DOI Heft:
Recueil des Machines Année 1731
DOI Artikel:No. 359
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R E C U EIL #D I S M-ACHIN E' S,
17Ï
1731,
CHAISE ROULANTE,
INVENTÊE
P A R M- MAILLAR D.
N°. 3 59*
LA chaise AB est pour se faire mener par un homme pIG. |.
assis en Z sur le train de derriere, qui fait mouvoir & IL
les grandes roues.
L'engrénage qui sert à cet usage est renfermd dans deux
joues F G, pjar^pc snr Ipq hrancards ; chaque joue con-
tient un pignon R, qui engrene dans une roue N, au cem
tre de laquelle est eneore un second pignon P, sormé par
des fuseaux fichés autour de ce même centre à une distam
ee convenable. Ge pignon mene une seconde roue M 9
qui porte encore un pignon semblable à celui qui efi: des-
sus la premiere roue ; enfin ce dernier pignon fait mou-
voir la troisieme roue L? fixée à Tessieu des grandes roues:
cet essieu quï doit tourner avec les grandes roues ? porte
à l’endroit des brancards des petites poulies TI, qui faci-
litent les révolutions du même essieu , qui se font par le
moyen d’une manivelle que l’homme assis fait mouvoir;
êc comrne il y a deux mouvemens semblables, il y a aussi
deux manivelles que la même puissance fait agir $ à cha-
que mouvementest un volantS , qui sert à entretenir l’u-
niformité du rouage à saciliter la puissance quand ils
sont une fois en mouvement ; une troisieme roue E qui
forme l’avant-train r sert à diriger la chaise où l’on veut.
Cette roue qui tient à une chape semblable à celle des
pouiiessimples, se peut mouvoir sur elle-même ayant une
traverse , aux extrêmités de laquelle sont des cordons que
17Ï
1731,
CHAISE ROULANTE,
INVENTÊE
P A R M- MAILLAR D.
N°. 3 59*
LA chaise AB est pour se faire mener par un homme pIG. |.
assis en Z sur le train de derriere, qui fait mouvoir & IL
les grandes roues.
L'engrénage qui sert à cet usage est renfermd dans deux
joues F G, pjar^pc snr Ipq hrancards ; chaque joue con-
tient un pignon R, qui engrene dans une roue N, au cem
tre de laquelle est eneore un second pignon P, sormé par
des fuseaux fichés autour de ce même centre à une distam
ee convenable. Ge pignon mene une seconde roue M 9
qui porte encore un pignon semblable à celui qui efi: des-
sus la premiere roue ; enfin ce dernier pignon fait mou-
voir la troisieme roue L? fixée à Tessieu des grandes roues:
cet essieu quï doit tourner avec les grandes roues ? porte
à l’endroit des brancards des petites poulies TI, qui faci-
litent les révolutions du même essieu , qui se font par le
moyen d’une manivelle que l’homme assis fait mouvoir;
êc comrne il y a deux mouvemens semblables, il y a aussi
deux manivelles que la même puissance fait agir $ à cha-
que mouvementest un volantS , qui sert à entretenir l’u-
niformité du rouage à saciliter la puissance quand ils
sont une fois en mouvement ; une troisieme roue E qui
forme l’avant-train r sert à diriger la chaise où l’on veut.
Cette roue qui tient à une chape semblable à celle des
pouiiessimples, se peut mouvoir sur elle-même ayant une
traverse , aux extrêmités de laquelle sont des cordons que