avec lequel le conseil général était en désaccord. Il pa-
raît que les conseillers nom pas été beaucoup plus coif-
fes de leur Bonnet.
BUIiliE'aiîV.
Aujourd'hui dimanche, l'Opéra-Comique annonce, un spec-
tacle dont le double attrait doit attirer bien du monde; il se
compose du Pré aux clercs, pour la rentrée de Mm0 Casimir,
et du Domino noir, par Mlle Lavoye.
.*„ Ce so>r l'Odéon donne un magnifique spectacle composé
de deux pièces en vogue, Lucrèce et Tôt ou Tard, et de
l'Hameçon de Phénice.
,', MM. Grisier ont recommencé leurs assauts d'armes qui
auront lieu tous les dimanches, à une heure, à leur salle, Fau-
bourg-Montmartre, 4, au coin du boulevard.
„*„ C'est surtout au moment où le terme d'octobre a occasion-
né le déplacement de beaucoup de mobiliers, que l'on doit s'a-
dresser à M. Darrac (rue Coquenard, 1; rue Cadet, TA et 21),
pour faire renouveler ses couchers, nettoyer et assainir les lai-
nes et les crins.
LOGOGRIPHE.
On trouve en mes six pieds un outil, un volume.
Mots de la dernière anagramme : rouet, route.
Les Magasins de la Ville de Paris offrent depuis quel-
ques jours un spectacle d'une magnificence inouïe. Tout
y surprend au plus haut degré l'imagination. Deux nou-
veaux petits salons d'une richesse considérable, l'un con-
sacré à la plus belle collection de châles des Indes qui
ait encore été réunie à Paris, et l'autre aux plus ravis-
santes fantaisies en soie de la fabrique de Lyon, donnent
liB CHARIVARI.
ces galeries le dernier complément de leurs spécialités
cl u«« i';ln£ à part parmi les grandes maisons de l'Europe.
L'association des cachemires de l'Inde imprime une nou-
velle importance aux ail-aires de celle maison,. Ses salons
ont d'ailleurs, en ce moment, tout leur éclat, et nous ne
pourrions que difficilement en éaumérer les richesses
les plus notables. Tout ici est inattendu, nouveau, res-
plendissant; tout est complet. Les spécialités utiles,
comme les toiles, les bonnes étoffes , n'excitent pas
moins l'admiration que la richesse des soieries et des
châles. Ce qui est encore très séduisant, c'est une nou-
velle iiiodération dans les prix; tous sont changés, très
réduits. C'est qu'ici la vente se sert d'une haute position
commerciale, non-seulement pour réveiller les désirs,
mais pour faciliter les achats. Rien n'établit mieux cette
modération des prix dans les salons des Magasins de la
Ville de Paris que ces heureux changemens dans des
spécialités où les gsos bénéfices étaient consacrés, tradi-
tionnels. Avec cette modération, une vie nouvelle est
promise aux objets du grand luxe qui depuis quelques
années se restreignaient de plus en plus. Nous avons
confiance dans ce calcul moral, honnête, et dont la puis-
sante vogue des Magasins de là Ville de Paris fait en ce
moment le succès.
Le'gérant, léopold pannier.
Extraitjdu catalogue de Léopold Pannier et comp., éditeurs,
rue du Croissant, n° 1G, a Paris.
lii&liographies de H. Vauniici*.
1" la journée du céliiîataire, 12 planches
quart jésus............................. Cf. » c.
2° scènes GROTESyuES, G planches,......... 3 »
3° vulgarités, 10 planches................,. 6 »
4° proverbes de famille, 2 planches...... . 1 »
S" exposition de l'industrie, 1 planche.____ » 50
6° fantaisies, 3 planches____:.............. 1 50
1" les cinq sens, 5 planches................ 2 50
8° coquetterie , 10 planches................ 5 »
9° actualités, 29 planches.................. 14 50
10" les parisiens, G planches................ 3 » assurance : Il n'y a plus de vieilles étoffes!'.!
LUNDI
\G OCTOB:
Pari».
15 fr.
30
lois........; ; 60
^•••"ë'n'tsdalentdesler
.uonnemepi» ..... vEiranim
11° les pratiques des marchands de pa-
ris, G planches..................
12° l'annonce et la réclame, 2 pVan'cheV ? "
13° les saltimbanques, 2 planches... "
14° mésaventures et désappointements i)È "
m. gogo, 5 planches............ « , ■
15° les douze mois, 3 planches.......
1G" proverbes et maximes, 12 planches...'. ' ■ 0* I rROlSSANT, 1
17» association en commandite pour l'ex- " 0< îBB „0Ur les Départ
ploitationde l'humanité, l planche. » «,„ ubfaires, les Direc
18° infirmités humaines, 1 planche.. ...... , 2 m es„tchez Delpech, à
19» silhouettes, 8 planches............ ' \ 50 €iesiïïà Toulouse; Mlle!
