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Études Démotiques.
ip/t «7«A<? as' uû-ar-k ro-k ûâbï rn-u en ûâbî-k
Iph, Jahô, réciteras: tu ta bouche, à leur bouche de en présence de toi,
raeft-£ ^erw-i e« 7<V;r ew-efc ro-w ^» A<I>QH, NHMP, KINTA80YP, EQE
toute, parole cesse r*arl°gnti eux Lorsque Aphôï. Nîphar, Kintathour, Eôe,
TQM0- van M pûï âs aû-ar-h h'er cm zà Jn *\*60 *? en sûâb-tû-w aù-ark-ent
Tomih- nom autre cet réciteras Tu ne cesse point parlent, S* e"X eux. à évoquer tu seras Pal'
point ne 1 laquelle
AONAPOMA61 KQXIPPOAOP, MANTOÏN OBOH, 13
Dondroma, Kôkhirrhodor, Mantoun oboï, ix,
md-t zï-t en au sudb ro-u yen nen™ as aû-ar-k KEOAEP20OEP AYKOOEP
„„ , '.•*'.> ne font-ils pas jusqu'à , r ., rn -rr i 7 -r 7 7
en vente? , . J J cela réciteras Tu Kephaersop7ier. Lukopher,
la conjuration ce que eux 11 9 1 '
«Autre formule pour pratiquer une évocation.
«Dis les paroles [suivantes] :
««Je suis Pnebbaï, Oretsimbaï, Sônatsir, Aupisqhaus, Imamimau . Thoqomaphrûr,
«.Phirimàphûni. Je t'appelle, Maïmaï, Bibïû, seigneur, Qthothôni! Je suis Shes, Pthô,Bâlkhâm,
«l'enfant de Binûï, Sphaû. Phas! Je suis Bâpthô, Qâmmisâtrâ! Je t'appelle, Mimiô, Janûmau.
«Recette :
«Tu entres dans un lieu pur, tu prends un vase de métal que tu laves à l'eau de natron.
Tu y verses une mesure d'huile, tu le places à terre, tu allumes une lampe de métal, tu la places
à terre, à côté du vase de métal. Tu feras la conjuration, selon l'objet que tu désireras; si tu dé-
sires que les dieux [qui dépendent de la formule] de conjuration te parlent de la bouche à la
bouche, tu réciteras: »Jahô, Iph, Eôe, Kinthathour, Niphâr, Aphôï». Quands ils te [parleront],
cesse de prononcer les paroles d'évocation ; s'ils ne parlent pas, n'arrête point, mais récite cet
autre nom: «Tômthùc, Mantoun-Oboï, Kôkhirrhodor, Dondroma, Lykopher, Kephaersoph&n.
Tu réciteras cette formule, jusqu'à ce qu'ils obéissent à la conjuration en vérité».
60) Les mots hi en ro-u, ont été passés par erreur, dans le fac-similé du texte démotique. Ils
ont été rétablis dans la transcription et dans la traduction.
61) La transcription grecque de ces noms confirme un fait déjà connu par d'autres exemples:
les Égyptiens pour rendre le son A, qu'ils ne possédaient pas, se servaient de la combinaison nt.
/wwv\ ^ çjn \
On avait déjà -^p0 g-> , pour Darius ; on a ici ^ O <rz> j > Pour SovSpofio.
Toutefois, ce que nous observons, dans ce mot lui-môme, nous prouve que cet artifice graphique n'était
_ pas toujours considéré comme nécessaire à la transcription du son. Le second o du mot 5ov5pof*a répond
simplement à un ^- démotique.
62) Cette forme de pronom est le
des textes hiéroglyphiques.
Études Démotiques.
ip/t «7«A<? as' uû-ar-k ro-k ûâbï rn-u en ûâbî-k
Iph, Jahô, réciteras: tu ta bouche, à leur bouche de en présence de toi,
raeft-£ ^erw-i e« 7<V;r ew-efc ro-w ^» A<I>QH, NHMP, KINTA80YP, EQE
toute, parole cesse r*arl°gnti eux Lorsque Aphôï. Nîphar, Kintathour, Eôe,
TQM0- van M pûï âs aû-ar-h h'er cm zà Jn *\*60 *? en sûâb-tû-w aù-ark-ent
Tomih- nom autre cet réciteras Tu ne cesse point parlent, S* e"X eux. à évoquer tu seras Pal'
point ne 1 laquelle
AONAPOMA61 KQXIPPOAOP, MANTOÏN OBOH, 13
Dondroma, Kôkhirrhodor, Mantoun oboï, ix,
md-t zï-t en au sudb ro-u yen nen™ as aû-ar-k KEOAEP20OEP AYKOOEP
„„ , '.•*'.> ne font-ils pas jusqu'à , r ., rn -rr i 7 -r 7 7
en vente? , . J J cela réciteras Tu Kephaersop7ier. Lukopher,
la conjuration ce que eux 11 9 1 '
«Autre formule pour pratiquer une évocation.
«Dis les paroles [suivantes] :
««Je suis Pnebbaï, Oretsimbaï, Sônatsir, Aupisqhaus, Imamimau . Thoqomaphrûr,
«.Phirimàphûni. Je t'appelle, Maïmaï, Bibïû, seigneur, Qthothôni! Je suis Shes, Pthô,Bâlkhâm,
«l'enfant de Binûï, Sphaû. Phas! Je suis Bâpthô, Qâmmisâtrâ! Je t'appelle, Mimiô, Janûmau.
«Recette :
«Tu entres dans un lieu pur, tu prends un vase de métal que tu laves à l'eau de natron.
Tu y verses une mesure d'huile, tu le places à terre, tu allumes une lampe de métal, tu la places
à terre, à côté du vase de métal. Tu feras la conjuration, selon l'objet que tu désireras; si tu dé-
sires que les dieux [qui dépendent de la formule] de conjuration te parlent de la bouche à la
bouche, tu réciteras: »Jahô, Iph, Eôe, Kinthathour, Niphâr, Aphôï». Quands ils te [parleront],
cesse de prononcer les paroles d'évocation ; s'ils ne parlent pas, n'arrête point, mais récite cet
autre nom: «Tômthùc, Mantoun-Oboï, Kôkhirrhodor, Dondroma, Lykopher, Kephaersoph&n.
Tu réciteras cette formule, jusqu'à ce qu'ils obéissent à la conjuration en vérité».
60) Les mots hi en ro-u, ont été passés par erreur, dans le fac-similé du texte démotique. Ils
ont été rétablis dans la transcription et dans la traduction.
61) La transcription grecque de ces noms confirme un fait déjà connu par d'autres exemples:
les Égyptiens pour rendre le son A, qu'ils ne possédaient pas, se servaient de la combinaison nt.
/wwv\ ^ çjn \
On avait déjà -^p0 g-> , pour Darius ; on a ici ^ O <rz> j > Pour SovSpofio.
Toutefois, ce que nous observons, dans ce mot lui-môme, nous prouve que cet artifice graphique n'était
_ pas toujours considéré comme nécessaire à la transcription du son. Le second o du mot 5ov5pof*a répond
simplement à un ^- démotique.
62) Cette forme de pronom est le
des textes hiéroglyphiques.