voleurs,»—voilà ce que ces messieurs ont quelquefois
la politesse de répondre quand on leur dit que toutes
ees tracasseries ne servent à rien.

*

Cependant, on vient de le voir, que ces précautions
étaient, inutiles comme une cinquième roue à un
chariot !

Le jeune M. Arnoux qui découpait dans les col-
lections les eaux-fortes ou les bois qui lui plaisaient
et qui allait les vendre chez Delaunay pour un mor-
ceau de pain, a bien montré que le département des
Estampes cherche à chicaner les visiteurs, et non
pas à les surveiller d'une manière efficace.

Car il faut bien le dire, et j'en parle par expé-
rience,

De tous les employés des administrations publi-
ques, soldés et rétribués avec l'argent des contribua-
bles, il n'en est peut-être pas de plus grincheux, de ,
moins complaisants, de plus pointus et de plus imper-
linents que les employés da département des estam-
pes, et qui laissent voir avec plus de sans-façon leur
mauvaise humeur d'être dérangés par ce gêneur de
public I

On prendrait, en vérité, ces messieurs pour des
amateurs à qui des importunsviendraient à tout bout
de champ réclamer la communication de leurs col- 1
lections particulières.

*

* •

Le procès Arnoux a prouvé qu'un peu plus d'atten-i
tion réelle dans la surveillance et moins de persi-i
liage dans leurs rapports avec le public ne seraient^
pas inutiles à ces aimables fonctionnaires.

Dire des impertinences aux travailleurs et les en-
voyer promener ne conservent pas les estampes,

Car il est curieux de voir que, dans ce départe-
ment de la bibliothèque, des gravures valant cha-
cuue douze cents francs aient pu disparaître sans
éveiller aucun soupçon,

Et qu'il ait fallu un amateur éclairé pour s'aperce-
voir que des œuvres de la plus grande rareté n'exis-
taient plus dans les portefeuilles.

*

* *

S'il y a des statistiques affligeantes,

Il y en a aussi qui vous font l'effet d'un bifteack
aux pommes quand on u'a pas mangé depuis vingt-
quatre heures : elles vous réconfortent.

Voici, en effet, ce qu'on lit dans un journal, au
chapitre de la statistique médicale :

« 11 y a eu à Paris, en 1876, 295 cas de folie. »

Seulement ?

.le croyais que nous avions eu bien plus de fous
l'an passé,

Et quand tout dernièrement, en décembre, ces:
trois cent soixante et quelques députés qui à propos
des droits financiers du Sénat...

Mais pas un mot de plus.

C'est un défenseur de la liberté de la presse qui
est vice-président du conseil !

C'est tout de même une jolie chose que la civi-
lisation !

Jadis, au temps des casques, les pères de Rome-
avaient le droit de vie et de mort sur leurs enfants.

On faisait trancher la tête à son fils quand on ju-
geait qu'il n'était pas tout à fait dans la ligne droite,

Et tout le monde trouvait ces procédés si naturels
que personne, — pas même le procureur de la Ré-
publique, — n'y voyait rien à redire.

C'était dans les mœurs.

Brutus livrait ses enfants au bourreau,

Et le peuple, bien qu'un peu troublé, approuvai'
cependant.

*

Aujourd'hui, nous sommes moins féroces,
Et, tout en reconnaissant l'autorité du père , nos
lois ne lui permettent pas de recourir à la hache>
comme s'il n'y avait pas d'autre moyen de s'expli'
qutr.
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