BÉNI-HASSAN 119
Fig. 59, p. 11. Les substitutions qui ont remplacé le de-
mi-masque humain par d'autres signes, tels que le nez de
veau, £? par exemple, sont dues à récriture hiératique, et je
crois que le signe interprété par la bouche vue de côté
(p. 12, entre les fig. 19 et 157) est en réalité une forme do
ce nez reproduisant le tracé hiératique régularisé.
Fig. 21, p. 13. Les dieux Heh^, qui lèvent les bras en
l'air, sont les dieux-étais sur lesquels le ciel s'appuyait,
ainsi qu'il résulte du texte et du tableau de la Chambre de
la Vache au tombeau de Séti Ier ; cf. Etudes de mytholo-
gie et d'archéologie égyptiennes, t, II, p. 219, note 2.
Fig. 148, 161, p. 13. A propos du mot Ati[ souve-
rain. Voici longtemps que Ati, Atout, me paraît un nom en -i
final dérivé de A tou, At[
ralement le paternel, ce
,, père : Atoui se traduirait litté-
ui qui fait fonction de père, et il
nous conserverait ainsi le souvenir d'une ancienne consti-
tution patriarcale, par laquelle la tribu égyptienne aurait
passé au début de son histoire.
Fig. 165, p. 14. Ka khou \J serait le ka spiritualisé.
En réalité c'est, comme plus tard sous la XXe dynastie, parmi
les dévots de Rà, le double du khou, qui est mentionné sur
ces très vieux monuments; cf. Recueil de Travaux, t. III,
p. 105-106.
Fig. 177, p. 15. Le nom du poisson écrit avec ce signe
Cc>> est èpelé Ahaît_°j(Q> c^ans ^es mastabas de Mariette,
confirmant une fois de plus la lecture contestée.
P. 17. Le nom copte de la brebis, ecoo-y, ne vient pas di-
rectement de l'ancien égyptien , mais de la forme
[j ^5£^> ^éjà c'itée par Brugsch, et où /' <=> final est déjà
tombé.
Fig. 161, p. 21. M. Griffith dérive le nom de Thot de celui
du XVe nome de la Haute Égypte, qui appartient à ce dieu.
Fig. 59, p. 11. Les substitutions qui ont remplacé le de-
mi-masque humain par d'autres signes, tels que le nez de
veau, £? par exemple, sont dues à récriture hiératique, et je
crois que le signe interprété par la bouche vue de côté
(p. 12, entre les fig. 19 et 157) est en réalité une forme do
ce nez reproduisant le tracé hiératique régularisé.
Fig. 21, p. 13. Les dieux Heh^, qui lèvent les bras en
l'air, sont les dieux-étais sur lesquels le ciel s'appuyait,
ainsi qu'il résulte du texte et du tableau de la Chambre de
la Vache au tombeau de Séti Ier ; cf. Etudes de mytholo-
gie et d'archéologie égyptiennes, t, II, p. 219, note 2.
Fig. 148, 161, p. 13. A propos du mot Ati[ souve-
rain. Voici longtemps que Ati, Atout, me paraît un nom en -i
final dérivé de A tou, At[
ralement le paternel, ce
,, père : Atoui se traduirait litté-
ui qui fait fonction de père, et il
nous conserverait ainsi le souvenir d'une ancienne consti-
tution patriarcale, par laquelle la tribu égyptienne aurait
passé au début de son histoire.
Fig. 165, p. 14. Ka khou \J serait le ka spiritualisé.
En réalité c'est, comme plus tard sous la XXe dynastie, parmi
les dévots de Rà, le double du khou, qui est mentionné sur
ces très vieux monuments; cf. Recueil de Travaux, t. III,
p. 105-106.
Fig. 177, p. 15. Le nom du poisson écrit avec ce signe
Cc>> est èpelé Ahaît_°j(Q> c^ans ^es mastabas de Mariette,
confirmant une fois de plus la lecture contestée.
P. 17. Le nom copte de la brebis, ecoo-y, ne vient pas di-
rectement de l'ancien égyptien , mais de la forme
[j ^5£^> ^éjà c'itée par Brugsch, et où /' <=> final est déjà
tombé.
Fig. 161, p. 21. M. Griffith dérive le nom de Thot de celui
du XVe nome de la Haute Égypte, qui appartient à ce dieu.