20» monomanes, 8 planches.............. \ " ^ù^wWy^etzjM*
21° caricatures diverses sur le salon et " &ur delà PO^bfrecleuM
l'industrie, 4 planches................ 2 ;rlaLondres; la
22° sentimens et passions, 4 planches.... •> P,rrf'i, Hâve, Arosterdarc
23» musiciens de paris, G planches........' % " k'XnHe- h alte, les Dir
24° la pèche ,7 planches................... î » Œe? Venise, Florenc
25» la comédie humaine, 4 planches.......'.. , °9 JJ^iiler, iib™TeJ "ardanc
de à Strasbourg; la frus.
. , ' rUelle;la Russie, ch<
Les deux nouvelles romances de M»« L. Pugel que la Fn ^ libraires à Saint-PéterstK
musicale vient de publier, ont un succès sans exemrin ?lèlir, i New-TTork. .
Dix mille exemplaires du Baiser de la promise et des la¥« 14"^m™^^
du Bengale ont été vendus en huit jours. Tous les amateur?
de chant voudront posséder ces deux belles compositions dont
les paroles sont de M. G. Lcmoine. Parmi les nouvelles 1
mances a grand succès nous devons signaler le Rendez-vous
et Laisse-moi t'aimer, de Théodore Labarre, le compositeur
populaire. Les amateurs trouveront au bureau central de mu
sique qui vient de s'ouvrir, 29, place de la Bourse, toutes les
nouveautés à la mode, telles que la Fantaisie de salon, de H
Herz, sur Don Pasquale; le quatuor varié pour piano,par E
Prudent, sur le même opéra ; des morceaux de H. Berti'ni, Ro-
sellen, Ed. Wolff, Lecarpentier, N. Louis, Czerny, F. Bur°-
muller, Thalberg, Hunten, en un mot, un assortiment de mu-
sique des plus complets.
—Les cours de piano de M. René Favarger ouvriront le mar-
di 17 octobre, chez M. Laisné, facteur de piano, boulevard des
Italiens, 7.
— grace a l'ingénieux procédé de m. portier,
teinturier-apprêteur, rue du Bouloi, 5, on peut dire en toute
m§ LYRES
ifliémoîVe de Gilbert, de
{iéfjésippe Moreau, d'j
Louis Berthaud, mo
Rien n'est beau, original et nouveau comme les primes considérables de musique qu
sont données dès aujourd'hui pour rien à tous ceux qui prendront avant le 3fi de ce mois
TOUTE HK A Ml H S'ABONNERA HH A Ml H nflllMI Al H »» «bonnement à la'FRANCE MUSICALE. Pour Paris, 24 fr.j pour la province, 29 fr. 50.
On retirera de suite contre sa quittance, qu'on recevra de suite contre un bon pris à là
posteà l'ordre desdirecteurs, toute la Musique quisuit,magnifiquementgravéectillustaic.
LA I II fl IV II II A LA
l° M LANTERNE IIAGIMIE,
SO "Valwes pour le grisant», floutes inédites.
l» La Dansante, par H. Herz; 2* l'Inconstante, par Th. Dœh-
ler; 3° l'Ondine, par E. Prudent; 4° l'Elégante, par E. Wolff;
5° la Française, par Rosellen ; 0e la Fugitive, par J. Herz ; 7° la
Charmante, par Burgmuller ; S" la Vénitienne, par Donizetti ;
9° le Bal, par Ad. Adam; 10° Une Fleur, par Lecouppey;
11° la Tremblante, par Louis ; 12° Ophelia, par Gide; 13° la
Brillante, par Lecarpentier,- 14° la Rose, par Tolbecque ; 15° la
Napolitaine, parBenedict; 10° le Printemps, par A. Thomas;
17° les Rayons par Ed. Wolf; 18° et 19° les Lys, par de Konts-
ky; 20° la Berceuse, par N. Louis.
2° LES SOUPIRS.
Allmiii de rSiscBig, Uni} înésHt,
\° J'attends toujours, par G. Donizelli ; 2° le Jaloux au
Bal," par Ad. Adam; 3° les Aveux, par Boieldicu ; 4° Mar-
guerite, par Duprez; 6° Ne fuis pas, par Thys; G° les Chai-
ses à porteur, par Clapisson ; 7° la Glaneuse, par Monpou ;
8° la Belle Isaure, par Moni fort ; 9° Mon Petit Ange, par
Barroilhet ; 10° Seize ans, par Niedermeyer ; 11° le Pri-
sonnier, par Aggutorio ; 12° le Lac d'Ensùien, par le prin-
ce de la Moskowa; 13° Jeune Lys, par Vogel; 14° les Hi-
rondelles, par Flottow ; 15° l'Adieu, par Barin.
