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pour le fils auguste de S. A. le vice-roi, et prédit qu'il sera
un jour non moins glorieux que son père et son aïeul ; il
conclut en adressant des actious de grâces au Prophète, selon
l'usage reçu.
Voilà, Messieurs, ce que j'ai cru devoir vous rapporter, à
propos de ce poëme. J'ajouterai seulement que ce n'est pas
sur la traduction des quelques strophes que j'ai reproduites
qu'il faudrait juger du mérite de cette composition. La diffé-
rence de génie entre les langues sémitiques et indo-germani-
ques est si grande, qu'une pensée élégamment exprimée dans
une des premières, étant traduite dans une des dernières,
pourrait paraître extravagante et même ridicule.
La Commission vous propose, Messieurs, de voter des re-
mercîments à l'Auteur, et de déposer honorablement le
poëme de M. Rifâa-Bey dans les archives de l'Institut.
Adopté.
pour le fils auguste de S. A. le vice-roi, et prédit qu'il sera
un jour non moins glorieux que son père et son aïeul ; il
conclut en adressant des actious de grâces au Prophète, selon
l'usage reçu.
Voilà, Messieurs, ce que j'ai cru devoir vous rapporter, à
propos de ce poëme. J'ajouterai seulement que ce n'est pas
sur la traduction des quelques strophes que j'ai reproduites
qu'il faudrait juger du mérite de cette composition. La diffé-
rence de génie entre les langues sémitiques et indo-germani-
ques est si grande, qu'une pensée élégamment exprimée dans
une des premières, étant traduite dans une des dernières,
pourrait paraître extravagante et même ridicule.
La Commission vous propose, Messieurs, de voter des re-
mercîments à l'Auteur, et de déposer honorablement le
poëme de M. Rifâa-Bey dans les archives de l'Institut.
Adopté.