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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 7.1877

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https://doi.org/10.11588/diglit.6810#0021
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LE GRELOT

Rhum, i'àganvié 77.

« Mâche air gran maire,

« Maman Mini et je nou te faillicitte dai bu prosset
?n 10 femme à Sion que tu a gagne est con tressai
Jeunnes sequoi de gourno radis eaux. Jeu tedir é.ossi
queue je mé ferre essevoir fran-mason peur eon tre-
Çalie aucé l'anfluance deux m'ont couzin Plon-Plon.
^wkilé un pétard nou tel assouate boue et hûreuse.
Neuf et paatension o fôte d'orretograf, Cassagnac di
•ïueue san nempechpa le cen timent.

» Loui »

Possc-criton. — An voi moil l'avis des Saint pôurre
messe être reine. On rigol assai a Uhum, mais mon
pas Rhin veu pa casqué; idi komsa kil a dejapat
tropourre lui. »

ve3ba et voces

,. pour faite pendant à des mots très-risqués d'Auré-
j'en Sehool — qui prétend ( « que, dans l'Événement,
le,seul passage de l'Histoire romaine, que M. de Ger-
m,ny (pouah!) ne pourrait lire sans hausser lesépau-
c'était l'Enlèvement des Sabines. » )

On sait que cet illustre — qui, par parenthèse, de-
meurait rue Jtoc/ie-CHOUART, a jadis publié dans une
leuille cléricale (naturellement!) une série d'articles
sur la morale individuelle.

Or, devinez quel pseudonyme il avait choisi? je
»ous le donne en mille...

Notre homme signait'» Eraste.»

Oe qui faisait due à un journaliste attaqué par lui.
,„,r ■ .ds ^e Ranger que je lui envoie mes témoins!
"''l'oie battais en duel avec lui, j'aurais trop
peur de recevoir un coup d'épée d'Erastè !

*** la petite bourse ***

Il est neuf heures du soir.

Trois individus causent au coin du passage de

* *-'PGrH.

écoutons :

le piemiermiS m kmm dans ki Uu militaires, dit

^^&2ss j'ai fourré mw gendre

6a~l s^cr'ele troisième, j'ai lâché tout mon

Un provincial, absolument ahuri lit un geste de

_ iLet' .s'a,lreS9ant à moi :

Monsieur, pourriez-vous me dire quels sont ces
horribles gens-là?

-— Monsieur, ce sont d'honorables financiers qui
Parlent de leurs aflaires à la l'élite Bourse.

—- Comprend-on que la police tolère d'aussi dégoû-
tantes conversations! s'écria, en s'en allant, mon
provincial, persuadé que je m'étais moqué de lui.

CARNET D'UN MISANTHROPE „\

L'estime est une chose de pure convention ; Car-
mdi et Mandrm étaient fort estimés de leur bande.
M. tfuloz était très-estimé de ses rédacteurs.

Les confesseurs des rois gouvernent les États.

' *

* *

lesLni,U£i,eS-Se de X*** a deux confesseurs ; l'un pour
les pèches véniels, l'autre pour les péchés mortels:

* *

La conscience est comme une paire de bottesj
vous sortez dans la rue; vous marchez avec soin,évi-
tant les flaques d'eau et la boue , cherchant à ne
point maculer le vernis de votre chaussure; mais si;
Par aventure, vous êtes éclaboussé, si vos bottes, si
bien cirées le matin, attrapent une seule rnaculature,
au heu de redoubler d'attention, vous devenez insou-
ciant, vous marchez, quittant les trottoirs, au milieu
ie la rue et posez vos pieds en pleine boue, il n'y a
que la première tache qui coûte. Ainsi de la oons-
cience!

*** HAUSSES NOUVELLES. „%

La comtesse de Chambord vient d'accoucher de
trojs garçons et de deux filles.
Nez des d'Orléans 1

«

M. Victor Hugo,—

L'homme absurde est celui qui ne change jamais,-

* est empressé, par l'intermédiaire de son cosénateur
icsnelong, de laire parvenir nu Boy une magnifique

pece de vers, intitulée : Ode sur la naissance
auip V YL Lect»re faite, le Boy, qui connaît ses
Doé i \aacqms la aoul|iureuse conviction que celte
Shrimî c ^uel1ues "mes près, n'est autre que celle
rl . T6 P,ar lu raême Poète à l'occasion d'une pré-
du a 5ul"lmlé» sous ce titre:Ode sur la naissance
au duc de Bordeaux.

*

* *

MMUlThi!impn vient de donner sa démission,
leurs services 64 Ducarre ont immédiatement offert

carref'0 maréchal se fiche de Thiers comme de Du-

**, NOUVELLES A LA MAIN. ^

^%oiîUnial 0fTre en iJrime a ses abonnés...

