APPROÜVÉES PAR. l'AcADÉMIE; £7
~T^s7
N 0,$2Sé
M A C H I N E —
POUR FAIRE SONNER LETEMPS VRAI
APPLIQUÉE
A UN CERCLE DEQUATION,
INVENTÉE
PAR M. PIERRE LE ROY.
CEtte machine est applicable à toutes les pendü-î
les, pourvu qu’elles ayent seulement un cercle d’d-
quation.
Le cercle mobile A est supposé celui des minutes. C est
Falidade qui lui est attachée, & qui marque l’équation sur pIG ° j
la platine FCDE ; la roue B est celle qui tient au barillet* p1G. ije
Cette platine étant renversée l’on voit l’ouverture circu-»
laire GHI pratiquée dans répaisfeur du métal ; cette ou-
verture est pour le passage des vis qui joignent la piece
LM à la roue de minute. A Textrêmité M est assemblé à
charniere le levier MN , au bout duquel est un cercle Ns
dont le centre répond toujours au centre du cadran, & la
circonférence dont le bord est taillé en biseau touche à la
détente QR de la sonnerie qui est aussi en biseau ; ce levier
ayant un mouvement perpendiculaire au plan du cadran ne
sauroit être élevé, qu’il n’éleve aussi la détenteà laquelleil
touche. Au-dessous de ce cercle est un petit plan incliné
O, dont l’extrêmité répond toujours à 60 minutes du ca-
dranmobile desminutes, quelque mouvement quon don-
~T^s7
N 0,$2Sé
M A C H I N E —
POUR FAIRE SONNER LETEMPS VRAI
APPLIQUÉE
A UN CERCLE DEQUATION,
INVENTÉE
PAR M. PIERRE LE ROY.
CEtte machine est applicable à toutes les pendü-î
les, pourvu qu’elles ayent seulement un cercle d’d-
quation.
Le cercle mobile A est supposé celui des minutes. C est
Falidade qui lui est attachée, & qui marque l’équation sur pIG ° j
la platine FCDE ; la roue B est celle qui tient au barillet* p1G. ije
Cette platine étant renversée l’on voit l’ouverture circu-»
laire GHI pratiquée dans répaisfeur du métal ; cette ou-
verture est pour le passage des vis qui joignent la piece
LM à la roue de minute. A Textrêmité M est assemblé à
charniere le levier MN , au bout duquel est un cercle Ns
dont le centre répond toujours au centre du cadran, & la
circonférence dont le bord est taillé en biseau touche à la
détente QR de la sonnerie qui est aussi en biseau ; ce levier
ayant un mouvement perpendiculaire au plan du cadran ne
sauroit être élevé, qu’il n’éleve aussi la détenteà laquelleil
touche. Au-dessous de ce cercle est un petit plan incliné
O, dont l’extrêmité répond toujours à 60 minutes du ca-
dranmobile desminutes, quelque mouvement quon don-