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N° 116. Guérin. Bonaparte fait grâce aux révoltés
du Caire (23 octobre 1798). Salon de 1808. (Au Musée
de Versailles, Catalogue Soulié, n° 1498.)
N° 178. Meynier. Le maréchal Ney remet aux sol-
dats du 76* de ligne leurs drapeaux retrouvés dans
l’arsenal d'Inspruck (7 novembre i8o5). Salon de 1808.
(Au Musée de Versailles, Catalogue Soulié, n° 1547.
Voir ci-dessus, p. 43.)
N° 261. Carie Vernet. Bataille de Marengo. L'es-
quisse au Salon de 1804. (Au Musée de Versailles,
Catalogue Soulié, n° 1568.) Cette vaste toile (haut. :
4m65 sur 9m55) est malheureusement roulée depuis les
transformations matérielles subies par la salle n° 80,
où elle était exposée, lors de l’appropriation de la
salle à des bureaux de l’Assemblée nationale.
N° 334. J.-B. Régnault. Mort du général Desaix
(14 juin 1800). (Au Musée de Versailles, Catalogue
Soulié, n° 1569.)
Parmi les autres rares peintures anciennes rassem-
blées au Luxembourg, l’on ne peut guère citer que
les deux portraits célèbres de Mr et Madame Pécoul1
par David, prêtés par M. Dequevauviller (le graveur
F.-G. Dequevauviller, très probablement), à qui l’on
devait les acquérir, en 1844, pour le Musée du Louvre,
au prix de 600 francs.
Les artistes vivants sont assez obscurs pour la plu-
part. Plusieurs exposent des épisodes des « Trois
glorieuses » qui auraient probablement aujourd’hui
quelque attrait. Signalons la présence d’une œuvre
magnifique d’Eugène Delacroix : « Un jeune tigre
jouant avec sa mère », qui apparaît pour la première
fois. Le maître renvoyait la toile bientôt au Salon de
1. Une belle réplique du portrait de Monsieur Pécoul, de
moindre hauteur, se trouve dans la collection de M. Ernest
May.
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N° 116. Guérin. Bonaparte fait grâce aux révoltés
du Caire (23 octobre 1798). Salon de 1808. (Au Musée
de Versailles, Catalogue Soulié, n° 1498.)
N° 178. Meynier. Le maréchal Ney remet aux sol-
dats du 76* de ligne leurs drapeaux retrouvés dans
l’arsenal d'Inspruck (7 novembre i8o5). Salon de 1808.
(Au Musée de Versailles, Catalogue Soulié, n° 1547.
Voir ci-dessus, p. 43.)
N° 261. Carie Vernet. Bataille de Marengo. L'es-
quisse au Salon de 1804. (Au Musée de Versailles,
Catalogue Soulié, n° 1568.) Cette vaste toile (haut. :
4m65 sur 9m55) est malheureusement roulée depuis les
transformations matérielles subies par la salle n° 80,
où elle était exposée, lors de l’appropriation de la
salle à des bureaux de l’Assemblée nationale.
N° 334. J.-B. Régnault. Mort du général Desaix
(14 juin 1800). (Au Musée de Versailles, Catalogue
Soulié, n° 1569.)
Parmi les autres rares peintures anciennes rassem-
blées au Luxembourg, l’on ne peut guère citer que
les deux portraits célèbres de Mr et Madame Pécoul1
par David, prêtés par M. Dequevauviller (le graveur
F.-G. Dequevauviller, très probablement), à qui l’on
devait les acquérir, en 1844, pour le Musée du Louvre,
au prix de 600 francs.
Les artistes vivants sont assez obscurs pour la plu-
part. Plusieurs exposent des épisodes des « Trois
glorieuses » qui auraient probablement aujourd’hui
quelque attrait. Signalons la présence d’une œuvre
magnifique d’Eugène Delacroix : « Un jeune tigre
jouant avec sa mère », qui apparaît pour la première
fois. Le maître renvoyait la toile bientôt au Salon de
1. Une belle réplique du portrait de Monsieur Pécoul, de
moindre hauteur, se trouve dans la collection de M. Ernest
May.
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