LE GRELOT
pièce.
Pas un mot de plus, n'est-ce pas ? Vous avez
compris. < . •
Les deux carnets se retrouvent, la bonne
épouse le calicot et les deux Picquoiseau se
remettent volontairement dans les l'ers... Par-
don! dans les bras l'un de l'autre.
Il y a là tout juste l'étoffe d'un lever de ri-
deau; l'auteur étant une femme; ne pouvait
manquer d'en dire trois fois plus qu'il n'était
nécessaire, et d'écrire trois actes pour ce scé-
nario qui était loin de comporter un aussi
long développement.
La pièce gagnerait donc beaucoup à être
plus condensée et le public n'y perdrait rien.
Voyons, Madame, un bon coup de canif \ Per-
sonne ne vous le reprochera.
Jules de la Verdrie.
GRELOTS FINANCE
Les espérances qu'avaient les baissiers de
voir leurs affaires s'arranger un peu pendant
les derniers jours du mois de juin, ne se sont
pas réalisées. Bien au contraire, ces pauvre
diables ont été encore étrillés d'importances
Les deux Rentes 3 0/0 et 6 0/0 ayant monté-
dans le mois, d'environ 2 fr. 40. Les acheteurs,
de la première heure vont avoir de belles dif-
férences à encaisser.
La politique intérieure ne compte pas à la
Bourse. Broglie ou Simon, cela n'empêche pas
la hausse de marcher bon train. — La politique
extérieure ne tient non plus que peu de place
dans les préoccupations de la spéculation, et
il parait devoir en être ainsi tant que la guerre
se passera entre Russes et Turcs.
Si les Anglais et les Autrichiens entrent en
scène, on aura peut être quelque peine à faire
marcher le 3 0/0 vers 71, et le 5 0/0 vers 107 ;
mais Anglais et Autrichiens se contentent
pour le moment de faire galerie tout en res-
tant armés jusqu'aux dents.
***
L'Italien continue à se faire le satellite des
Rentes françaises. Celles-ci ont monté. Il en a
fait autant.îl va vers 72. C'est même à ce cours
qu'on compte détacher le coupon de juillet.
*
Les discours si pacifiques tenus au Parle-
ment autrichien et au Parlement hongrois ne
pouvaient que faire monter le 4 0/0 autrichien
en or. Ce fonds a été coté à 59. En dépit de
tous ces discours, l'entrainement de l'Autriche
dans'le conflit turco-russe est toujours une
éventualité possible. Je ne puis perdre de vue
que, plus on est près de la guerre, plus on
parle fort de son désir de rester en paix.
Les Egyptiens se tiennent à merveille. On
dirait que les coupons à venir sont aussi assu-
rés que ceux de juillet, lesquels ne pourront
être payés intégralement, s'ils le sont, que
grâce à des combinaisons sentant fort la ré-
surrection de la dette flottante. — Les por-
teurs de titres, et parmi ceux-ci les nouveaux
se moquent de tout cela. Ils croient qu'il ne
peut leur arriver rien de pis que d'avoir le
gouvernement anglais pour débiteur, et, dans
ce cas, ces braves gens se montreraient bien
autrement coulants qu'ils ne l'ont ete pour le
khédive. Non-seulement ils consentiraient de
nouveau à une réduction d'intérêt, mais ils
accepteraient encore une réduction de b0 0/0
sur le montant de leur capital.
Le passage du Danube n'a aucunement fait
bouger les fonds russes. Bien que le service
des coupons d'août soit assuré, il n'y a pas
grand empressement à se porter sur ces va-
leurs, et cette réserve est sage.
' * ''V'";v' *
Le pauvre Portugal souffre de la mauvaise
réputation que les événements des dernières
années ont faite aux fonds étrangers. Ce brave
Portugal demandait quelque chose comme
81 millions aux marchés de Londres et de Pa-
ris- il ne se vantait pas d'être énormément
riche ; il se contentait de justifier qu'il était
parfaitement en état de payer un intérêt de
6 0/0 à ses créanciers. Ses affirmations a cet
égard étaient contresignées par la maison Ba-
ring, de Londres, le Crédit lyonnais et la So-
ciété des Dépôts. Rien n'y a fait. Le public
français n'a pas voulu profiter de cette occa-
sion "de placer son argent à 0 0/0. Peut-être a-t-
il bien fait.