— Une pendule de nuit
-lourquoi pas une table!...

*

Un ' * *

teurVuT!hétLCei'au»v«re M- Wllion- M- X' > direc-
de d'Enuery ; de Marseille, entre chez l'éditeur

-Les Deux vhelin fi y ,

-Monsieur c'est deux'Irnc's

— Tenez, voilà vingt snn' . : , . „
^uio orpheline,- «fô- 7e ^.contenterai d une

> » uonnez-moi la meilleure !

Au restaurant :

— Garçon, un suisse?

— Montrez-moi votre argent.

— Pourquoi ?

— Dame, monsieur connaît le proverbe : Bas d'ar-
gent pas de Suisse!

Notre confrère Z... aime en cachette la femme de
lord Y..., une ravissante Écossaise aux cheveux aca-
jou. Ravissante, oui, mais désagréable et agaçante...
à rendre des points à tout ce que l'on peut imaginer
de plus désagréable et de plus agaçant.

Aussi notre confrère, eu pariant de sa maîtresse, ne
l'appelle-t-il que « Ma lady secrète. »

MONTRETOUT.

FEUILLES AU VEUT

Tout n'est qu'heur et malheur dans la vie,

Et l'univers est si mal arrangé que le jour où le
conte du monde renversé se réaliserait, je crois que
nous n'aurions tous qu'à nous en louer,—ou du moins
le plus grand nombre.

Si, par exemjtfe, le monde s'était renversé le jour
du .deux décembre,

C'eût été Badinguei qui eût été fusillé deux fois
par Martin Billauré,

Morny qui eût été mis à mort par Baudin,

Et la famille Bonaparte qui eût donné à'la Banque
vingt-cinq millions :

Solution imprévue, mais amusante.

Malheureusement, le deux décembre le monde n'a
pas été renversé plus qu'aujourd'hui,—

Et Louis Blanc en pleure encore, à ce qu'il dit.

C'est ce qui fait que nombre de gens qui devraient
être au bagne sont mainteffant millionnaires, décorés,
administrateurs de compagnies financières et mar-
guilfiers,

Et c'est ce qui fait aussi que bien plus de gens en-
core qui devraient vivre tranquillement de leurs ren-
tes parce qu'ils ont travaillé trente ans de leur vie, et
fumer leur petite pipe devant leur porle, assis sur un
banc et au soleil, sont obligés de travailler encore et
de trimer comme des nègres, malgré leurs cheveux
blancs et leurs gencives désarmées,

Parce que les marguiliiers millionnaires et décorés
cités précédemment ont empoché leurs économies ou
les ont gaspillées à entretenir des danseuses de
i'Opéra,

Et à se faire confectionner des ragoûts de truffes
au Champagne.

*

* *

Or, l'habitude du monde de ne pas se renverser
commence à ennuyer beaucoup de gens.
On dit:

« L'empire, ce temps de prospérité, a fait gagner
des mille et des cent à tout le monde,

« Mais à quoi ça a-t-il servi?

« Quand ce pauvre peuple avait bien sué pour ra-
masser quelques billets de cent francs,

« Un charlatan du Sénat ou de l'année du Badin-
guet, s'entourait d'une bande de gueux tirés de l'ad-
ministration impériale ou de l'assemblée bonapar-
tiste,

« Et il organisait pour les barons une société fi-
nancière sous le nom de : Mines du Congo,—Ardoi-
sières du Monomotapa,— Carrières de seringues en
caoutchouc vulcanisé,

« Au capital social de cinquante millions.

« Les journaux de l'entourage battaient la caisse,

« Et, enfoncés tes badauds, comme disait Robert
Macaire. »

Eh ! braves gens, de quoi vous plaignez-vous?
L'entourage pouvait-il ne pas ressembler à l'en-
touré ?

Et quand le chet de l'Etat est un tire-laine, prend-
il des Gâtons pour minisires ?

Aujourd'hui on ne peut faire un pas sans entênd.ic
des gaillards hâves et affamés qui geignent qu'on les
a volés; que les banquiers sous l'empire leur ont sou-
tiré jusqu'au dernier sou,—et ils tempêtent contre
le gouvernement actuel, dont la sévérité si mitigée
ressemble à de l'indulgence, pour ne pas dire à de la
complicité.

C'est bien fait ! (bis)
Fallait pas qu'ils-y-aillent!

Voilà tout ce qu'on peut leur répondre !
+

* ■»

Un vieux beau, toujours parfumé d'essences à don-
ner la nausée, faisait un de ces derniers soirs le joli-
cœur dans un cercle principalement composé de
femmes.

— Regardez donc X:.., dit une petite comtessé au
journaliste Trois-Etoiles..., esl-il animé ce soir, et
se donne-t-il de la peine... pour déplaire!...

