DOI Seite / Zitierlink:
https://doi.org/10.11588/diglit.4821#0567
j64 DE LA CONSTITUTION PHYSIQUE
données qui tenoient à la nature de mon sujet, les limites de l'Egypte, et qui
sont d'ailleurs les plus directes et les plus décisives; mais il est facile de voir
déjà, qu'elles supposent la conformité de toutes les autres.
En exposant des vues toutes nouvelles, je ne pouvois manquer de m'écarter de
diverses opinions accréditées depuis long-temps et appuyées d'autorités très-re-
commandables. Je surs loin toutefois de méconnoître l'importance des grands tra-
vaux qui ont été faits sur le même sujet. J'ai montré, au contraire, que plusieurs
résultats particuliers auxquels ces travaux ont conduit, se trouvent d'accord avec
les principes que j'expose; et je pourrais multiplier cette sorte de rapprochemens :
mais ces résultats qui se trouvoient isolés, supposoient un lien commun encore
inconnu; et il me semble que ces principes l'établissent.
Les savans de diverses contrées qui prennent intérêt aux progrès de l'archéo-
logie, voudront bien examiner les résultats auxquels je suis parvenu : ces résultats
touchent, comme je l'ai dit, au nœud des difficultés qui ont arrêté dans l'explication
des antiquités Orientales. Si, comme je le crois, j'ai établi d'une manière rigoureuse
le système des mesures Egyptiennes, l'explication des institutions primitives de
l'Orient en sera la conséquence naturelle; notamment celle du zodiaque primitif,
qui, je puis le dire, est restée tout-à-fait inconnue. J'appuierai l'explication de
chacun des douze signes d'autorités anciennes, ainsi que de l'interprétation des
figures accessoires des quatre zodiaques recueillis en Egypte.
—=®^£>—5£^g>-
données qui tenoient à la nature de mon sujet, les limites de l'Egypte, et qui
sont d'ailleurs les plus directes et les plus décisives; mais il est facile de voir
déjà, qu'elles supposent la conformité de toutes les autres.
En exposant des vues toutes nouvelles, je ne pouvois manquer de m'écarter de
diverses opinions accréditées depuis long-temps et appuyées d'autorités très-re-
commandables. Je surs loin toutefois de méconnoître l'importance des grands tra-
vaux qui ont été faits sur le même sujet. J'ai montré, au contraire, que plusieurs
résultats particuliers auxquels ces travaux ont conduit, se trouvent d'accord avec
les principes que j'expose; et je pourrais multiplier cette sorte de rapprochemens :
mais ces résultats qui se trouvoient isolés, supposoient un lien commun encore
inconnu; et il me semble que ces principes l'établissent.
Les savans de diverses contrées qui prennent intérêt aux progrès de l'archéo-
logie, voudront bien examiner les résultats auxquels je suis parvenu : ces résultats
touchent, comme je l'ai dit, au nœud des difficultés qui ont arrêté dans l'explication
des antiquités Orientales. Si, comme je le crois, j'ai établi d'une manière rigoureuse
le système des mesures Egyptiennes, l'explication des institutions primitives de
l'Orient en sera la conséquence naturelle; notamment celle du zodiaque primitif,
qui, je puis le dire, est restée tout-à-fait inconnue. J'appuierai l'explication de
chacun des douze signes d'autorités anciennes, ainsi que de l'interprétation des
figures accessoires des quatre zodiaques recueillis en Egypte.
—=®^£>—5£^g>-