Le charivari (12.1843)

1 on asseoirait Le gfoi ,
■c rebelle, un ûls ;*>,
le a parole, où CQS

^TSlS< HISTOIRE DUI COSTUIE EN FRANCE..

lres boî

tant à Phèdre, c'est n„
ferme, le front ZS>
md il le faut. Mais elll Cr'<
;ellectuelle, et ce nv.,Cst!
>ar la grandeur des air'
ire. Elle sait que
soin de repos; elle sa"%
par des éclats de beaut?,'
le, disent les Italiens - J
is de sa diction mer'veil
au, la moindre lïexion '
Ire frémissement de sesifc
i terribles effets qUe uj
les hoquets, les rires «J
ités de sa mélodrame

pendant de préférer \'m
s, nous les avons. Le nk |
ement éclectique. H s-a
bel, maigre l'ennui qUj *
jien l'avouer d'un tel C|ï
n de Phèdre. Il s'acconij
l'il s'impatiente parfois detl
a faux air de dona LucreJ

igique de l'Odéon, il csl_C(|
arque,—tout aussi satisfais,
jais. Rodogime, sons ce 2
s l'emporter sur Phèdre. j|,
de l'eau, rien de très pai%
issi n'y avons nous vu rien i
avantage? M, Bouchct 4
iurraient aussi se borner Mil
-qui connaît M. Achille? -n;
conds rôles de la rue de|
ut au moins Mlle Garigue 1

donnons sommairement 1,
rit, par leur nouveauté mat
de précautions; mais que 4
1 Dominos vcrls ?
le sont beaucoup. Us le sont
3 raisins de la Fable. C'est lil

médiocrement goûter de M
uleur de l'espérance ; %
uoi nous expose le choix k

loureux d'une marquise. Ctf
t la femme du marquis. Coi
:mme dont on est le mariîl
marquis s'y prend assez nul,
, il écrit billet doux sur H
3ndu) ; non-seulement il li
juet ; mais il envoie aussi i
meraudes, également anoi;
noins agréable pour lui, I
assez peu, c'est que la 1111
1rs comme les billets, les i
:s. Une lorette contemponi
icnt.

élément un sot ; il est un
e beau plan d'intrigue mat
île, amoureux, jusque là fe
lise. Que fait le comte ? il*
t anonyme. Il prend à son t
bouquets embaumés, tout»
t aux diamans. Quant au m
stient de toute réclamation
voulant être aimé, de p»
•ossible. Quel roué mari!
énoue au bal masqué de
e le premier, en domino «
irait ensuite, avec unn»
La marquise, embarrassée
iteurs si parfaitement.par*

lécisive. Elle reconnaîtra I Chez Pnuiier Eto.R.fo Croissant 16 1

,s celui des deux dominosf hnp.a-AuWt &. c*

glissés l'avant-veille sur »
pas embarrassé de retroW
tteur. Le comte, enrevanc
la difficulté. Une idée suif
que le marquis écrit ses J
w£, pourquoi le comte n
îPaule?Par malheur, la
droir cet ingénieux niant,-

[La swte à la 4e j*ï«-)

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