— Ne m'en parlez pas, comtesse, répondit le jour-
naliste, c'est un vrai bouc-en-train !

BRIDA1NE.

LES CAQUETS DE PICHENETTE

a propos des bals de l'opera

L'thuucrs semble insinuer depuis quelque
temps que les bals de l'Opéra sont une création
de la République.

L'Univers se trompe ou veut tromper les
quelques lecteurs que lui a laissés le Figaro.

L'honneur en revient à un neveu de Tu-
renne, au noble chevalier de Bouillon.'*

Cette création parut si heureuse au Régent,
Philippe d'Orléans, qu'il accorda une pension
de 0,000 livres à sou auteur, comme s'il eût
gagné une victoire ou fait quelque grande ac-
tion utile à l'humanité.

Le Régent, voulant assistera un de ces bals,
demanda à Dubois, son minisire, s'il ne con-
naîtrait pas un moyen d'y circuler sans être
reconnu.

— Rien de plus facile, monseigneur, répond
Dubois.

Celui-ci conduisit son maître dans la salle;
«rrivé là, il lui administra une telle quantité
de coups de pied au derrière, que le Régent
s'écria :

— L'abbé! l'abbé ! tu me déguises trop!

La reine Marie-Antoinette, — pour laquelle
l'Univers va. prier aujourd'hui, 21 janvier,—
ne partageait pas l'antipathie de ce journal
pour ce divertissement.

Les chroniques de l'année 1778 nous ap-
prennent que le jeudi gras la reine assistait
dans une loge au bal de l'Opéra.

Un masque, vêtu en poissarde, s'approcha
d'elle et, l'interpellant par son prénom d'An-
toinette, lui reprocha — sur le ton de la plus
grande familiarité — de n'être pas couchée
auprès de son mari.

Et la conversation continua sur ce ton.

La reine, y prenant grand plaisir, se pen-
chait sur le bord de sa loge pour mieux enten-
dre le masque a et lui faisait presque toucher
sa gorge » (sic),

Il y eut un second entretien du même genre
et aussi public; cela durait une demi-heure;
l'assistance était plus ou moins scandalisée;
mais Antoinette— pour parler comme le mas-
que— s'amusait beaucoup, et en récompense
du plaisir que lui avait l'ait éprouver l'indis-
cret, elle lui donna sa main à baiser.

On a dit que ce masque était l'acteur Du-
gazou.

—o —

Eb! eh! pour une femme vertueuse, ça me
semble bien léger.

Comme moi, n'en êtes-vous pas convaincu,
Loth?

—o—

les annonces pornographiques du figaro.

Il y avait longtemps que je rl'avais lu celle
estimable feuille, elle devient aussi ennuyeuse
qn'un jour do diette... forcée.

J'ai eu beau y lire hier que «le plus Pari-
sien des chroniqueurs » y écrit sous une forme
fantaisiste et charmante, ça ne me tente pas.

Ni vous non plus, sans doute, quand vous
saurez que le plus Parisien des chroniqueurs,
c'est...

Je vous le donne en cent, en mille, un mil-
lion, je parie dix sous que vous ne devinez
pas.

Enfin, puisque j'avais ouvert celte feuille
incandescente, — comme dit M. Marx, —j'ai lu
la partie qui offre quelque intérêt.

Je veux parler des Petites Annonces.

Jugez :

« Pour sauver de la mort femme du monde,
2,000 francs (pressé). Ecrire «Figaro» De
Profundis. Ne répondra qu'aux lettres si-
gnées. »

C'est lugubre, n'est-ce pas?

Et si j'y croyais, je donnerais à cette pauvre
femme toule ma sympathie — n'ayant que
cette monnaie de disponible.

Mais je ne crois ni à la mort ni au déses-
poir.

Et, cela, parce que la dame dit qu'elle ne
répondra qu'aux lettres signées.

Mais si une âme charitable,— sous le voile
da l'anonyme — lui Pressait ces 2,000 fr.
pour la sauver deson désespoir, elle ne les ac-
cepterait donc pas? Elle tient donc à donner
un témoignage de sa reconnaissance?

Et puis, il faut que la dame compte beau-
coup sur la Bonté humaine pour ajouter Qu'elle
ne répondra qu'aux lettres signées.

Elle compte sans doute en recevoir plu-
sieurs.

C'est égal, je connais — pas loin de l'hôtel
du Figaro — des maisons où l'on prend moins
cher.

—-o—

Ah ! à propos, vous n'avez pas trouvé le
nom du plus Parisien des chroniqueurs?
Eh bien, je vais vous le dire :
|'est M. Albert WOLFFUl

PICHENETTE.

SEMAINE THÉÂTRALE

COMÉDIE-FRANÇAISE



Le io janvier, il y avait 2S5 ans que naissait Mo-
lière, cet immortel génie qui devait devenir et rester
l'une de nos gloires nationales et l'un des plus grands
de nos poètes.

