Le charivari (12.1843)

ixeroitee du menuet, eu
; caduques du ïépfyil

i deVestris III, obli
iu sujet d'un maïia?e |

et ennuyeuse, n'offre àlw
, aucun motif nouveau fa
On a déjà Vu Bouffé, £
luis-clos une leçon de(k
i, et dans les ftott* M
i est beaucoup plus yft(

ffé et celui de Mlle $L
i Menuet de la Reine, !

»àlàls-ttoyi»l.

i( d'un Parapluie, vauilcfjj
Duvert etLauzanne.
issèdent un parapluie;^
mobilier, leur seul iuitaù
î ne sèment pas moinsa
leur existence : ils occu J
•me au-dessus du second,,']
: local quasi-céleslc.
nèche a perdu le parad
)urquoi l'a-t-il perdu'! CV
.eS5C pour Olympe, Si'fe,
ompagnic d'une déhardi*
a chipé son riflard.
aècbCi peu satisfaite desii
ari, reçoit tous les soitsfj

vis ^s\at^s \)t ?kà\s

es fréquentes sorties, eisu
sa femme qu'il a été»
)ain. Mais Anatole priivi,
sieur Taillepain est décédi'
scène, reproches, votif»

i cabinet, dont il sort h».

une canne inconnue, m
î'tie canne est celle d'ijj

nie profonde du magilol's.
mir son épouse afin iM|
tions, la dame Flamme*
: dans son sommeil.
:voir do magnétiser sa fc
n plan, se prèle à la pi»
inliir et commence à dric-
jsagréables à l'oreille dm

niais elle est tellement pos-
ire de la canne et lai
rue l'infortuné Flammée!»
■aite dans un cabinet.

Mme Flammèche apprend
evait aller le soir même au
eùse de la rue du Temple,
re ; c'est pourquoi elle»
i et le costume qu'elle k
:1 elle redoit dix francs,
;ostumc qui lui lomk è
l avec M. Anatole.

Sa femme le prend fw
jur la débardeusc, ils to-
utes les portes. L"8lM
nt chercher Mine Flan»
débardeuse, qui dcmauile
iqùèht et se reconnaissent,
nble au bal.
lénil font assaut de g*
i.

te de Déranger M. BériH
il une chanson gracie»*
le goût et d'expression dt

LON.

le visite n'était qu'un sim-
atifié plus tard. Native*
tème n*a jamais été qu'n»1

âw que ce prétend» fi»
Inutile d'ajouter qu'il B|
suite à la 4e page.)

- « Adieu I Adieu !.... i la C-rlce le Dieu .... Mien . . . Ali eu 1.. . etc ,»

- S acrmsti 1... est- ce que vous mis mocfuez du monde 9 ... : y' la deux heures que tous me criez
nîais ficliei-moi donc le camp une Donne foi pour toutes !.... s acrmsti.