$ -S I Chaque abonné recevra aussi le Journal pen-
dant un an et quarante Nouveautés Musicales.
De plus, il aura droit à deux places aux Concerts
donnés cet hiver, et dans lesquels on entendr
• ■S Se'? .«
5 « § 8 a |>0,
^3 'S a s= i=-
* ™ "m <? » ZS t-l 03
02 iî
LE MISERERE lD0œEffl,,Iitai,„le,àlavoiI
grande et magnifique partition inédite, avre "é,01aait trêves des gr£
chœurs et orchestre, que les: directeurs de la Frew ™ ver= sanglant, dont le t
ce Musicale ont seuls le droit de faire excrutfj Fouettait les dieux de la bol
en Franee. Les abonnés hors Parisrecevro.it <B fe dieux maudits par le dr
échange six Morceaux inédits. « ,„ .„ *al lc ul
;.. , , . ! ferment l'oreille à vos cris
oreunluth brisé sur la;
malheureux endormi pâl
l'n tarde éteint' sous ton gr
l'a paria cousu dans ton lini
noir banquet troupe chèi
Cygnes noyés dans le lac des
Éveillez-vous ! accueillez ce
Sons vengerons vos ombres
On s*al»oim»e jn»<iii*nu SO iBe ce mois à Paris, <f, rue Sicnvc-St-Mare.—^S4 if. par an % f. «»© EïOïau- Sa pB-o^incc. (Affranchir les lettres
ASSOCIATIONS MUTUELLES
d'assurances sur la vie.
nature des opéxiations. — i^'européenne opère en France et à 1 étranger
elle est représentée dans chaque chef-lieu d'arrondissement et de canton. 11 est ouvert
des associations pour G, 10, 15 ou 20 ans. On souscrit à lout âge. Les mises sont faculta-
tives. Les engagemens sont payables par annuités. Les sommes versées s'accroissent dans
de larges proportions par la capitalisation des intérêts, parles extinctions, lesdécheanecî
. et les forclusions. Ces capitaux sont répartis aux ayant-droit, dans les six mois qui stiij
_,, „ , vent le terme de chaque association,
adresser |ionr rensci- garanties exigées par le gouvernement. — Cautionnement progressi
gateiMCMS et «Sessïssia- (]e 25,000 fr. de rentes 3 0[0, dont le premier titre a été déposé sous le n° 44,729 Con-
«Se» eVagences, version dans les cinq jours des mises sociales et rentes sur l'Etat. Contrôle d'une corn-
à l'Administration Centrale, mission <lugouvernement.2Z^ji^«tZ^°^ï^ï^nJaÏÏmA
_ . . , _____ ____s^„K...-..«>.^ .......»a,, ' souscripteurs. — intervention du ministre des finances dans ie» »»
Autorisée par OrdOBIMflMCe royale, RUE RICIIER, 8 BIS, APAHS. partitions ( arf. 2, 4 et «de V Ordonnance Royale).
Uns martyrs du banquet fu
Sous vengerons vos ombres
'•tesjumeaux!... sembi
Pleins des lueurs d'un loint
«antant pieds nuds sur le]
'«les ouït passer et puis rr.
V natal, qui les créa p
F mit Pour sceptre un rc
««s plébéiens, infortunés 1
* vengerons vos ombres
OUVERTURE d'une nouvelle SALLE DE BAL,
Citè-d'Anlin, 29, cl rue de Provence, Gô.—iotjiasciis: *3« octobkk,
li'orclicstrc sent dirigé par Al. MîAUlï©ïsr.
!Le dimanche 2 t. » c; par abonnement 1 f. 50 c.
Le lundi...... 1 50 dilo l 25
Le jeudi...... 2 50 dilo 2 »
Le3 amateurs de DANSE et do bonne MUSIQUE accueilleront avec pliisir l'ouverture de la jolie Salle-d'Anlin, où les
plus nouveaux quadrilles et valses seront exéculés par les meilleurs artistes de l'avis. Le choix qu'a fait le directeur de celte
salle dans la personnedu chef d'orchestre, lui mériteront les suffrages du public.
Les iialeriesrichement éclairées, un vasle estaminei et de jolis salons élégamment décores et aliénant a la salle de bal,
nous semblent réunir les conditions requises pour attirer de nombreux amateurs. — JNOTA. On ne délivre pas de billets
d'abonnement au contrôle; ils doivent êlre pris d'avance à l'établissement. — i es dames ne seront pas reçues en bonnet.
