h G. MASPERO. [h]
[Page 59, § 97, An m.] Cf. p. 79, § i4i. Il n'y a pas besoin de cette supposition :
^ étant voyelle ne s'écrit pas plus nécessairement derrière un î que derrière toute
autre lettre à l'époque, et ftyP-H est orthographiquement l'équivalent de fftPMvi*-
Phonétiquement, il est possible que Yî du pronom se soit assimilé à Yî de la finale
et qu'on ait prononcé Masîa ou Masî au lieu de Masîya ou Masîi.
[Page 59, S 98.] Il n'est pas écrit au commencement de quelques mots : p® ^
« largeurs pour ^P®, pour ^P® ce galère, navires, Le Naufragé, 1. 26-27,
Lacau, Recueil de travaux, 1908, t. XXX, p. 192, Paysan, Vogelsang, p. 38, dans
Ramesséum 1. 46 et Butler 1. 99 »^ et Amherst f..J,.^ jp* P Q V * ^ I
\ T^' ^ 135 et pourtant immédiatement avant — \ P*,T, Ramesséum I. 4 5, puis
^©rjl Amherst 1. 12 et Butler 1. 29. Cf. p. i44, § 270.
[Page 59, S 99.] \ et \ sont les sonnantes i et u de l'indo-européen : elles jouent
dans certains cas le rôle de voyelles. La quantité n'a rien à voir ici (Lacau, Notes de
grammaire, dans le Recueil de travaux, 1 91 3, t. XXXV, p. 63).
[Page 60, § 100.] Lacau pense que les deux wnm se rattachent à la même racine
ce mangers, la main droite étant celle ce qui sert à mangers et la main gauche étant
réservée aux usages impurs. Un dérivé a donné (dans des conditions phonétiques à
déterminer) tmn métathèse de nm en mn, qui se retrouve clans po^ sémitique. Le
premier de ces mots s'est spécialisé dans ce Ouest s, l'autre dans ce droite s. On ne peut
comparer ce fait à celui de ^—■ jj, \ > \ m"1 et mi. Ce dernier en cananéen et ara-
méen seulement, tandis que p"> est commun à toutes les langues sémitiques : le rem-
placement de i par 1 aurait eu lieu dans l'ancêtre commun [Notes de grammaire, Re-
cueil de travaux, 1910, t. XXXV, p. 63-64). Je pense qu'il y a calembour : oynam
dérive de l'usage et non d'| ™ par philologie.
[Page 60, § 101.] \ échange avec —>. Cf. l'article de Dévaud dans Sphinx, t. XIII,
1909, p. 159 et suivantes, pour leur échange devant ©. Bon exemple : $^^3^
K ff, \ ® ^ ~, 'K ffi ^l m > PaVsan> Vogblsang, p. 45, Berlin 1. 5-^
ce ma route est bonne, mais la berge est raide, et il y a du blé sur la chaussées, où
Ramesséum 1. 57 donne ■^^7^- ®n a également Brugsch, Dîctionn. hic-
rogl, t. I, p. 217, ^J^"^, UrL, IV, p. 312, Todt., chap. xcix, et Piehl, Inscript.,
129 (3. Cf. p. 71, § 127, mais la forme en —■ semble être plus ancienne.
[Page 61, § 1 o3.] ^ échange avec J, ainsi ^ J ^, Stèle de Melternich, 1. 73, 134,
244 = ^^, idem, 1. 189.
[Page 61, § 104.] supprimé dans l'orthographe (Garmner, Note on the Slory,
[Page 59, § 97, An m.] Cf. p. 79, § i4i. Il n'y a pas besoin de cette supposition :
^ étant voyelle ne s'écrit pas plus nécessairement derrière un î que derrière toute
autre lettre à l'époque, et ftyP-H est orthographiquement l'équivalent de fftPMvi*-
Phonétiquement, il est possible que Yî du pronom se soit assimilé à Yî de la finale
et qu'on ait prononcé Masîa ou Masî au lieu de Masîya ou Masîi.
[Page 59, S 98.] Il n'est pas écrit au commencement de quelques mots : p® ^
« largeurs pour ^P®, pour ^P® ce galère, navires, Le Naufragé, 1. 26-27,
Lacau, Recueil de travaux, 1908, t. XXX, p. 192, Paysan, Vogelsang, p. 38, dans
Ramesséum 1. 46 et Butler 1. 99 »^ et Amherst f..J,.^ jp* P Q V * ^ I
\ T^' ^ 135 et pourtant immédiatement avant — \ P*,T, Ramesséum I. 4 5, puis
^©rjl Amherst 1. 12 et Butler 1. 29. Cf. p. i44, § 270.
[Page 59, S 99.] \ et \ sont les sonnantes i et u de l'indo-européen : elles jouent
dans certains cas le rôle de voyelles. La quantité n'a rien à voir ici (Lacau, Notes de
grammaire, dans le Recueil de travaux, 1 91 3, t. XXXV, p. 63).
[Page 60, § 100.] Lacau pense que les deux wnm se rattachent à la même racine
ce mangers, la main droite étant celle ce qui sert à mangers et la main gauche étant
réservée aux usages impurs. Un dérivé a donné (dans des conditions phonétiques à
déterminer) tmn métathèse de nm en mn, qui se retrouve clans po^ sémitique. Le
premier de ces mots s'est spécialisé dans ce Ouest s, l'autre dans ce droite s. On ne peut
comparer ce fait à celui de ^—■ jj, \ > \ m"1 et mi. Ce dernier en cananéen et ara-
méen seulement, tandis que p"> est commun à toutes les langues sémitiques : le rem-
placement de i par 1 aurait eu lieu dans l'ancêtre commun [Notes de grammaire, Re-
cueil de travaux, 1910, t. XXXV, p. 63-64). Je pense qu'il y a calembour : oynam
dérive de l'usage et non d'| ™ par philologie.
[Page 60, § 101.] \ échange avec —>. Cf. l'article de Dévaud dans Sphinx, t. XIII,
1909, p. 159 et suivantes, pour leur échange devant ©. Bon exemple : $^^3^
K ff, \ ® ^ ~, 'K ffi ^l m > PaVsan> Vogblsang, p. 45, Berlin 1. 5-^
ce ma route est bonne, mais la berge est raide, et il y a du blé sur la chaussées, où
Ramesséum 1. 57 donne ■^^7^- ®n a également Brugsch, Dîctionn. hic-
rogl, t. I, p. 217, ^J^"^, UrL, IV, p. 312, Todt., chap. xcix, et Piehl, Inscript.,
129 (3. Cf. p. 71, § 127, mais la forme en —■ semble être plus ancienne.
[Page 61, § 1 o3.] ^ échange avec J, ainsi ^ J ^, Stèle de Melternich, 1. 73, 134,
244 = ^^, idem, 1. 189.
[Page 61, § 104.] supprimé dans l'orthographe (Garmner, Note on the Slory,