.. : •♦**
La Banque de France pourrait bien tomber
au-dessous de 3,000 fr. On a touche seulement
81 fr 2b c. de dividende pour le premier se-
mestre, et, au train dont vont les choses, le
second semestre ne promet guère mieux.
'*
■ * P
Pendant les derniers jours de juin, on a fait
monter les actions du Crédit foncier a 674 En-
suite, il a fallu en rabattre. — H se dit bien
des choses à propos de cette société. Les cen-
seurs, assure-t-on, auraient en vue de s oppo-
ser au paiement du complément du dividende
de 11 fr. voté par la dernière assemblée contre
le gré des administrateurs. Le cerveaudeM.de
Soubeyran serait en train d'accoucher d une
combinaison permettant d'opérer la conver-
sion des obligations b 0/0 en obligations A 0/0,
à l'avantage commun de la Société et des obli-
gataires. ^
La Banque ottomane vient de fixer son as-
semblée générale. Le rapport et le bilan de fin
de l'an qui est annexé à ce rapport sont pleins
de gaieté pour les actionnaires. Il en ressort
que l'on a avancé b,138,000 de livres sterling au
Gouvernement turc, soit 138,000 livres sterling
de plus que le capital versé. Les administra-
teurs se vantent d'avoir discontinué leurs
avances sans fin à ce gouffre sans fond qui
s'appelle le trésor turc. Là se pose un point
d'interrogation. Où aurait-on pris l'argent né-
cessaire à ces avances nouvelles. Il aurait for-
cément fallu s'adresser au compte des dépôts
Euisqu'on avait donné tout ce qui était à soi.
es administrateurs comptent, pour rentrer
dans leur argent, sur les gouvernements qui
prendront la suite des affaires turques après
la guerre. Il se pourrait bien que ce compte fut
un mécompte.
; ***
La Compagnie des chemins de fer de la Ven-
dée est en faillite. Les obligataires menacés
d'être à peu près ruinés; mais ils peuvent se
consoler en pensant que M. Philippart et les
personnages que ce monsieur mène depuis
quelques années avec lui dans toutes les affai-
res, restent archi-millionnaires.
Ces Messieurs ont bien pu, pendant leur
court passage à la Compagnie de la Vendée,
activer la ruine de cette Compagnie en la fai-
sant créancière pour 14 millions de la Banque
franco-hollandaise dont ils étaient aussi les
administrateurs. Mais cette opération n'a au-
cunement ébrôché leurs millions. Peut-être
même les a-t-elle un peu grossis. I
ARIEL.
Courses
Beauvais.— 1« Journée.—Dimanche 1er juil-
let.
Assistance nombreuse profitant d'un temps
magnifique.
Prix spécial. — Ploërmel a battu facilement
Caen dans un match de 2,000 mètres.
Prix du Thér/un. — Beau-Sire, 1er; Chère-
Amie, 2e ; Crésus, 3e.
Prix de la Société d'Encouragement. — Com-
mandeur est arrivé 1<«, mais, au retour, l'écu-
rie de Chassenon a déposé une objection contre
les trois chevaux concurrents qui n'avaient
pas leur poids.
Grand Handicap — Pensacola, 1«'' ; Valérien,
2«; Collada, 4«.
Prix de Jeanne Hachette. — Steeple-chase.
— Blaviette, l™; Léona, 2*; Angers, 3e.
L'heure forcée de la mise en pages, ne nous
permet pas de donner les résultats de la 2«
journée du mardi 3 juillet.
Avant de clore ce petit Courrier de Courses,
il faut dire deux mots du splendide banquet
donné en souvenir du grand Prix de Paris,
dans la magnifique propriété de M. Lefebvre,
l'heureux éleveur de Saint-Cristophe.
Une tente toute pavoisée, disposée dans la
cour, abritait un nombre considérable d'invi-
tés, (parmi lesquels se trouvaient naturelle-
ment le vainqueur du grand prix, M. Hudson,
et d'autres célébrités du turf : MM. Carver,
Wheler, Kelly, Lavis, Storr, et bien d'autres
encore.
M. et Mme Kunnington étaient remplis d'at-
tentions et de prévenances pour leurs nom-
breux invités, parmi lesquels brillaient d'un
vif éclat de jeunesse et de bonne humeur tout
un essaim de femmes absolument charmantes.
Le banquet était égayé par un orchestre
fort habilement dirigé, et ce n'est que le soir....
qu'on s'est séparé, le lendemain, après avoir
terminé cette fête véritablement féerique par
un,bal rempli d'entraînement.
