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https://doi.org/10.11588/diglit.4273#0218
CHAPITRE VIL 205
des autres par le contenu ; et à Khorsabad en particulier, beaucoup d'inscriptions se rap-
portant à des faits historiques, ou ne peut supposer quelles contiennent toujours les
mêmes formules, toujours les mêmes mots. Or si Ion fait abstraction des variantes de
formes, le nombre des groupes paraîtra évidemment trop restreint pour représenter tous
les mots d une langue que l'on peut s'attendre à trouver dans des textes très-variés et très-
étendus. Sous ce rapport il n'y a pas de comparaison possible à faire entre l'écriture de
Nmive et l'écriture chinoise: la dernière représente des mots; la première n'a pu repré-
senter que des sons, soit des lettres, soit des syllabes.
des autres par le contenu ; et à Khorsabad en particulier, beaucoup d'inscriptions se rap-
portant à des faits historiques, ou ne peut supposer quelles contiennent toujours les
mêmes formules, toujours les mêmes mots. Or si Ion fait abstraction des variantes de
formes, le nombre des groupes paraîtra évidemment trop restreint pour représenter tous
les mots d une langue que l'on peut s'attendre à trouver dans des textes très-variés et très-
étendus. Sous ce rapport il n'y a pas de comparaison possible à faire entre l'écriture de
Nmive et l'écriture chinoise: la dernière représente des mots; la première n'a pu repré-
senter que des sons, soit des lettres, soit des syllabes.