Histoire de l'esprit humain ou mémoires secrets et universels de la république des lettres (2.1765)

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Η I S Τ Ο I R Ε

VII.
Η Ε R Α C L I Τ Ε.
H^raclire 45 for tr£s artache ä cultiver
la Philosophie. Pour vaquer plus ai'ement
a les erudes, il abandonna les Charges, dont
il erou reveru, & s’en dein en faveur de son
frere. Les principes de la Morale devoient
&re fort humains, car il etoit li pitoyable,
qu’il s’ ffligeoit du malheurde rous les hom-
mes · on le voioit pleurtr tr£s souvent en
songeanr ä kurs infortunes.
Ceux qui dilenr que ce Philosophe lar-
moyoir Tins teile, ne iont pas'ressexion qu’il
n’tll· point de cerveau asTez humide pour
pouvoir suffire ä cetre abondance de larmes.
D’ailleurs, i! f.'ioit qu’il ne s’affligeät pas
toujours , puisque Diögene 40 Laerce nous
silsure qu’il jouoic quelquefois avec les en-
fants.

45 Η’ξ<χ.χ.λιιτος .... ίφζςιβς βυτβί ^κραζι fctv χατα
τ«» (uvecrtiv ίξηκ-χοςτήν ολυμπ'ιαΰα.. ,,Heraclirus . . .
„Ephcsius, ci'ca nonani & sexageiimam O’inipiadem cla·
„rus est habitus. Ding Laert. Lib. IX. Segni. 1.
4^ Secedens vero ad fanum Dianse cum pueiis lude-
bar, circumstantibus autern Epheiiis, quid inquit iniia-
mini o perdiri ? nenne pixltat isthuc beere, quam vo-
biseum rem publicam administrare? Idem lb. ανα,γ;*'-
ζΐί#! Ss sis το ίίζον τη; ΑζτΙμώβ! (Λ»τα τΰι ntnouv