Entraînement devait venir, c'était forcé.
........X...
Hippodrome, 3 h. — Représentation diman-
che, lundi, jeudi et samedi.
DIabîlle, 8 h. — Soirées musicales et dansantes.
Jardin d'Acclimatation. — Concerts
tous les jeudis et dimanches. — Prix d'entrée :
50 cent, le dimanche, 1 fr. dans la samaine.
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Visite au château de Compiègne et aux musées
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nement gratuit au journal le GRELOT, savoir:
Pour un abonnement d'un an : c> mois au grelot.
— — de six moi» : 3 mois —
— — de trois— : 1 mois 1/2 —
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triplera la durée de l'envoi gratuit du GRELOT.
Bien public............
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Constitutionnel.......
Courrier de France..
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Droit................
Événement............
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Figaro.................
Français..............
Gazette de France____
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Journal des Débats..
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Liberté................
Moniteur universel..
Monde................
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ments et d'annonces, à M. Madré, 77, rue Neuve-des-
Petits-Champs, à Paris.
bibliothèque des curieux
Par Louis Loire
Le 1er volume est intitulé : Anecdotes, Bons
mots, Contes, Facéties, Épigrammes, recueillis
par Louis Loire. — C'est une lecture amu-
sante, où on trouve l'esprit français — et quel-
quefois gaulois — sous ses aspects les plus
variés; il sert de sujet de distraction dans les
réunions où l'on aime à rire, et les voyageurs
prévoyants l'emportent pour oublier les
ennuis du trajet.
Le second volume est intitulé : Anecdotes
des Théâtres, — Comédiens, Comédiennes,
Bons Mots des Coulisses et du Parterre. — Indé-
pendamment des anecdotes particulières sur
chacun de nos grands artistes, on trouve ça
et là les bons mots des coulisses et du par-
terre, des épigrammes finement aiguisées, de
joyeux propos, des réparties spirituelles et
surtout de curieux détails sur les actrj£s%. —
qui ont tenu une si large place dans la haute;
société du dix-huitième siècle. .
Le troisième volume vient de paraitre sous
le titre de Anecdotes de la vie littéraire.
Prix de chaque volume : 2 fr. ; franco, 2 fr. 2b.
Chez Madré, libraire, 77, rue Neuve-des-Petits-
Champs.
Vient de paraitre chez Dentu, libraire, Pa-
lais-Royal , VÉpouse amante, épisode de la
guerre de 1871, par madame Badère; poésies
diverses très-dramatiques et très-mouvemen-
tées. L'Epouse amente est un petit drame plein
de larmes et du plus vif intérêt, ainsi que la
Vie d'un Oiseau racontée par lui-même. On y
remarque aussi dans ce recueil, le Premier
Baiser, le Moissonneur, Avant, Pendant et
Après, etc.
Madame Badère est encore l'auteur d'Une
Mariée de seize Ans, publiée depuis peu de
temps, et des Mystères de la Création dévoilés,
deux ouvrages en prose très-intéressants.
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pièce.
Pas un mot de plus, n'est-ce pas ? Vous avez
compris. < . •
Les deux carnets se retrouvent, la bonne
épouse le calicot et les deux Picquoiseau se
remettent volontairement dans les l'ers... Par-
don! dans les bras l'un de l'autre.
Il y a là tout juste l'étoffe d'un lever de ri-
deau; l'auteur étant une femme; ne pouvait
manquer d'en dire trois fois plus qu'il n'était
nécessaire, et d'écrire trois actes pour ce scé-
nario qui était loin de comporter un aussi
long développement.
La pièce gagnerait donc beaucoup à être
plus condensée et le public n'y perdrait rien.
Voyons, Madame, un bon coup de canif \ Per-
sonne ne vous le reprochera.
Jules de la Verdrie.
GRELOTS FINANCE
Les espérances qu'avaient les baissiers de
voir leurs affaires s'arranger un peu pendant
les derniers jours du mois de juin, ne se sont
pas réalisées. Bien au contraire, ces pauvre
diables ont été encore étrillés d'importances
Les deux Rentes 3 0/0 et 6 0/0 ayant monté-
dans le mois, d'environ 2 fr. 40. Les acheteurs,
de la première heure vont avoir de belles dif-
férences à encaisser.
