Le charivari (12.1843)

I

ar surintendante je ne. .
.classe des marquises
Parles II aspire à conv0in
mdres, habite une jento
solutions. Son oncle,low
déplantes rares, au Ml!
jouissent d'une vaste tt.

ilord sous prétexte tfhop.
; Jeanne, et en devient a.
bilieux qui se plaint ^
son égard.

feint de reconnaître son
r.s de séduction sous uto
îme lord Biborougli grain)
res avec sa nièce cl lcttI
on palais.

;sée intrigue à droite n \
'olage monarque. Elle cm.
e les entrevues du roui
porte, sort par une autre
! moins, et prend ses cos-
piquer l'amour qui meurt

t ne trouve en elle qu'une
ui ne redoute même pas
jet.

>as inaccessible à l'amour;
; aime : depuis longtemps
officier des gardes,
îclination mutuelle et s'en
;he les amans, obtient k
émission de mariage pour
s; et,d'accordavcclepar-
d'épouser une princesse
;c de son royal amant à

singulièrement abusé ès
tresses ont été combinés
«s. Cette nouvelle édition
lie que les autres, et h
uc de couleur, dépiquant

ement exécutée, et puis
jurnir à Mlle Rose Chéri
s simples et naïfs qu'elle
rmans. ,
aussi fort distingues dans

privé, qui semblait avoir S
' nos ministres. On aura
ns ce projet quelque chô-
ment un code pénal très !
!S voitures publiques. Elle
iceur pour ceux qui rac-
ée raison, qu'on prescri-
ducteurs dont le charge-
miné par la loi. MM. les
trer aussi rigoureux eu-
ssent si fort sur nous.

ient de se donner un ffii-
lu cabinet-Guizot. H sc-
pel est le plus contrefait

' au ministère des finan
Mercier, le cabinet bel

itraite un membre de la
1er son siège au député
icfini par devenir le coq

ùile à la Ie P«3C-)

lis âCïâicis,

S jOUrS de SOie. CW Bailler R lu Croissant. 16 .

étendent que M. Mercier

i^sw^î«S*j Madame Charmant,vous avez dit votre scène du pavillon comme un ange, cest partait

ne montez pas 1 escalier si vite : tant laisser a sir Arthur le temps de se tuer.

mais