164 La grande inscription de Béni-Hassan.
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» Khouwou, et voici que je la fis prospérer ainsi que son trésor [rjaccroissant de toutes
» choses, je fis fleurir le nom de mon père, construisant ses chapelles de Jeu, je transportai
» mes statues au temple de la ville, je leur octroyai leurs offrandes de pains, liqueurs, eau,
» encens, viande pure, je choisis un prêtre de Jca, et je le constituai [maître] de champs,
» et de serfs, je décrétai des repas funéraires à toutes lés fêtes du cimetière, à la fête du
» nouvel an, à la fête du commencement de l'année, à la fête de la grande année, à la fête
» de la petite année, à la fête du bout de l'an, à la Grande Fête, à la fête du grand feu,
»à la fête du petit feu, à la fête des cinq jours épagomènes, à la fête de la rentrée des
» grains ( ?), aux douze fêtes du mois, aux douze fêtes du demi-mois, à toutes les fêtes des
» vivants et des morts ; que si le prêtre de Jca ou quelque autre individu y trouble rien, qu'il
» cesse d'être, que son fils ne soit pas en sa place ! Je fus en faveur à la cour plus que tout
» ami unique, [car] le roi me distingua parmi ses nobles, et me voila devant ceux qui étaient
1) Cfr. sur cette expression, Mélanges d''Archéologie, T. iii, p. 147, note i.
2) Lit.: «Je suivis». Suivre est l'expression consacrée en pareil cas.
3) J'ai cru reconnaître dans ce qui est incertain, ^ la désignation de l'encens qui, sans cela,
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manquerait à rémunération. déterminatif de / J o est une mauvaise tonne de \ et le groupe ^ j ^
sert, dans la grande inscription de Siout, à désigner la viande sacrée des victimes destinée au culte du [_J.
4) La même phrase un peu plus développée dans la grande inscription de Siout. Le mot-à-mot en est:
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« Je construisis lui en champs et vassaux ». On a l'expression analogue fl ^ construire, édifier le pauvre, etc.
5) Litt. : « de sur terre jusqu'à sur montagne », par opposition entre la plaine _^ . où restent les
vivants à la montagne P^l où reposent les morts.
6) La première partie de la traduction de Beugsçh s'arrête ici. Elle rend le sens général, mais
non la tournure du morceau, M. Brugsch ayant coupé en une foule de petites phrases la longue période
en style juridique où Khnoumhotpou raconte l'histoire de sa famille.
7) i^=-- se rapporte ici à " qui, désignant à la fois le palais, la cour, et le maître du palais,
le roi, prête à cette construction.
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» mes statues au temple de la ville, je leur octroyai leurs offrandes de pains, liqueurs, eau,
» encens, viande pure, je choisis un prêtre de Jca, et je le constituai [maître] de champs,
» et de serfs, je décrétai des repas funéraires à toutes lés fêtes du cimetière, à la fête du
» nouvel an, à la fête du commencement de l'année, à la fête de la grande année, à la fête
» de la petite année, à la fête du bout de l'an, à la Grande Fête, à la fête du grand feu,
»à la fête du petit feu, à la fête des cinq jours épagomènes, à la fête de la rentrée des
» grains ( ?), aux douze fêtes du mois, aux douze fêtes du demi-mois, à toutes les fêtes des
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1) Cfr. sur cette expression, Mélanges d''Archéologie, T. iii, p. 147, note i.
2) Lit.: «Je suivis». Suivre est l'expression consacrée en pareil cas.
3) J'ai cru reconnaître dans ce qui est incertain, ^ la désignation de l'encens qui, sans cela,
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6) La première partie de la traduction de Beugsçh s'arrête ici. Elle rend le sens général, mais
non la tournure du morceau, M. Brugsch ayant coupé en une foule de petites phrases la longue période
en style juridique où Khnoumhotpou raconte l'histoire de sa famille.
7) i^=-- se rapporte ici à " qui, désignant à la fois le palais, la cour, et le maître du palais,
le roi, prête à cette construction.