La politique intérieure ne compte pas à la
Bourse. Broglie ou Simon, cela n'empêche pas
la hausse de marcher bon train. — La politique
extérieure ne tient non plus que peu de place
dans les préoccupations de la spéculation, et
il parait devoir en être ainsi tant que la guerre
se passera entre Russes et Turcs.
Si les Anglais et les Autrichiens entrent en
scène, on aura peut être quelque peine à faire
marcher le 3 0/0 vers 71, et le 5 0/0 vers 107 ;
mais Anglais et Autrichiens se contentent
pour le moment de faire galerie tout en res-
tant armés jusqu'aux dents.
***
L'Italien continue à se faire le satellite des
Rentes françaises. Celles-ci ont monté. Il en a
fait autant.îl va vers 72. C'est même à ce cours
qu'on compte détacher le coupon de juillet.
*
Les discours si pacifiques tenus au Parle-
ment autrichien et au Parlement hongrois ne
pouvaient que faire monter le 4 0/0 autrichien
en or. Ce fonds a été coté à 59. En dépit de
tous ces discours, l'entrainement de l'Autriche
dans'le conflit turco-russe est toujours une
éventualité possible. Je ne puis perdre de vue
que, plus on est près de la guerre, plus on
parle fort de son désir de rester en paix.
Les Egyptiens se tiennent à merveille. On
dirait que les coupons à venir sont aussi assu-
rés que ceux de juillet, lesquels ne pourront
être payés intégralement, s'ils le sont, que
grâce à des combinaisons sentant fort la ré-
surrection de la dette flottante. — Les por-
teurs de titres, et parmi ceux-ci les nouveaux
se moquent de tout cela. Ils croient qu'il ne
peut leur arriver rien de pis que d'avoir le
gouvernement anglais pour débiteur, et, dans
ce cas, ces braves gens se montreraient bien
autrement coulants qu'ils ne l'ont ete pour le
khédive. Non-seulement ils consentiraient de
nouveau à une réduction d'intérêt, mais ils
accepteraient encore une réduction de b0 0/0
sur le montant de leur capital.
Le passage du Danube n'a aucunement fait
bouger les fonds russes. Bien que le service
des coupons d'août soit assuré, il n'y a pas
grand empressement à se porter sur ces va-
leurs, et cette réserve est sage.
' * ''V'";v' *
Le pauvre Portugal souffre de la mauvaise
réputation que les événements des dernières
années ont faite aux fonds étrangers. Ce brave
Portugal demandait quelque chose comme
81 millions aux marchés de Londres et de Pa-
ris- il ne se vantait pas d'être énormément
riche ; il se contentait de justifier qu'il était
parfaitement en état de payer un intérêt de
6 0/0 à ses créanciers. Ses affirmations a cet
égard étaient contresignées par la maison Ba-
ring, de Londres, le Crédit lyonnais et la So-
ciété des Dépôts. Rien n'y a fait. Le public
français n'a pas voulu profiter de cette occa-
sion "de placer son argent à 0 0/0. Peut-être a-t-
il bien fait.
.. : •♦**
La Banque de France pourrait bien tomber
au-dessous de 3,000 fr. On a touche seulement
81 fr 2b c. de dividende pour le premier se-
mestre, et, au train dont vont les choses, le
second semestre ne promet guère mieux.
'*
■ * P
Pendant les derniers jours de juin, on a fait
monter les actions du Crédit foncier a 674 En-
suite, il a fallu en rabattre. — H se dit bien
des choses à propos de cette société. Les cen-
seurs, assure-t-on, auraient en vue de s oppo-
ser au paiement du complément du dividende
de 11 fr. voté par la dernière assemblée contre
le gré des administrateurs. Le cerveaudeM.de
Soubeyran serait en train d'accoucher d une
combinaison permettant d'opérer la conver-
sion des obligations b 0/0 en obligations A 0/0,
à l'avantage commun de la Société et des obli-
gataires. ^
La Banque ottomane vient de fixer son as-
semblée générale. Le rapport et le bilan de fin
de l'an qui est annexé à ce rapport sont pleins
de gaieté pour les actionnaires. Il en ressort
que l'on a avancé b,138,000 de livres sterling au
Gouvernement turc, soit 138,000 livres sterling
de plus que le capital versé. Les administra-
teurs se vantent d'avoir discontinué leurs
avances sans fin à ce gouffre sans fond qui
s'appelle le trésor turc. Là se pose un point
d'interrogation. Où aurait-on pris l'argent né-
cessaire à ces avances nouvelles. Il aurait for-
cément fallu s'adresser au compte des dépôts
Euisqu'on avait donné tout ce qui était à soi.
es administrateurs comptent, pour rentrer
dans leur argent, sur les gouvernements qui
prendront la suite des affaires turques après
la guerre. Il se pourrait bien que ce compte fut
un mécompte.
