approuvées par l'ÂcadÏmie;
P O N T
1727.
N°.2c>8.
*99'
S U R B A T EAUX)
I N V E N T É
PAR M. DUBOIS.
CHaque partie comme A, B, C, D, qui compo-
se le pont, ôc que nous appellerons travèe, est sup-
portée par trois bateaux platsE , F , G. Un bâtis HIL
M qui tient lieu de pile, & qui s’éleve verticalement
dans chaque bateau, sert à cet usage. Voye^ le ba-
teau. E.
La longueur de ces bateaux détermine la largeur du
pont, qui cependant doit être telle que la cavalerie ôt îe
chariot y puissent passer.
Le pont se conhruit d’un nombre de travées propor-
tionné à la lcugcux de la riviere que l’on veut paîseri ces
travées se joignent ensemble romme nn le dira dans un
moment. L’extrêmité A B de la premiere travée est armé
d’une espece de fermeture de camp , à peu près sem-
blable à celles qui se trouvent décrites dans le Chevalier
deVille & Errard^ ôt se hausfe & bailse de la même ma-
niere, afin d’en empêcher lepassage; pour cet effet on
emploie un ou deux hommes dans le premier bateau E,
dans lequel on établit un treuil P Q, au moyen duquel on
fermeôt l’on ouvre l’entrée du pont; cequi se fait de cette
maniere.
Au milleu du treuil P Q est fixé un bras R S ; à l’ex- Planchp
trêmité S tient une seconde piece S T, qui assemble les 11,
deux bras RS, TV; ce dernier est fixé au milieud’un
P O N T
1727.
N°.2c>8.
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S U R B A T EAUX)
I N V E N T É
PAR M. DUBOIS.
CHaque partie comme A, B, C, D, qui compo-
se le pont, ôc que nous appellerons travèe, est sup-
portée par trois bateaux platsE , F , G. Un bâtis HIL
M qui tient lieu de pile, & qui s’éleve verticalement
dans chaque bateau, sert à cet usage. Voye^ le ba-
teau. E.
La longueur de ces bateaux détermine la largeur du
pont, qui cependant doit être telle que la cavalerie ôt îe
chariot y puissent passer.
Le pont se conhruit d’un nombre de travées propor-
tionné à la lcugcux de la riviere que l’on veut paîseri ces
travées se joignent ensemble romme nn le dira dans un
moment. L’extrêmité A B de la premiere travée est armé
d’une espece de fermeture de camp , à peu près sem-
blable à celles qui se trouvent décrites dans le Chevalier
deVille & Errard^ ôt se hausfe & bailse de la même ma-
niere, afin d’en empêcher lepassage; pour cet effet on
emploie un ou deux hommes dans le premier bateau E,
dans lequel on établit un treuil P Q, au moyen duquel on
fermeôt l’on ouvre l’entrée du pont; cequi se fait de cette
maniere.
Au milleu du treuil P Q est fixé un bras R S ; à l’ex- Planchp
trêmité S tient une seconde piece S T, qui assemble les 11,
deux bras RS, TV; ce dernier est fixé au milieud’un