A P P Fv O U V Lv E S PAR L* À C A D É M 7 F. 49
par des especes de janetieres, qui ceignent Farbre &
qui se racourcisfent lorsqu'il tourne & sont monter le
cylindre d’en-haut.
d. Levier qui entre dans l’arbre C, ôtle faittourner par son
poids.
e. Levier de fer pour entretenir les colonnes U.
f. Equerres de fer pour tenir en état les pieces cottéesX.
g. Table sur laquelle sont posés les cylindres.
h. Rouleaux sur lesquels coule le plomb en sortant d’entre
les laminoirs.
L’établissement de cette machine a donné lieu de la
simplifier. La partie A B qui renferme ies cylindres & le
régulateur, est la même; celle-ci ne differe de la pre-
miere qu’en ce que le rouage composé de la roue de ren-
voi I, des lanternes H, G, K, & du hérisson F, est
entiérement supprimé ; l’extrêmité C de l’arbre de couche
CDE , tient diredement au cylindre inférieur; cet arbre
est prolongé jusqu’en F, auquel on ajoute une lanterneG,
semblable à la premiere lanterne H : toutes deux sont mo-
biles autour de cet arbre, & engrenent dans la grande roue
de chan L, qui est ici renversée ; elle est enfermée dans une
capacité creusée dans le manege. Lesleviers M sont pratL-
qués au-dessous de cette roue : un verrouil NO, sembla-
ble au premier, mais beaucoup plus long , sert pareille-
ment à sixerles lanternes alternativementsur l’arbre, pour
procurer les différentes révolutions nécessaires aux cylin-
dres pour repasser la table de côté & d’autre. L’on conqoit
donc que ss l’une des lanternes est fixée sur l’arbre par le
moyen du verrouil, cet arbre fera tourner le cylindre avec
lui, jusqu’à ce que l’on dégage cette lanteme, pour enfuite
faire agir la seconde en la fixant sur l’arbre par le même ver-
rouil ; alors cette derniere imprime aux cylindres des ré-
volutions contraires à celles delapremiere lanterne, d’où
ii suit que les mêmes effets sont produits par des voies
plus ssmples; car dans la premiere machine la roue de
Rcct des MachineS' Tome V. G
1728.
Numeros
307.308,
309.310.
311.312.
313.314.
315.31er.
317.318.
319.320.
Planche
XL
par des especes de janetieres, qui ceignent Farbre &
qui se racourcisfent lorsqu'il tourne & sont monter le
cylindre d’en-haut.
d. Levier qui entre dans l’arbre C, ôtle faittourner par son
poids.
e. Levier de fer pour entretenir les colonnes U.
f. Equerres de fer pour tenir en état les pieces cottéesX.
g. Table sur laquelle sont posés les cylindres.
h. Rouleaux sur lesquels coule le plomb en sortant d’entre
les laminoirs.
L’établissement de cette machine a donné lieu de la
simplifier. La partie A B qui renferme ies cylindres & le
régulateur, est la même; celle-ci ne differe de la pre-
miere qu’en ce que le rouage composé de la roue de ren-
voi I, des lanternes H, G, K, & du hérisson F, est
entiérement supprimé ; l’extrêmité C de l’arbre de couche
CDE , tient diredement au cylindre inférieur; cet arbre
est prolongé jusqu’en F, auquel on ajoute une lanterneG,
semblable à la premiere lanterne H : toutes deux sont mo-
biles autour de cet arbre, & engrenent dans la grande roue
de chan L, qui est ici renversée ; elle est enfermée dans une
capacité creusée dans le manege. Lesleviers M sont pratL-
qués au-dessous de cette roue : un verrouil NO, sembla-
ble au premier, mais beaucoup plus long , sert pareille-
ment à sixerles lanternes alternativementsur l’arbre, pour
procurer les différentes révolutions nécessaires aux cylin-
dres pour repasser la table de côté & d’autre. L’on conqoit
donc que ss l’une des lanternes est fixée sur l’arbre par le
moyen du verrouil, cet arbre fera tourner le cylindre avec
lui, jusqu’à ce que l’on dégage cette lanteme, pour enfuite
faire agir la seconde en la fixant sur l’arbre par le même ver-
rouil ; alors cette derniere imprime aux cylindres des ré-
volutions contraires à celles delapremiere lanterne, d’où
ii suit que les mêmes effets sont produits par des voies
plus ssmples; car dans la premiere machine la roue de
Rcct des MachineS' Tome V. G
1728.
Numeros
307.308,
309.310.
311.312.
313.314.
315.31er.
317.318.
319.320.
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