TTTimvr-i*'"'-*" Jl"
M a lad les Secrètes
TRAITEMEMT au Docteur Ch. ALBERT,
Médecin tlu In Faculté du l'iirîs. msiilrc en |il'iirijtacïc, «x-|ilinrniacicii tWt lidpltmix de la
ville tlu Purin, l'ruft^stntr du i:n'iiixitiu et de lioi.uiiipie, brevulû du GoUTerneiftent Françms
lionorc du jdiiaieun rnéduilles et rvwm\iKi\sv.s mniiniiiles, cic, etc.
Aujourd'hui on peut regarder comme
résolu le problème d'un traitement
simple, facile, et, nous pouvons le
dire sans exagération, infaillible con-
tre toutes les maladies secrètes, queN-
que anciennes ou invétérées qu'elles
soient.
Les guérisons nombreuses et au-
thentiques obtenues à l'aide de ce trai-
tement sur une foule de malades
abandonnées comme incurables sont
des preuves non équivoques de sa su-
périorité incontestable sur tous les
moyens employés jusqu'à ce jour.
Avant cette découverte on avait à
| désirer un remède qui agît également
sur toutes les- constitutions, qui fût
sûr dans ses effets, qui fût exempt des
inconvénients qu'on reprochait avec
justice aux préparations mercurieiles,
corrosives et autres.
Cvnmtltttioni jratuitei tous te t jour t dej.uit 8 a. du mnttn jutqu'ù H a. lia toit.
Rue Montorgueil, n. 21, au premier.
TRAITEMENT PAU COIinBSPOBinANCE. (affranchir.)
Ci; traitement est peu dispendieux,
facile à suivre en secret ou en voyage,
et sans aucun dérangement ; il s'em-
ploie avec un égal succès dans toutes
les saisons et duns tous les climats.
A louer, pour ta saison, au Théâ-
tre-Italien, deuxième loge rie face de
six places, te samedi. — ^'adresser au
bureau de location.
MENT VEGETAL
Pourla guérlson radicale, en peu de
joursetsansaccidens, desécoulcmens
r6cens et invétérés. Prix, !)fr., paya-
bles en une seule ou en trois l'ois, chez
M. Poisson, pharm. brev., r. rlu Hou-
le, 11, prés celle de la Monnaie. (Aff )
PRALINES DARÏÈS.
Nouvelles capsules de cubèbe pour
guérir radicalement en peu de jours
les ecoujlemens anciens et nou-
veaux. Prix: 4 fr. Rue Croix-dcs
Petits-Champs, 23, et à la pharmacie,
rue J. J.-Rousseau, 21.—Traitement
par correspondance; •
Imprimerie Lange Levy.cil
nie do Croisnant, 16.
Rapport de M- Barruel, AAt «nm Deux médailles en W
cher des travaux chimi- Il h liULMjki gent et en or ont u
^Snait sa lampe,
16 Cor">ne(i), à l'opulent
ques, et autorisation delà **** décernées à ce pharm*
Faculté de méd. de Paris. ^hassmacbe;»'. cien.
et Fabricant de Chocolat rue Neuve-Sainl-Méry, 12, à Vans.
Ces bonbons, que les enfans savourent avec délices, constituent, sans con-
tredit, le meilleur mode de leur administrer le fer à haute dose- ao^
voyons-nous chaque jour les sommités de la médecine pratique les pie.t
avec succès aux plus faibles organisations comme au plus lymphatiques.
Certifie»* «I© M. CSvutT&ant,
Médecin de l'hôpital des enfans, médecin consultant du roi, etc., etc
« J'emploie constamment depuis plusieurs années le Chocolat f«'''uSin™v
de Colmet, soit en tablettes, soit en bonbons, et je m'en trouve touwmv' • |u ~~ .
.......■ '-- -■>-<""■>«♦ «"*•»• " ftilERSAW." ^™iaud est mort le ig i
<1 Sde mademolsell
^ii"nieanceacadémiqU(
Plus mer
U,^ ^positions pou/
S«ïh a Poésie fén
mbon. , r >ûeW ^erecleson aule,
Prix de la boîte, G fr.—Par paquet de 6 boites, 1C fr. 50 c.___^ Snê»^ on' c°rtes ! Mad
CAimiAUorguérlfon m-micheli-e chaiu^W^^j^ «« sans dou
de (Jolmet, soit en tablettes, soit en DOiroons, etje m en trouve »;"J"'"T ,
chez les adultes, chez les adolescens et les enfans. « GUfcltoAï1'1'
C?CH'4iîSeat de SI. Hlaclie ,
Médecin du comte de Paris, médecin des hôpitaux civils deParis,J M
Je soussigné certifie que, depuis plusieurs années, je prescris avec de gw A
avantages, dans les nombreuses affections qui réclament le fer, le
ferrugineux préparé par M. Colmet, pharmacien. C'est chez les enwm ^
tout que j'ai pu apprécier les heureux résultats du fer administreiwnj
forme agréable. , B „,,\ fuir»
M. Colmet, au moyen de machines très ingénieuses, est paivenu
entrer 10 centigrammes de sa poudre de fer dans la composition «e w
bonbon
un procédé nouveau.
