Le charivari (12.1843)

;e qui suit :

mois et an, il est i
la banlieue d'utiliser J
-s imprimés qui pou^J
ir les objets avec le8,Mi
nlerdiction :
tuiJotiwée de M. 3u\es j
-sévèrement défendu^
?ante-six ans;

i de M. le baron Pa^

deux volumes qui ,ion|1(;
les les plus robuste cUk.

eM. Empis, bien connus
liques très pernicieux au

ichicouJugucmdeirds de \\

elphine de Launay-Girat.
de madame sa mère;
mentaires du maréchal

îillc bien suivre nos hum-
i vanter d'avoir rendu un
,trés. Je ne lui donne \vas
le la population parisien-
in de toutes les nouvelles
lui votera une statue é-
;oin de vous le dire, a»

fi

yninase.

^ en 2 actes, par M. de

imet une grande impru-
pour peu que cette fille

t de pendule se repenti- t
mains en sigac dt m

père horloger qui mau-
îx deviennent trèsjonjs
irbe suit la mêmc'pro-
t si par hasard ce père a
blanchira beaucoup plus
cinq.

ssinconvéniens del'lior-
est de bien plus remar-
, des montres de Genève,
Suisse.

1 de Genève, comme cc-
iche. L'horloger règlesa
^s mouvemens physiques
c soin, il met un balan-
par ses calculs les roua-

pelée Marianne, et qu'il
> pendules de cet indus-
ur s'enfermer dans une
coucous qui lui tombe-

loger, le Breguetdela
ïn homme dont les mon-
jalousie, et qui de plus

tour se retirer à Morcl,
ise jaune et d'autres a-
re parler de sept heu-
action de la journée, et
ont l'aiguille menace de
la tourner ou plutôt de

paysanne, lui prodigue
que Mathias, amoureux
i fardeau de l'horloger;
homme très bien, con-
mtre afin de le disWj-
î du Genevois, dont le

and a maudit sa m
is venue souper à sept

- Si mis saviez comme vous êtes jolie! faites semblant de jouer.-Taisez-vous do.-Vous ne
m'aimez pas si.-Et je serai toujours! la mi .

ite à la 4e page.)