Le charivari (12.1843)

le Mme Damoreau.-D,;,,,,,
iedeMme Nathan-Trci£
ossible de rendre une rcnr,
ite; Mme Damoreau vieni '
a métamorphosé la scène l
ns que l'attention se soit l
Le chant, la danse, la pani,.
! sont succédé vivement, n.
lie du spectateur émenëillj'
1 voulu consentira perdrea
:nt et qui se contente dW
qu'on lui connaît, le dcses-
a prima donna de l'imbu*
ui chante ou plutôt qui joue lt
N'est-ce pasCarloUaGrisiq,
Prêtez maintenant ro'reillfc
de la Pâque dans la Juin
ferait bien mieux de s'enten

re contente de cette soiti,
lie, ses acteurs, ses décor-
la moitié de la dette del'Oi
se montrer reconnaissante

!S premiers débuts de Mlle 11
. faut réparer •. Mlle nota
Charles VI avec une grâce, t
'ont le plus grand honneur,
lie sera une des plus brillai,
aune, modeste, elle aime*
npter sur l'avenir.
>us a rendu dimanche dert
ccès de Charles VI avait t.
ps au repos. Le lendemain,
ué Frcschulz. Nous coilcefi
an-Treillet vient d'obtenir
îrue en triomphatrice. Letl
î jeune talent se raffermis-
t produisent plus d'impies-

itcnant de Vienne que M l
1 opéra. Berlin continue I
; consolera de Meyerbeer.

»riage Cobourg, le château r
roupes d'infanterie et de n;
fait à huis-clos, on ne p
s tambours ni trompettes,
nces de la noce ont eonsi.*
e. En fait de violons, il n'yij
s de garde.

nouveau mari a offert à sa !
(ru,. rtii ne dit pas si celte ri
eau.

ACTHICKS,

Par Ca.va.vn

liiez Ba.u°'er.'B dn Croissant,!6 ■ Imn tl Antcrili. V-

éputés a voté hier pour f
tes centriers auront vu da»> — Un Tole charmant.

autant\de ponts pour ar* _ [[noi ?

\ — Un tambour,

ion a été pré-senté à la <** .— Encore ? mais, auteur cle mes maux vous ne pouvez donc rien Faire sans tambours m trompettes ?
blique. 0» s^ait bien ^
!nt tas de doublet*

ie a prononce a.»
Marquises. On
stère allait s'écrier bf>j
vos beaux lieux me i

{La suite à la i'f^