te, hrev. du roi, cour des ironiaïuuK, ', «■% 1W-
moyen d'éviter l'opération tant redou oo^ ,
traction d s dénis, qu'il plombe sans doutem,
* sont tombés en alcyon
^ h mansarde, au lit de
:1«*afaud....Mais les
'"meencor le feuillet sé
Vivront les hontes del
J vœux de gloire et leu
^.Berthaud, ton uni,
,s ingérons vos ombres
raît que les conseillers nom pas été beaucoup plus coif-
fes de leur Bonnet.
BUIiliE'aiîV.
Aujourd'hui dimanche, l'Opéra-Comique annonce, un spec-
tacle dont le double attrait doit attirer bien du monde; il se
compose du Pré aux clercs, pour la rentrée de Mm0 Casimir,
et du Domino noir, par Mlle Lavoye.
.*„ Ce so>r l'Odéon donne un magnifique spectacle composé
de deux pièces en vogue, Lucrèce et Tôt ou Tard, et de
l'Hameçon de Phénice.
,', MM. Grisier ont recommencé leurs assauts d'armes qui
auront lieu tous les dimanches, à une heure, à leur salle, Fau-
bourg-Montmartre, 4, au coin du boulevard.
„*„ C'est surtout au moment où le terme d'octobre a occasion-
né le déplacement de beaucoup de mobiliers, que l'on doit s'a-
dresser à M. Darrac (rue Coquenard, 1; rue Cadet, TA et 21),
pour faire renouveler ses couchers, nettoyer et assainir les lai-
nes et les crins.
LOGOGRIPHE.
On trouve en mes six pieds un outil, un volume.
Mots de la dernière anagramme : rouet, route.
Les Magasins de la Ville de Paris offrent depuis quel-
ques jours un spectacle d'une magnificence inouïe. Tout
y surprend au plus haut degré l'imagination. Deux nou-
veaux petits salons d'une richesse considérable, l'un con-
sacré à la plus belle collection de châles des Indes qui
ait encore été réunie à Paris, et l'autre aux plus ravis-
santes fantaisies en soie de la fabrique de Lyon, donnent
liB CHARIVARI.
ces galeries le dernier complément de leurs spécialités
cl u«« i';ln£ à part parmi les grandes maisons de l'Europe.
L'association des cachemires de l'Inde imprime une nou-
velle importance aux ail-aires de celle maison,. Ses salons
ont d'ailleurs, en ce moment, tout leur éclat, et nous ne
pourrions que difficilement en éaumérer les richesses
les plus notables. Tout ici est inattendu, nouveau, res-
plendissant; tout est complet. Les spécialités utiles,
comme les toiles, les bonnes étoffes , n'excitent pas
moins l'admiration que la richesse des soieries et des
châles. Ce qui est encore très séduisant, c'est une nou-
velle iiiodération dans les prix; tous sont changés, très
réduits. C'est qu'ici la vente se sert d'une haute position
commerciale, non-seulement pour réveiller les désirs,
mais pour faciliter les achats. Rien n'établit mieux cette
modération des prix dans les salons des Magasins de la
Ville de Paris que ces heureux changemens dans des
spécialités où les gsos bénéfices étaient consacrés, tradi-
tionnels. Avec cette modération, une vie nouvelle est
promise aux objets du grand luxe qui depuis quelques
années se restreignaient de plus en plus. Nous avons
confiance dans ce calcul moral, honnête, et dont la puis-
sante vogue des Magasins de là Ville de Paris fait en ce
moment le succès.
Le'gérant, léopold pannier.
Extraitjdu catalogue de Léopold Pannier et comp., éditeurs,
rue du Croissant, n° 1G, a Paris.
lii&liographies de H. Vauniici*.
1" la journée du céliiîataire, 12 planches
quart jésus............................. Cf. » c.
2° scènes GROTESyuES, G planches,......... 3 »
3° vulgarités, 10 planches................,. 6 »
4° proverbes de famille, 2 planches...... . 1 »
S" exposition de l'industrie, 1 planche.____ » 50
6° fantaisies, 3 planches____:.............. 1 50
1" les cinq sens, 5 planches................ 2 50
8° coquetterie , 10 planches................ 5 »
9° actualités, 29 planches.................. 14 50
10" les parisiens, G planches................ 3 » assurance : Il n'y a plus de vieilles étoffes!'.!
LUNDI
\G OCTOB:
Pari».