; ***
La Compagnie des chemins de fer de la Ven-
dée est en faillite. Les obligataires menacés
d'être à peu près ruinés; mais ils peuvent se
consoler en pensant que M. Philippart et les
personnages que ce monsieur mène depuis
quelques années avec lui dans toutes les affai-
res, restent archi-millionnaires.
Ces Messieurs ont bien pu, pendant leur
court passage à la Compagnie de la Vendée,
activer la ruine de cette Compagnie en la fai-
sant créancière pour 14 millions de la Banque
franco-hollandaise dont ils étaient aussi les
administrateurs. Mais cette opération n'a au-
cunement ébrôché leurs millions. Peut-être
même les a-t-elle un peu grossis. I
ARIEL.
Courses
Beauvais.— 1« Journée.—Dimanche 1er juil-
let.
Assistance nombreuse profitant d'un temps
magnifique.
Prix spécial. — Ploërmel a battu facilement
Caen dans un match de 2,000 mètres.
Prix du Thér/un. — Beau-Sire, 1er; Chère-
Amie, 2e ; Crésus, 3e.
Prix de la Société d'Encouragement. — Com-
mandeur est arrivé 1<«, mais, au retour, l'écu-
rie de Chassenon a déposé une objection contre
les trois chevaux concurrents qui n'avaient
pas leur poids.
Grand Handicap — Pensacola, 1«'' ; Valérien,
2«; Collada, 4«.
Prix de Jeanne Hachette. — Steeple-chase.
— Blaviette, l™; Léona, 2*; Angers, 3e.
L'heure forcée de la mise en pages, ne nous
permet pas de donner les résultats de la 2«
journée du mardi 3 juillet.
Avant de clore ce petit Courrier de Courses,
il faut dire deux mots du splendide banquet
donné en souvenir du grand Prix de Paris,
dans la magnifique propriété de M. Lefebvre,
l'heureux éleveur de Saint-Cristophe.
Une tente toute pavoisée, disposée dans la
cour, abritait un nombre considérable d'invi-
tés, (parmi lesquels se trouvaient naturelle-
ment le vainqueur du grand prix, M. Hudson,
et d'autres célébrités du turf : MM. Carver,
Wheler, Kelly, Lavis, Storr, et bien d'autres
encore.
M. et Mme Kunnington étaient remplis d'at-
tentions et de prévenances pour leurs nom-
breux invités, parmi lesquels brillaient d'un
vif éclat de jeunesse et de bonne humeur tout
un essaim de femmes absolument charmantes.
Le banquet était égayé par un orchestre
fort habilement dirigé, et ce n'est que le soir....
qu'on s'est séparé, le lendemain, après avoir
terminé cette fête véritablement féerique par
un,bal rempli d'entraînement.
Entraînement devait venir, c'était forcé.
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Par Louis Loire
Le 1er volume est intitulé : Anecdotes, Bons
mots, Contes, Facéties, Épigrammes, recueillis
par Louis Loire. — C'est une lecture amu-
sante, où on trouve l'esprit français — et quel-
quefois gaulois — sous ses aspects les plus
variés; il sert de sujet de distraction dans les
réunions où l'on aime à rire, et les voyageurs
prévoyants l'emportent pour oublier les
ennuis du trajet.
Le second volume est intitulé : Anecdotes
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Bons Mots des Coulisses et du Parterre. — Indé-
pendamment des anecdotes particulières sur
chacun de nos grands artistes, on trouve ça
et là les bons mots des coulisses et du par-
terre, des épigrammes finement aiguisées, de
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surtout de curieux détails sur les actrj£s%. —
qui ont tenu une si large place dans la haute;
société du dix-huitième siècle. .
Le troisième volume vient de paraitre sous
le titre de Anecdotes de la vie littéraire.
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diverses très-dramatiques et très-mouvemen-
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de larmes et du plus vif intérêt, ainsi que la
Vie d'un Oiseau racontée par lui-même. On y
remarque aussi dans ce recueil, le Premier
Baiser, le Moissonneur, Avant, Pendant et
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Madame Badère est encore l'auteur d'Une
Mariée de seize Ans, publiée depuis peu de
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