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https://doi.org/10.11588/diglit.74891#0102
EXAMEN PARTICULIER DE LÀ COURSE SUI
NANE LÀ DISPOSITION DES CARCERES
DANS LE CIRQUE DE CARACALLA.
ESAME PARTICOLARE DELLA CORSA SECONDO
LA DISPOSIZIONE DELLE CARCERI
NEL CIRCO DI CARACALLA.
les dou^e carceres du Cirque de Caracalla ,
j'ai découvert par la mesure actuelle, quelle for-
me un arc de cercle dont le centre est vers le mi-
lieu de l'aire droite au point c, et dont le ræ-
(a) Horace, loc. cit.
• (b) Surtout dans celle de Dioclès .
(a) Orazio loc. cit.
(b) In quella di Diocle specialmente;
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tanto caso delle corse circensi , che come si
chiamavano nobili i cavalli, che vi si adopra-
vano, nobile pure si chiamava la palma del vin-
citore (a).
Non per questo però restava senza ricom-
pensa l'auriga secondo, e il terzo. Eincere si
dicea del primo , ferre secundas, ferre tertias,
un agitatore , o per un cavallo l'avere vinto
molte volte; e la gloria cresceva a misura, che
erano in minor numero le seconde , ed assai
meno le terze. Infatti nelle iscrizioni di que-
sto genere vedesi sempre questa grande spro-
porzione fé). Il quarto auriga non avea che
la vergogna d'essere stato l'ultimo, e di avere
costato molte scommesse a suoi ingannati fau-
tori ; lo che non gli avrà certamente attirati
grandi applausi . Dalla più volte ricordata iscri-
zione di Diocle si vede, che si tenevano gli
atti degli agitatori , o siano i registri delle lo-
ro vittorie.
Finite le corse de' carri, gli agitatori scende-
vano nell' arena , e correvano a piedi a gara.
Dopo la corsa venivano gli atleti , e i lottato-
ri, i quali facevano aneli essi i loro esercizj , e
con ciò finivasi la giornata . Questi differenti
esercizj erano interrotti dai publici elogi, che
recitavansi in lode dei vincitori, e dalle distri-
buzioni, che ad essi faceansi delle corone • Ecco ,
a mio credere , quanto basta per dare uri idea del
ESaminando la curva , in cui sono disposte
le dodici carceri del Circo di Caracalla, ho
scoperto , mercè l'attuale misura, essere la mede-
sima un arco di circolo , il cui centro giace ver-
so il mezzo dell' area destra nel punto c; essen-
Les anciens faisaient tant de cas des courses cir^
censes que , comme ils appelaient nobles les che^
vaux qu'on y employait , ils appellaient noble aus-
si la palme du vainqueur (a) .
Le second et le troisième auriges ne restaient
cependant pas sans récompense . On appellait vin-
cere celle du premier , et ferre secundas , ferre
tertias, celles des deux autres. C'était donc une
grande gloire , pour un agitateur ou pour un che-
val , d'avoir vaincu plusieurs fois, et la gloire au-
gmentait en raison du plus petit nombre des se-
condes, mais beaucoup moins en raison de celui
des troisièmes . En effet dans les inscriptions de
ce genre , on voit toujours cette grande dispropor-
tion (b). Le quatrième aurige n'avait que la honte
d'avoir été le dernier et d'avoir fait perdre beaucoup
de paris à ses fauteurs trompés, ce qui ne lui attirait
certainement pas de grands applaudissemons . On
voit par l'inscription de Dioclès, dont nous avons
plus d une fois fait mention , qu'on tenait les actes
des agitateurs, ou les regitres de leurs victoires .
Les courses des chars étant finies , les agita-
teurs descendaient sur l'arène ou ils couraient à
pied à l’envi. Après la course venaient les athlè-
tes et les lutteurs qui finissaient la journée par
leurs exercices qu'on interrompait par les élo-
ges et les louanges des vainqueurs , et par les dis-
tributions des couronnes qu'on leur donnait .
Je crois que c'en est asse^ pour donner une
idée des réglémens et des loix des jeux circen-
ses .