15 fr.
30
lois........; ; 60
^•••"ë'n'tsdalentdesler
.uonnemepi» ..... vEiranim
11° les pratiques des marchands de pa-
ris, G planches..................
12° l'annonce et la réclame, 2 pVan'cheV ? "
13° les saltimbanques, 2 planches... "
14° mésaventures et désappointements i)È "
m. gogo, 5 planches............ « , ■
15° les douze mois, 3 planches.......
1G" proverbes et maximes, 12 planches...'. ' ■ 0* I rROlSSANT, 1
17» association en commandite pour l'ex- " 0< îBB „0Ur les Départ
ploitationde l'humanité, l planche. » «,„ ubfaires, les Direc
18° infirmités humaines, 1 planche.. ...... , 2 m es„tchez Delpech, à
19» silhouettes, 8 planches............ ' \ 50 €iesiïïà Toulouse; Mlle!
20» monomanes, 8 planches.............. \ " ^ù^wWy^etzjM*
21° caricatures diverses sur le salon et " &ur delà PO^bfrecleuM
l'industrie, 4 planches................ 2 ;rlaLondres; la
22° sentimens et passions, 4 planches.... •> P,rrf'i, Hâve, Arosterdarc
23» musiciens de paris, G planches........' % " k'XnHe- h alte, les Dir
24° la pèche ,7 planches................... î » Œe? Venise, Florenc
25» la comédie humaine, 4 planches.......'.. , °9 JJ^iiler, iib™TeJ "ardanc
de à Strasbourg; la frus.
. , ' rUelle;la Russie, ch<
Les deux nouvelles romances de M»« L. Pugel que la Fn ^ libraires à Saint-PéterstK
musicale vient de publier, ont un succès sans exemrin ?lèlir, i New-TTork. .
Dix mille exemplaires du Baiser de la promise et des la¥« 14"^m™^^
du Bengale ont été vendus en huit jours. Tous les amateur?
de chant voudront posséder ces deux belles compositions dont
les paroles sont de M. G. Lcmoine. Parmi les nouvelles 1
mances a grand succès nous devons signaler le Rendez-vous
et Laisse-moi t'aimer, de Théodore Labarre, le compositeur
populaire. Les amateurs trouveront au bureau central de mu
sique qui vient de s'ouvrir, 29, place de la Bourse, toutes les
nouveautés à la mode, telles que la Fantaisie de salon, de H
Herz, sur Don Pasquale; le quatuor varié pour piano,par E
Prudent, sur le même opéra ; des morceaux de H. Berti'ni, Ro-
sellen, Ed. Wolff, Lecarpentier, N. Louis, Czerny, F. Bur°-
muller, Thalberg, Hunten, en un mot, un assortiment de mu-
sique des plus complets.
—Les cours de piano de M. René Favarger ouvriront le mar-
di 17 octobre, chez M. Laisné, facteur de piano, boulevard des
Italiens, 7.
— grace a l'ingénieux procédé de m. portier,
teinturier-apprêteur, rue du Bouloi, 5, on peut dire en toute
m§ LYRES
ifliémoîVe de Gilbert, de
{iéfjésippe Moreau, d'j
Louis Berthaud, mo
Rien n'est beau, original et nouveau comme les primes considérables de musique qu
sont données dès aujourd'hui pour rien à tous ceux qui prendront avant le 3fi de ce mois
TOUTE HK A Ml H S'ABONNERA HH A Ml H nflllMI Al H »» «bonnement à la'FRANCE MUSICALE. Pour Paris, 24 fr.j pour la province, 29 fr. 50.
On retirera de suite contre sa quittance, qu'on recevra de suite contre un bon pris à là
posteà l'ordre desdirecteurs, toute la Musique quisuit,magnifiquementgravéectillustaic.
LA I II fl IV II II A LA
l° M LANTERNE IIAGIMIE,
SO "Valwes pour le grisant», floutes inédites.
l» La Dansante, par H. Herz; 2* l'Inconstante, par Th. Dœh-
ler; 3° l'Ondine, par E. Prudent; 4° l'Elégante, par E. Wolff;
5° la Française, par Rosellen ; 0e la Fugitive, par J. Herz ; 7° la
Charmante, par Burgmuller ; S" la Vénitienne, par Donizetti ;
9° le Bal, par Ad. Adam; 10° Une Fleur, par Lecouppey;
11° la Tremblante, par Louis ; 12° Ophelia, par Gide; 13° la
Brillante, par Lecarpentier,- 14° la Rose, par Tolbecque ; 15° la
Napolitaine, parBenedict; 10° le Printemps, par A. Thomas;
17° les Rayons par Ed. Wolf; 18° et 19° les Lys, par de Konts-
ky; 20° la Berceuse, par N. Louis.
