Le charivari (12.1843)

r\nnpeut

....... " 'Si

l FAIRE SUITE

a quinze jours, que jj
it au Siécîe par M. le g^
aient valu a cet officier.,:
du le ministre de la ^
ne s'est pas contentée d(l
e lui aimposê une sorte &
aud vient en effet d'adress,
u'on va lire :

« Alger, le 10 janvier «(<
on commise par le .
ientielle, les discussions ^
e ma brochure, m'ont écW
;t privés qu'entraîne la ^
1S du gouvernement, qui,,
>lifs qui les dirigent. 3e recow.
rte qu'au ministre de la 5^
le mission qui m'est confiée^
bs gouvernementales en lei
une faute, ce qui reste de $
•e et de la réparer. Je le
nt que désormais je ne répemt
rochure ni de mes actes,
r, de vouloir bien publier «,
aièrefois que je réclame* «

BUGEttt,

rocès Brossard, M. Bugmi
îal qu'il avait manjtiéi
mt ; aujourd'hui le voilà|j
mque aux convenanca 501
l se confesse biea souvent;
ologiquement requises de»,
mais ce n'est pas un moiilf
'absolution.

par M.Jules Lacroix, 2 vol.»
te la Ranièe et de son m
ne Nyon, 1 vol. in-12.

temps où les romans de car
eu de vogue ; ce que l'on
oent, de l'agitation, des m
, je crois, plus en usagept
:s pfaysiciens.Lesauteurswl

prodigieux d'aventures (i
:1e effrayant de crimes Ait
i, à peine préparés, y«ip<
raît que ce genre de lilitai
u, nous l'avouons, est pirli
ie la majeure partie du pi

la faveur s'attachent àceu

de frénésie.

n de ceux qui ont donné lf|
heureux travers... Nous ht
ultat. Son dernier ouvrage,
pas beaucoup de de rivauii»
! époque, pour la coœpW
eplis de l'intrigue. C'est m
i, par momens, semblertt
nais ce nœud diabolique etj
r se dénouer de lui-mto'
ide, sans avoir besoin qu'»

întion que celle du ChA»
serait tenté d'appliquercei
ouvrage lui même ; Adw
re sans nom. — Telle est»
s à Macbeth, lorsqu'il l«
:averne, en train de faire t*
certes, on ne pourrait fil
ar .tous les fils de 1W
a pas une page dans le '

ique, ,/t
'ulu démontrer dans IfC»
■ puissance de !a fatali»,
(La suite à la i'm

HISTOIRE DU COSTUJE EN FRANCE.



( H- 0 0 . )



§ iSSIMS., . ■" ■

Imp d AuWt & C'