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Le charivari — 12.1843

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Mai (No. 121-151)
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https://doi.org/10.11588/diglit.17364#0488
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m.

s d'une voix dlstincle ci %
i de dignité, une aisance »u
îs transports des convives l
3 respect dont ils étaient jt\
trince de leurs acclau
ritable.

--«mis,

le, tous sans exception ,1,
une joie profonde. Jt.s's" p
Mque troMwrait en pr
; de nous un député con8!'
de Virpic, et disait
(lissait îio?t moins dinne **
ont la pensée se reportait îî
léans, s'écriaii que lc pr3
tique des cérémonies poiiu
t. »

sports, ces acclamations, %
ases, cet enthousiasme j™
;la à propos de celle plni
de fer d'Orléans \ »
des Débats l'affirme, il tail,
et même sublime, niais lt
>n serais douté ! et vous!

ïNOMIE.

ranec ; on ne mange plus!ns
aes de cuisine qui savaient
sont morts ces grands ton-
en le déguster. Nosgouv«-
eurs amis à vingt-deux sous
res enlevaient a la pointe de

rlement. Maintenant
urcauxde tabac, oj

slaurateùrs de la restau,,.
Jeja vous n'étiez que iesin
yrand, de Cambacerès, «ni
e Robert, de Boinvilliersp
empire défendaient et nM
mangeantes. Alors la taM6
elalwns sociales. A préw
îalle sans luxe, sans délica-
slronomie de mons Camille
et le thé britannique de M,
coup.

hez quelques Mondors on
ais ces beaux établissemcns
Jres, qui jetèrent un si vil
les a remplacés? Hélas!...
-ne a été inventée pour les
ognés des avocats sans eau-
ention.

dien fidèle des belles tradi-
bruits sinistres avaient été
îtures; heureusement ils c-
neau, cette cuisine incom-
à la haute satisfaction des

lire Cancalum, ce qui veut
t pas dîner chez Borel; des
ngués, buveurs recomman-
érité et réuni millions si»
'aris par une voie de fer;
s et des gelées de pomme,
tout simplement voulu met-
quatre heures du café de
mes.

; a été fondé par un cuisi-
au palais du roi Mural. En
îaise fut accréditée auprès
enait demander au grand
Le café de France allait se
iy, son élève chéri, en le
Vi j'en eusse connu un plus
» Ces mots dans une telle
: noblesse.

feu des affaires; mais il a
. Mériotte, homme de goût,
i l'établissement. Mériotte
Fay, mais il n'avait pas la
iine n'étant plus à créer;

le de la banlieue de Paris.
iîs exquis, ses mets succu-
pas un mythe, une chim^
Nous avons dîné aujour-
;u veuille que nous n'ayons

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Bildbeschreibung

Werk/Gegenstand/Objekt

Titel

Titel/Objekt
Les Canotiers parisiens
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
Le charivari
Sachbegriff/Objekttyp
Grafik

Inschrift/Wasserzeichen

Aufbewahrung/Standort

Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Universitätsbibliothek Heidelberg
Inv. Nr./Signatur
R 1609 Folio RES

Objektbeschreibung

Objektbeschreibung
Bildunterschrift: Une Navigation difficile - Le canot n'avance pas!... tirez donc M. Dumouchel... que diable vous ne tirez pas!. - Mais je ne fais que cela depuis 3 heures... et on [appelle ça une partie de plaisir!... j'aime mieux vendre mes pruneaux rue de la Verrerie... c'est moins fatiguant.]

Maß-/Formatangaben

Auflage/Druckzustand

Werktitel/Werkverzeichnis

Herstellung/Entstehung

Entstehungsdatum
um 1843
Entstehungsdatum (normiert)
1838 - 1848
Entstehungsort (GND)
Paris

Auftrag

Publikation

Fund/Ausgrabung

Provenienz

Restaurierung

Sammlung Eingang

Ausstellung

Bearbeitung/Umgestaltung

Thema/Bildinhalt

Thema/Bildinhalt (GND)
Karikatur
Satirische Zeitschrift
Ruderer
Paris
Fluss
Leinpfad
Ufer

Literaturangabe

Rechte am Objekt

Aufnahmen/Reproduktionen

Künstler/Urheber (GND)
Universitätsbibliothek Heidelberg
Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
In Copyright (InC) / Urheberrechtsschutz
Creditline
Le charivari, 12.1843, Mai (No. 121-151), S. 485

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Erschließung

Lizenz
CC0 1.0 Public Domain Dedication
Rechteinhaber
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