2° LES SOUPIRS.
Allmiii de rSiscBig, Uni} înésHt,
\° J'attends toujours, par G. Donizelli ; 2° le Jaloux au
Bal," par Ad. Adam; 3° les Aveux, par Boieldicu ; 4° Mar-
guerite, par Duprez; 6° Ne fuis pas, par Thys; G° les Chai-
ses à porteur, par Clapisson ; 7° la Glaneuse, par Monpou ;
8° la Belle Isaure, par Moni fort ; 9° Mon Petit Ange, par
Barroilhet ; 10° Seize ans, par Niedermeyer ; 11° le Pri-
sonnier, par Aggutorio ; 12° le Lac d'Ensùien, par le prin-
ce de la Moskowa; 13° Jeune Lys, par Vogel; 14° les Hi-
rondelles, par Flottow ; 15° l'Adieu, par Barin.
$ -S I Chaque abonné recevra aussi le Journal pen-
dant un an et quarante Nouveautés Musicales.
De plus, il aura droit à deux places aux Concerts
donnés cet hiver, et dans lesquels on entendr
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LE MISERERE lD0œEffl,,Iitai,„le,àlavoiI
grande et magnifique partition inédite, avre "é,01aait trêves des gr£
chœurs et orchestre, que les: directeurs de la Frew ™ ver= sanglant, dont le t
ce Musicale ont seuls le droit de faire excrutfj Fouettait les dieux de la bol
en Franee. Les abonnés hors Parisrecevro.it <B fe dieux maudits par le dr
échange six Morceaux inédits. « ,„ .„ *al lc ul
;.. , , . ! ferment l'oreille à vos cris
oreunluth brisé sur la;
malheureux endormi pâl
l'n tarde éteint' sous ton gr
l'a paria cousu dans ton lini
noir banquet troupe chèi
Cygnes noyés dans le lac des
Éveillez-vous ! accueillez ce
Sons vengerons vos ombres
On s*al»oim»e jn»<iii*nu SO iBe ce mois à Paris, <f, rue Sicnvc-St-Mare.—^S4 if. par an % f. «»© EïOïau- Sa pB-o^incc. (Affranchir les lettres
ASSOCIATIONS MUTUELLES
d'assurances sur la vie.
nature des opéxiations. — i^'européenne opère en France et à 1 étranger
elle est représentée dans chaque chef-lieu d'arrondissement et de canton. 11 est ouvert
des associations pour G, 10, 15 ou 20 ans. On souscrit à lout âge. Les mises sont faculta-
tives. Les engagemens sont payables par annuités. Les sommes versées s'accroissent dans
de larges proportions par la capitalisation des intérêts, parles extinctions, lesdécheanecî
. et les forclusions. Ces capitaux sont répartis aux ayant-droit, dans les six mois qui stiij
_,, „ , vent le terme de chaque association,
adresser |ionr rensci- garanties exigées par le gouvernement. — Cautionnement progressi
gateiMCMS et «Sessïssia- (]e 25,000 fr. de rentes 3 0[0, dont le premier titre a été déposé sous le n° 44,729 Con-
«Se» eVagences, version dans les cinq jours des mises sociales et rentes sur l'Etat. Contrôle d'une corn-
à l'Administration Centrale, mission <lugouvernement.2Z^ji^«tZ^°^ï^ï^nJaÏÏmA
_ . . , _____ ____s^„K...-..«>.^ .......»a,, ' souscripteurs. — intervention du ministre des finances dans ie» »»
Autorisée par OrdOBIMflMCe royale, RUE RICIIER, 8 BIS, APAHS. partitions ( arf. 2, 4 et «de V Ordonnance Royale).
Uns martyrs du banquet fu
Sous vengerons vos ombres
'•tesjumeaux!... sembi
Pleins des lueurs d'un loint
«antant pieds nuds sur le]
'«les ouït passer et puis rr.
V natal, qui les créa p
F mit Pour sceptre un rc
««s plébéiens, infortunés 1
* vengerons vos ombres
OUVERTURE d'une nouvelle SALLE DE BAL,
Citè-d'Anlin, 29, cl rue de Provence, Gô.—iotjiasciis: *3« octobkk,
li'orclicstrc sent dirigé par Al. MîAUlï©ïsr.
!Le dimanche 2 t. » c; par abonnement 1 f. 50 c.
Le lundi...... 1 50 dilo l 25
Le jeudi...... 2 50 dilo 2 »
Le3 amateurs de DANSE et do bonne MUSIQUE accueilleront avec pliisir l'ouverture de la jolie Salle-d'Anlin, où les
plus nouveaux quadrilles et valses seront exéculés par les meilleurs artistes de l'avis. Le choix qu'a fait le directeur de celte
salle dans la personnedu chef d'orchestre, lui mériteront les suffrages du public.
