i04 Reçüeil des Machines
droite à la gauche, leurs divisions sorit différentes ; par
exemple, le premier chaperon de la droite est divisé en
douze, parce que c'est celui des deniers ; le second cha^
peron est divisé en vingt, parce que c’est ceiui dessols; &
le troisieme enfm ( tirant toujours sur la même ligne vers la
gauche ) est divisé en dix, & ainst des autres. Gechape-
ron est percé sur ses bords d’autant de petits trous ronds
qu’il a de chiffres ; c’est daiis ces trous que l’on fait entrec
une des pointes de i’outil ab Dd, gravé à i’ongiet inférieur.
Cet outii peut être appelié çondudteur , parce qu’effedi-
vement c’est luî qui conduit & fait marcher les chaperons.
Le coqduâeur a donc deux pointes, ia premiere a est plus
courte que ia seconde b ; cette dernieré ne sert que pour
attraper une piece enfoncée au-dessous du chaperon qui
sert à ia dîvisiôn , ôt dont on parlera dans ia suite. L’autre
est pour opdrer indifféremment.
Autour des chaperons sur ia platine même , est gravée
une troisieme rangée de chiffres, dont la progreiïion est
égaîe à çelle des chaperons ; c’est-à-dire, que si le cha-
peron çst divisé en vingt ou en dix, cettç rangée sera aussi
divisée en vingt ou en dix,
Àu bas de ces divisions sont cjçs ouvertures YY, qui pa-
roissent ici quarrées ; ce sont pourtant des parailelogrammes
dont ies longs côtés sont doubles de celui du quarré, &c
qui vont jusqssau bord du chaperon. Cependant il n’y a ja~
mais que la moitié de cette ouverture d’ouverte, qui pour
lors forme un quarré ; c’est tantôt celui d’en-haut, & tan-
tôt ceiui d’en-bas, suivant la nature de l’opératiqn qu’on
veutfaire : c’est par ces ouvertm*ea que paroissent des chif*
fres circulairement gravés sur de grands chapçrons inte'-
rieurs , Ôt dont on en voit un marqué q sur l’onglet supé^
rieur ; ce grand chaperon est la dépouiiledeson petit cha-
peron, qui a le même nombre de chiffres que lui. L’on dé-
crira aussi ia couiiiïe qui sert à boucher & déboucher le.s
ouverturesY, donton vientde parler.Tous çes chaperons
droite à la gauche, leurs divisions sorit différentes ; par
exemple, le premier chaperon de la droite est divisé en
douze, parce que c'est celui des deniers ; le second cha^
peron est divisé en vingt, parce que c’est ceiui dessols; &
le troisieme enfm ( tirant toujours sur la même ligne vers la
gauche ) est divisé en dix, & ainst des autres. Gechape-
ron est percé sur ses bords d’autant de petits trous ronds
qu’il a de chiffres ; c’est daiis ces trous que l’on fait entrec
une des pointes de i’outil ab Dd, gravé à i’ongiet inférieur.
Cet outii peut être appelié çondudteur , parce qu’effedi-
vement c’est luî qui conduit & fait marcher les chaperons.
Le coqduâeur a donc deux pointes, ia premiere a est plus
courte que ia seconde b ; cette dernieré ne sert que pour
attraper une piece enfoncée au-dessous du chaperon qui
sert à ia dîvisiôn , ôt dont on parlera dans ia suite. L’autre
est pour opdrer indifféremment.
Autour des chaperons sur ia platine même , est gravée
une troisieme rangée de chiffres, dont la progreiïion est
égaîe à çelle des chaperons ; c’est-à-dire, que si le cha-
peron çst divisé en vingt ou en dix, cettç rangée sera aussi
divisée en vingt ou en dix,
Àu bas de ces divisions sont cjçs ouvertures YY, qui pa-
roissent ici quarrées ; ce sont pourtant des parailelogrammes
dont ies longs côtés sont doubles de celui du quarré, &c
qui vont jusqssau bord du chaperon. Cependant il n’y a ja~
mais que la moitié de cette ouverture d’ouverte, qui pour
lors forme un quarré ; c’est tantôt celui d’en-haut, & tan-
tôt ceiui d’en-bas, suivant la nature de l’opératiqn qu’on
veutfaire : c’est par ces ouvertm*ea que paroissent des chif*
fres circulairement gravés sur de grands chapçrons inte'-
rieurs , Ôt dont on en voit un marqué q sur l’onglet supé^
rieur ; ce grand chaperon est la dépouiiledeson petit cha-
peron, qui a le même nombre de chiffres que lui. L’on dé-
crira aussi ia couiiiïe qui sert à boucher & déboucher le.s
ouverturesY, donton vientde parler.Tous çes chaperons