DOI issue:
Recueil des Machines Année 1730
DOI article:No. 341
DOI Page / Citation link:https://doi.org/10.11588/diglit.30638#0215
APPROÜVsrs P A'R l’A CàDÉMîE, 'ÔOï
piece abdf, qui n’est. que ponduée dans trous ces mouve
mens,mais qui est en perspective dans l’ongie t i'u p drieur.Cct-
te piece est mobile surie pivoc du rochet. Sur cette mème
piece est attaché un cliquet d, qui tombe dans les b.
du rochet S, étant pouü’é par ie petit restort b^. li y a un
autre ciiquet m qui empêche le rochet de rétrograder.
La partie/'de ia piece abds avance sur ie grand chape-
ron des grandes roues, ôt est pousfé par ia piece G, qui
est eile-même pouisée par ia iongue pointe du conduc-
teur; par conséquentla piece/', d5b, a, marchera avec le
chaperon K, la piece G & ie grand chaperon q , d’oii il
suit nécessairement que ie ciiquet v prendra une dent du
rochetS,& qu’ensuite retirant ie condudeur du chape-
ron H, ce rochet avancera dftme division , puisqu’il est
pousssé par le resfort co, iixé à la bande KB , sur iaquelie
tous ces rochets ôc ressorts sont attachés.
La bande de cuivre que les boutons BB font mouvoir,
estposée entrela piatinesupdrieure ôt le chaperon^; cette
bande est taillée de maniere que des deux rangs de chisfres
gravés sur ce même chaperon , elle n’en laiste jamais voir
qu’un à la fois ; on voit même une portion de cette iame
sursongiet supérieur. On avertit que iorsque l’on veut ad-
ditionner ou muitiplier, il faut faire paroître les chifîres
qui augmentent; ôt ceux qui diminuent pour soustraire ou
diviser , toujours supposant que i’on tourne les chaperons
H de droite à gauche : en ce cas, ce sont les parties inférieu-
res des ouvertures qui doivent être découvertes pour l’ad-
dition ôt la multiplicatîon, ôt les parties supérieures pour
la soustraèlion ôt division.
On a oublié de dire que les étoiles RR , ne sont que
pour retenir les roues à écrire W W, ôtc. au moyen d’un
Îàutoîr qui est pousssé entre les pointes par un resssort.
piece abdf, qui n’est. que ponduée dans trous ces mouve
mens,mais qui est en perspective dans l’ongie t i'u p drieur.Cct-
te piece est mobile surie pivoc du rochet. Sur cette mème
piece est attaché un cliquet d, qui tombe dans les b.
du rochet S, étant pouü’é par ie petit restort b^. li y a un
autre ciiquet m qui empêche le rochet de rétrograder.
La partie/'de ia piece abds avance sur ie grand chape-
ron des grandes roues, ôt est pousfé par ia piece G, qui
est eile-même pouisée par ia iongue pointe du conduc-
teur; par conséquentla piece/', d5b, a, marchera avec le
chaperon K, la piece G & ie grand chaperon q , d’oii il
suit nécessairement que ie ciiquet v prendra une dent du
rochetS,& qu’ensuite retirant ie condudeur du chape-
ron H, ce rochet avancera dftme division , puisqu’il est
pousssé par le resfort co, iixé à la bande KB , sur iaquelie
tous ces rochets ôc ressorts sont attachés.
La bande de cuivre que les boutons BB font mouvoir,
estposée entrela piatinesupdrieure ôt le chaperon^; cette
bande est taillée de maniere que des deux rangs de chisfres
gravés sur ce même chaperon , elle n’en laiste jamais voir
qu’un à la fois ; on voit même une portion de cette iame
sursongiet supérieur. On avertit que iorsque l’on veut ad-
ditionner ou muitiplier, il faut faire paroître les chifîres
qui augmentent; ôt ceux qui diminuent pour soustraire ou
diviser , toujours supposant que i’on tourne les chaperons
H de droite à gauche : en ce cas, ce sont les parties inférieu-
res des ouvertures qui doivent être découvertes pour l’ad-
dition ôt la multiplicatîon, ôt les parties supérieures pour
la soustraèlion ôt division.
On a oublié de dire que les étoiles RR , ne sont que
pour retenir les roues à écrire W W, ôtc. au moyen d’un
Îàutoîr qui est pousssé entre les pointes par un resssort.