Les iialeriesrichement éclairées, un vasle estaminei et de jolis salons élégamment décores et aliénant a la salle de bal,
nous semblent réunir les conditions requises pour attirer de nombreux amateurs. — JNOTA. On ne délivre pas de billets
d'abonnement au contrôle; ils doivent êlre pris d'avance à l'établissement. — i es dames ne seront pas reçues en bonnet.
TTTimvr-i*'"'-*" Jl"
M a lad les Secrètes
TRAITEMEMT au Docteur Ch. ALBERT,
Médecin tlu In Faculté du l'iirîs. msiilrc en |il'iirijtacïc, «x-|ilinrniacicii tWt lidpltmix de la
ville tlu Purin, l'ruft^stntr du i:n'iiixitiu et de lioi.uiiipie, brevulû du GoUTerneiftent Françms
lionorc du jdiiaieun rnéduilles et rvwm\iKi\sv.s mniiniiiles, cic, etc.
Aujourd'hui on peut regarder comme
résolu le problème d'un traitement
simple, facile, et, nous pouvons le
dire sans exagération, infaillible con-
tre toutes les maladies secrètes, queN-
que anciennes ou invétérées qu'elles
soient.
Les guérisons nombreuses et au-
thentiques obtenues à l'aide de ce trai-
tement sur une foule de malades
abandonnées comme incurables sont
des preuves non équivoques de sa su-
périorité incontestable sur tous les
moyens employés jusqu'à ce jour.
Avant cette découverte on avait à
| désirer un remède qui agît également
sur toutes les- constitutions, qui fût
sûr dans ses effets, qui fût exempt des
inconvénients qu'on reprochait avec
justice aux préparations mercurieiles,
corrosives et autres.
Cvnmtltttioni jratuitei tous te t jour t dej.uit 8 a. du mnttn jutqu'ù H a. lia toit.
Rue Montorgueil, n. 21, au premier.
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Ci; traitement est peu dispendieux,
facile à suivre en secret ou en voyage,
et sans aucun dérangement ; il s'em-
ploie avec un égal succès dans toutes
les saisons et duns tous les climats.
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tre-Italien, deuxième loge rie face de
six places, te samedi. — ^'adresser au
bureau de location.
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r6cens et invétérés. Prix, !)fr., paya-
bles en une seule ou en trois l'ois, chez
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cher des travaux chimi- Il h liULMjki gent et en or ont u
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16 Cor">ne(i), à l'opulent
ques, et autorisation delà **** décernées à ce pharm*
Faculté de méd. de Paris. ^hassmacbe;»'. cien.
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Ces bonbons, que les enfans savourent avec délices, constituent, sans con-
tredit, le meilleur mode de leur administrer le fer à haute dose- ao^
voyons-nous chaque jour les sommités de la médecine pratique les pie.t
avec succès aux plus faibles organisations comme au plus lymphatiques.
Certifie»* «I© M. CSvutT&ant,
Médecin de l'hôpital des enfans, médecin consultant du roi, etc., etc
« J'emploie constamment depuis plusieurs années le Chocolat f«'''uSin™v
de Colmet, soit en tablettes, soit en bonbons, et je m'en trouve touwmv' • |u ~~ .
.......■ '-- -■>-<""■>«♦ «"*•»• " ftilERSAW." ^™iaud est mort le ig i
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de (Jolmet, soit en tablettes, soit en DOiroons, etje m en trouve »;"J"'"T ,
chez les adultes, chez les adolescens et les enfans. « GUfcltoAï1'1'
C?CH'4iîSeat de SI. Hlaclie ,
Médecin du comte de Paris, médecin des hôpitaux civils deParis,J M
Je soussigné certifie que, depuis plusieurs années, je prescris avec de gw A
avantages, dans les nombreuses affections qui réclament le fer, le
ferrugineux préparé par M. Colmet, pharmacien. C'est chez les enwm ^
tout que j'ai pu apprécier les heureux résultats du fer administreiwnj
forme agréable. , B „,,\ fuir»
M. Colmet, au moyen de machines très ingénieuses, est paivenu
entrer 10 centigrammes de sa poudre de fer dans la composition «e w
bonbon
un procédé nouveau.
te, hrev. du roi, cour des ironiaïuuK, ', «■% 1W-
moyen d'éviter l'opération tant redou oo^ ,
traction d s dénis, qu'il plombe sans doutem,
* sont tombés en alcyon
^ h mansarde, au lit de
:1«*afaud....Mais les
'"meencor le feuillet sé
Vivront les hontes del
J vœux de gloire et leu
^.Berthaud, ton uni,
,s ingérons vos ombres