vis mvmk.s n vi?)
mais le fond r
et quand mé»
la contrefaçon
toujours rt»
le gouvernemo
stance de volo«
eules faire Mgr
ions duconl "
tion pleine et"
sérieusement. .
as niortelleme"
açon s'attaque a
<, la 4° P«SC''
,RB*4lîBj
r6Un'îs P««rpi,
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m^ <%>e'e|
intéressait »
P°ur que >
lu!cvés par S1
«m 5
mon ctlevœ '
renouvelle^" «
n,om Je d :
sa'l'entpou *V
même but
»us ayons deraa,,
3arrieres,sulJ
s .entraves, «
des"'ons la libre
» souliaitons |«
échanges.
> nous avons en
'ne coupable in.
marchés euro.
îux, et la trans-
•Jpnt la concur-
Uie par les écri-
rs.
ont entraîné à |,
calculs ; mais si
devons ni ne vou-
epoussé dans son
> nous insistons
gociations soient
la propriété lit.
mple, mûrement
que ne peuvent
ie internationale
i lutte contre un
ener à transiger
eux et coupable
îc spoliation et
respectable, De
partielle? uni-
l'appelant à de-
l'inviter les con-
nous, au lieu de
te serait-ce pas
je maintiens 11
ne rançon assez,
abstenait devant
litre sens, ne se-
protéger mesna-
d'une solution,
une position es-
intérêts français
ère, cette Union
nefices, en ce sens
produits qu'ils ex-
devant certains
aurait pour nous
tout simplement
cesser, en le ré-
uinc par la frau-
plaintes que nous
nous avons déjà
ont, après 185»,
lors de rétablis-
façon,—-lors (l«
; toujours fl CUPm»«Eta«TU,1Cxo»««ni,i6. ____»•____~ W a'AuWt CY.
tê nôtre est lèse; LES REMEDES DE BONNES FEMMES.
nous nous 1* *j • -i , r n , ■ , ■ • i
résigne dansb - " men parlez pas, ra ame Irercritlot, jeltsais pas c qu a mon mari.... depuis a ce matin, y s'tortille
spoliation^etjc m pS m moms qYJ. avait avale une bouteille de chien cl'commissaire.. .pourtant j'y ai faitboire une pir
doïïnepeS*» te ic ™ "blanc ousque rivais fait iefuscr une muscade, du poivre d'Espagne.. .une pincée d'rhuùarbe et une poi
cela notre cause:
°nee Iwamc k moutarde. . .c'est souverain pour la colique1-C'est vrai m'ame Chaffaron, mais aurait fallu y ajou-
terun filet d'huile et cinq gousses d'ail .faites y en prendre encore,une pinte comme cà c' te nuit et vous pouvez
tetre sûre que à'mam matin c'pauvre cher homme ne s'plaindra plus1..
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tetre sûre que à'mam matin c'pauvre cher homme ne s'plaindra plus1..
Werk/Gegenstand/Objekt
Titel
Titel/Objekt
Les Malades et les médecins
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
Le charivari
Sachbegriff/Objekttyp
Inschrift/Wasserzeichen
Aufbewahrung/Standort
Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Inv. Nr./Signatur
R 1609 Folio RES
Objektbeschreibung
Objektbeschreibung
Bildunterschrift: Les remèdes de bonnes femmes - N'men parlez pas, m'ame Gerenflot, je'n'sais pas c'qu'a mon mari... depuis ce matin, y s'tortille ni plus ni moins q's'il avait avalé une bouteille de chien d'commissaire... pourtant j'y ai fait boire une pinte de vin blanc ousque j'avais fait défuser une muscade, du poivre d'Espagne... une pincée d'rhubarbe et une poignée d'graine de moutarde... c'est souverain pour la colique! - C'est vrai m'ame Chaffaron, mais aurait fallu y ajouter un filet d'huile et cinq gousses d'ail... faites y prendre encore une pinte comme çà c'te nuit et vous pouvez t'être sûre que d'main matin c'pauvre cher homme ne s'plaindra plus!
Maß-/Formatangaben
Auflage/Druckzustand
Werktitel/Werkverzeichnis
Herstellung/Entstehung
Künstler/Urheber/Hersteller (GND)
Entstehungsdatum
um 1843
Entstehungsdatum (normiert)
1838 - 1848
Entstehungsort (GND)
Auftrag
Publikation
Fund/Ausgrabung
Provenienz
Restaurierung
Sammlung Eingang
Ausstellung
Bearbeitung/Umgestaltung
Thema/Bildinhalt
Thema/Bildinhalt (GND)
Literaturangabe
Rechte am Objekt
Aufnahmen/Reproduktionen
Künstler/Urheber (GND)
Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
Public Domain Mark 1.0
Creditline
Le charivari, 12.1843, Avril (No. 91-120), S. 413
Beziehungen
Erschließung
Lizenz
CC0 1.0 Public Domain Dedication
Rechteinhaber
Universitätsbibliothek Heidelberg