Études Démotiques.
37
ran-i-k Qâmmisâtrâ Bâpfhô, nuk en Phds Sphaû
Je t'appelle Qâmmisâtrâ Bâptho, Je suis Phâs &phaû,
ma ûà en âq-ek yen sûh'-ai paûw Jàmhnaû, Mïmïâ
lieu un dans tu entres Alors, recette La Janûmau. Mimiô,
ent-t'û-k h'esmen en nul en ïâ-iv entûk 37. •. . . . en zà56 ?7a a»ï «Mfâfc ««6 ««-«»
Toi, natron. de de l'eau avec le laves tu métal, de vase un apportes tu pur,
«rt-iî t'tro5^ entûk attend pà yer h'er-ew entûk tn-rà-to neh' en loq ûâ t'ï
une allumes Tu sol. le sur le places Tu sur lui d'huile mesure une verse
o
VU
en zà pà t'eb yer ditenu pà en es t'ï entûk..... en lâmpas59
métal de vase du à côté sol la sur elle places tu , métal de lampe
sezï hnaû pà en nûter-u nà au ar dï en âb aû-ar-k âb-êto 7. pà en sûâb-tû-to aû-dr-k
ceux forTs 1 n cou
parole conjuration la de dieux les , • „„. tassent nue Si tudésires désireras tu ce que pour •' ,. Tu
1 J qui sont 1 1 juration
56) <^ | o , un vase de métal. ^ correspond au copte , T. T\, coupe,
cdliee; X*CUï M- T\ï > chaudron, marmite, rase en terre. Il se retrouve mainte fois dans les textes:
Pap. de Leyde, p. VI, 1. 1S-19:
ew sûr t'Û-8 ent himt tà en dï-w aû-ar-k arp en ze ûâ en dïw Aû-ar-k
le boive qu'elle pour à la femme le donneras tu vin de vase un dans le placeras Tu
Pap. de Leyde, p. VII, 1. 17 :
eio yen Anepû en aru ûà péteh' entûk ...... en ze. ûà anï-k yen
lui en d'Anubis image une étends tu métal de vase un tu as apporté Lorsque
57) Ce mot est probablement la forme démotique du signe hiératique dont on se sert pour désigner
le métal | ^ , en hiéroglyphes & .
58) ^ ^"j ^~_ ' rï°n* n°US av0nS VU im exemPle> signifie mettre le feu, allumer.
Cette expression a pour équivalent, dans d'autres textes, le mot ^_ t'ï-ye-t, qui est formé
de la même façon, et possède absolument le même sens. Pap. de Paris, p.VI, 1. 18.
t-u t'ïyet entï-k
[eux] allumes que tu
59] Le groupe démotique est la transcription exacte du grec )A[j.v.at. J'ai déjà noté plus haut
quelques noms de plantes évidemment transcrits de la même langue : les textes magiques en renferment
toujours un assez grand nombre.
37
ran-i-k Qâmmisâtrâ Bâpfhô, nuk en Phds Sphaû
Je t'appelle Qâmmisâtrâ Bâptho, Je suis Phâs &phaû,
ma ûà en âq-ek yen sûh'-ai paûw Jàmhnaû, Mïmïâ
lieu un dans tu entres Alors, recette La Janûmau. Mimiô,
ent-t'û-k h'esmen en nul en ïâ-iv entûk 37. •. . . . en zà56 ?7a a»ï «Mfâfc ««6 ««-«»
Toi, natron. de de l'eau avec le laves tu métal, de vase un apportes tu pur,
«rt-iî t'tro5^ entûk attend pà yer h'er-ew entûk tn-rà-to neh' en loq ûâ t'ï
une allumes Tu sol. le sur le places Tu sur lui d'huile mesure une verse
o
VU
en zà pà t'eb yer ditenu pà en es t'ï entûk..... en lâmpas59
métal de vase du à côté sol la sur elle places tu , métal de lampe
sezï hnaû pà en nûter-u nà au ar dï en âb aû-ar-k âb-êto 7. pà en sûâb-tû-to aû-dr-k
ceux forTs 1 n cou
parole conjuration la de dieux les , • „„. tassent nue Si tudésires désireras tu ce que pour •' ,. Tu
1 J qui sont 1 1 juration
56) <^ | o , un vase de métal. ^ correspond au copte , T. T\, coupe,
cdliee; X*CUï M- T\ï > chaudron, marmite, rase en terre. Il se retrouve mainte fois dans les textes:
Pap. de Leyde, p. VI, 1. 1S-19:
ew sûr t'Û-8 ent himt tà en dï-w aû-ar-k arp en ze ûâ en dïw Aû-ar-k
le boive qu'elle pour à la femme le donneras tu vin de vase un dans le placeras Tu
Pap. de Leyde, p. VII, 1. 17 :
eio yen Anepû en aru ûà péteh' entûk ...... en ze. ûà anï-k yen
lui en d'Anubis image une étends tu métal de vase un tu as apporté Lorsque
57) Ce mot est probablement la forme démotique du signe hiératique dont on se sert pour désigner
le métal | ^ , en hiéroglyphes & .
58) ^ ^"j ^~_ ' rï°n* n°US av0nS VU im exemPle> signifie mettre le feu, allumer.
Cette expression a pour équivalent, dans d'autres textes, le mot ^_ t'ï-ye-t, qui est formé
de la même façon, et possède absolument le même sens. Pap. de Paris, p.VI, 1. 18.
t-u t'ïyet entï-k
[eux] allumes que tu
59] Le groupe démotique est la transcription exacte du grec )A[j.v.at. J'ai déjà noté plus haut
quelques noms de plantes évidemment transcrits de la même langue : les textes magiques en renferment
toujours un assez grand nombre.