U est d'usage à la Comédie-Française et à l'Odéon
de célébrer chaque année cet anniversaire, et de re-
présenter sur nos deux premières scènes littéraires
un à propos dû à la plume de poètes connus et déjà
estimés.

^ Cette année, cet honneur était réservé, au Théâtre-
Français, à M. Ernest d'Hervilly, l'auteur applaudi
de la Belle Saïnara.

MM. les sociétaires ont eu la main heureuse, car
le Mugister de M. d'Hervilly est plus qu' un à-propos,
c'est une véritable et spirituelle comédie.

L'uuteur nous retrace l'épisode des débuts de Mo-
lière.

Le père Poquelin—un tapissier qui était digne
d'être épicier — veut empêcher son lils de monter
sur les tréteaux «infâmes» de la salle du Jeu de
paume des métayers, au faubourg Saint-Germain,
près la porte de l'Ecole. Le pauvre bonhomme était
sans doute loin de se douter que ces tréteaux servi-
raient à son fils de marchepied pour arriver jusqu'à
la table du puissant roi Louis XIV !...

Ën vain a-t-il usé de tous les moyens pour détour-
ner Molière de son projet. Réprimandes, remontran-
ces, menaces, rien n'y a fait. Désespéré, le bon-
homme va trouver le maître d'école Pinel, ancien
précepteur de Molière, et le supplie d'arrêter son lils
sur la pente fatale où il le voit déjà glisser. Le ma-
gister promet tout : il sermone son élève et réussit
si bien... que, non-seulement Molière ne renonce pas
au théâtre, mais que lui, Pinel, vaincu par les argu-
ments que lui oppose son élève, s'engage dans la
Iroupe de « l'illustre théâtre. »

On le voit, c'est là de la belle et bonne comédie.

Certains passages ont été couverts d'applaudisse-
ments. Nous voudrions les citer tous, mais la place
nous manque. Contentons-nous de ces quelques vers.
Molière répond à maître Pinel, qui trouve déshono-
rante la profession de comédien :

Mais que parliez-vous doue de déshonneur, mon maître ?
Quel ijue soit son métier, l'homme ne peut-il être
Ferme et droit dans le hien, s'il le veut? et pouiquoi
N'aurait-il pas, — fùt-il un acteur comme moi, —
Si dans le bon chemin son pas n'a rien d'oblique,
Le même droit que tous à l'estime publique?
Non ! les honnêtes gens en tous lieux vont de pair.
Soe charrue ou bien lame d'épée, un fer
Pur et de bonne trempe a partout son mérite,
L'honneur n'est pas un bien qu'en naissant on hérite.
On l'acquiert, ou le gagne à force de vertu;
Seul on est l'artisan de son honneur, vois-tu !

Voilà qui est bien pensé et bien écrit

L'autre maison de Molière, l'Odéon, donnait le
même soir et à la même occasion, un autre à-propos
de MM. Blémont et Valade : Le Barbier de I'ézénas.

Cette pièce, écrite dans un style simple, naturel,
plein de belle humeur, a été sympathiquement ac-
cueillie.

THÉÂTRE LYRIQUE.

M. Vizentini, l'infatigable et habile directeur de
l'Opéra National Lyrique, a repris et remonté cette
semaine Martha, le charmant opéra de Flotow et de
Saint-Georges.

Celte pièce, qui chez nos voisins est presque aussi
populaire que la Dame blanche chez nous, est assu-
rément trop connue pour que nous ayons besoin d'en
présenter un compte rendu détaillé

Bornons-nous à constater que cette reprise a ob-
tenu un vif succès et que les interprètes, Mme Zina,
Dalti, Mme Engally, MM. Duchesne et Gresse ont été
très-jusiement applaudis.

Le quatuor du rouet et la romance de la Rose sont
bissés à chaque représentation.

Ce sont du reste les deux joyaux de la partition
pourtant si riche. La mise en scène est des plus soi-
gnées. Le ballet du second tableau est fort original
et très-bien dansé. Les décors sont ravissants.

11 y a lieu d'espérer que le public tiendra compte à
M. Vizentini des sacrifices qu'il s'impose pour lui
plaire, et qu'après avoir tant semé, le jeune directeur
ne tardera pas à récolter.

Julks de la VERDR1E.

PLUMES DE J. k\

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,^ PHCENIX
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k.alam
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— N» G

GRÉLOTS

Bi On ne passe pas aussi facilement les défauts de ses
amis, que la manche de sa chemise.

'"'M '. +

Un suicide en partie doublç ayant eu lieu, et
l'homme ayant été trouvé mort dans les bras de sa
maîtresse, la famille vexée arrangea, dit-on, l'affaire
en disant :

Il est mort avec sa connaissance.

+
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