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APPROUVÉES PAR l’ À C A D Ê M IE, 115'

më celle des dixaines , & ainsi des autres ; on mettra deux .

fois la somme à réduire sur lesdites roues, puis regardant 1730.
aux ouvertures d’en-bas qui doivent être ouvertes, ôc con- No.3q,i.

sidérant pour iors les roues selon leur ordre naturel, vous -»

aurez le nombre des sols cherché.

D& la rèduclion des fols en deniers.

Pour réduire les sols en deniers, il faut que les parties
d’en-bas des ouvertures soientouvertes, ensuite vous met-
trez deux fois le nombre de sols , comme sî vous vouliez
saire une addition; vous metrez encore une fois votre
nombrede sols sur les roues, laissant la premiere comme
si elle n’y étoit pas, ôt par conséquent considérant la roue
des dixaines comme tenant la place de celle des unités ,
celles des centaines comme celle des dixaines, ainsi des
autres, ce qui donne le produit cherché.

Pour convertir les sols en livres.

ÎI faut diviser les sols par vingt, ôc le quotient sèra le
nombre de livres.

Pour convertir les deniers tn sols„

II faut diviser le nombre des deniers par douze & le quo-
tient sera le nombre de sols cherché.

Pour converdr les deniers en livres.

II les faut diviser par 240 , ôc le quotient qui en résul-
tera, sera le nombre de livres que vous desirez connoître.

Les usages ci-desssus énoncés sont communs à ceux de
M. l’Epine : voici les autres machines arithmétiques de
M. de Hillerin, qui roulent toutes sur le même principe
pour l’usage seulement.

Pij
 
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