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Bianconi, Giovanni Lodovico; Fèa, Carlo [Hrsg.]
Descrizione dei Circhi particolarmente di quello di Caracalla e dei Giucchi in essi celebrati: opera postuma ordinata e publicata — Roma, 1789

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https://doi.org/10.11588/diglit.74891#0187

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ma. Fuori di Roma non v'erano che po-
chi Circhi, e questi anche incerti ; giacche
il nome di Circo davasi talvolta ad altri edi-
fizj publici .
PARTE SECONDA.

Cap. I. De' cavalli, de quali facevasi uso nelle
corse, e con quanta diligenza si sceglies-
sero, e custodissero. Delle greggie , o sie-
no stalle, e loro uffiziali.

II. Delle carrette , che si adopravano nelle cor-
se, e dei finimenti de' cavalli, e loro or-
nati.
III. Degli aurighi, che le guidavano , delle loro
scuole, dell' abito, che avevano nella cor-
sa ; dei colori delle quattro fazioni, nelle
quali erano divise ; della loro condizione ,
e ricchezza; dei cavalli da sella, çhe gli
accompagnavano nel corso.
IV. Della massima loro destrezza, e dei perico-
li, che artificiosamente essi preparavansi per
farsi più onore nello scansarli.
V. Nei giuochi grandi erano 2j. le corse, che
chiamavansi mandate; ed ognuna di queste
era composta di 4. carrette, le quali face-
vano sette giri intorno alla spina.
VI. Del segno, che dovasi per la corsa, e dei
giudici , che decidevano dei vincitori . Quai
premj si dessero a questi. Dal popolo di-
pendeva il fare riçominciare la corsa, se a
lui pareva, che la prima mossa non fosse
andata con giustezza .
VII. Delle scommesse, che si facevano fra gli
spettatori .
VIII. Qual tempo impiegavasi nella corsa di cia-
scheduna mandata, ed in conseguenza quan-
to tempo doveva durare un giuoco intiero.

à Rome. Hors de Rome il rìy avait que
peu de Cirques, de quoi on doute même beau-
coup , par la raison qu'on donnait quelquefois
le nom de Cirque à d'autres édifices publics .
PARTIE SECONDE.

Chap. I. Des chevaux dont on se servait dans
les courses , et avec quel soin on les choisis-
sait et on les veillait . Des troupeaux de che-
vaux ou écuries , avec leurs officiers .
II. Des chars dont on se servait dans les cour-
ses , et des harnais des chevaux avec leurs
ornemens.
III. Des auriges qui les conduisaient, de leurs
écoles , de l'habit qu'ils avaient à la course ,
des couleurs des quatre factions en quoi elles
étaient divisées ; de leur condition et richesse ;
des chevaux de selle qui les accompagnaient
à la course.
IE. De leur grande adresse et des dangers qu'ils
se préparaient artisicieusement pour se faire
plus d'honneur en les évitant.

H. Dans les grands jeux les courses étaient au
nombre de vingt cinq que l'on appellait re-
prises , dont chacune était composée de quatre
chars qui faisaient sept tours autour de l'épine.
El. Du signal qu'on donnait pour la course , et
des juges qui déclaraient les vainqueurs .
Quels étaient les prix qu'on donnait à ceux-
ci^ Il dépendait du peuple de faire recom-
mencer la course, s'il lui paraissait que le
premier départ ne fut pas fait avec justesse .

Eli. Des paris que les spectateurs faisaient entr
eux .
EII1. Le tems que chaque reprise exigeait dans
la course, et conséquemment combien devait
durer un jeu entier.
 
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