Le charivari (12.1843)

lulion libérale, cl c'est
esl celle que donne Paul i
iuventdirc aux procut^'
sir, j ou qui sonl les serti/11
faut les éviter, fuir l0(ll(,
nêlé, et leur céder nou-« \
As tout le pavés'ilse^'l
les gens fort sages, ne J
raisons, exempts de ^1
mais ils ne sont pas d<$siyi
i mot avec paraphe, k Ç,J
des-moi le service, éUÛ
courir, huissiers de gtift%|
rd vous y serez, dites à U ,1,1
us paierez en amende
aires d'un procureur du«i \
re quelques mois en prison,!
Hre aise sur la liberté y

vment des choses doiv<
5 cinquante centimes emutt^
On voit que, de notre ci*

rire la chambre en
de rien, s On
ais-Bourbonun certaine»
rès la même chose.

•c la liberté de la chasse de t
Il a peut-être ses raisoespj
e.

«mé rapporteur du projet i
s. Le système de bâtisse aM
er mieux qu'un rapportent

que les travaux d'embas
•d par épuiser les carrière |
e nos libertés ne se trouai
eur carrière.

compagnie de fraudeurs»!
•en fraude des fils et destiij
agit de nous faire tort, le

uence de M. Thierslacr(|
,iers de la ville d'Aix. Ce
que le petit homme aurai

JS POLITIQUES.

(23 mai.)

font le plus, vite-
dit M. Fulchiron, pag i
ans écrire près de w

à

M. Pauwels:^
voir leur maître e»»

SCENES PARLEMENTAIRES.

utez Èamùerldit Hilu Croissant,16.

hviji Robert &. Comp

-Ah ! voici que le Moniteur donne en entier le discours de mon mari../je vais vous lire cela, .il n'a cp trente

1 ' - J_ . ____'_ 1.....J.. 4,1. X Tin-, 4-ïvn cit Àa 1 m-»m m I fril

davjner^*3| feux colonnes... après ça nous prendrons du tiré. -Bu tiré et de l'opium'... quelle soirée chinoise