APPROUVÉES PÂR l’AcADÊMIE. I 19
rieure tout de même qu’à la premiere pianche. Le grand
rateau qui a communication au premier mouvement de la * 7 jo.
droite, sert à faire marcher la rangée d’au-dessus, lorsqu’il N°. 342,
est rencontré par la partie dentée du premier. Les pieces --—
>qui servent aux roues de quotientQ, ne dif-
ferent en rien d’essentiel des précédentes, non plus que les
roues à écrire EE, qui par la maniere dont elies sont
taillées, peuvent être tournées indifféremment à droiteou
à gauche.
Par cette constru&ion , l’on voit que les fonflions ‘ de
cette machine sont les mêmes qu’à la premiere , Ôc qu’il
faudra dix tours de la premiere roue pour faire avancer
la seconde d'une divisson, & que tout ira dans la même
raison décuple.
Les mouvemens de cette machine sont beaucoup plus
doux que de toutes celles quil’ont précédée, &Fon doit
regarder comme une très-grande commodité le moyen fa~
cile qu’elle donne de pouvoir changer les mouvemens ;
par là on n’aura qu’à avoir plusieurs mouvemens divifés
selon les aliquotes des choses qu*on auroit à calculer, com-
me toises, pieds, pouces, marcs, onces, gros, &c.
M. d’Hillerin n’ayant point trouvé dans celle-ci toute
la force qui lui étoit nécessaire, & aussi pour plusieurs au-:
tres raisons, a imaginé la suivante.
rieure tout de même qu’à la premiere pianche. Le grand
rateau qui a communication au premier mouvement de la * 7 jo.
droite, sert à faire marcher la rangée d’au-dessus, lorsqu’il N°. 342,
est rencontré par la partie dentée du premier. Les pieces --—
>qui servent aux roues de quotientQ, ne dif-
ferent en rien d’essentiel des précédentes, non plus que les
roues à écrire EE, qui par la maniere dont elies sont
taillées, peuvent être tournées indifféremment à droiteou
à gauche.
Par cette constru&ion , l’on voit que les fonflions ‘ de
cette machine sont les mêmes qu’à la premiere , Ôc qu’il
faudra dix tours de la premiere roue pour faire avancer
la seconde d'une divisson, & que tout ira dans la même
raison décuple.
Les mouvemens de cette machine sont beaucoup plus
doux que de toutes celles quil’ont précédée, &Fon doit
regarder comme une très-grande commodité le moyen fa~
cile qu’elle donne de pouvoir changer les mouvemens ;
par là on n’aura qu’à avoir plusieurs mouvemens divifés
selon les aliquotes des choses qu*on auroit à calculer, com-
me toises, pieds, pouces, marcs, onces, gros, &c.
M. d’Hillerin n’ayant point trouvé dans celle-ci toute
la force qui lui étoit nécessaire, & aussi pour plusieurs au-:
tres raisons, a imaginé la suivante.