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LÉâ
MARDI JANVIER 1850. __K~* "f ~\ir\ JL DIX-NEUVIÈME ANNÉE. — N° 1.
Bureau de la rédaction et de l'administration, à Paris, ^Mî^^^^^âv^^^ff F/Çj Piibïfenot chaque joui un nouveau dessin en lithographie
rue du croissant, 16 (hotel colbert). If/^!^ _^^^^^^^^SÊ^^S^^^Êw J l^OilQ = llli ou sravures, et vignettes sur bois.
paris, départ. /•^^s^^vJ^^L JVasv JôvM^^^^m^ÊmmM— PAB,S- dei'art-
Trois mois................... Ï2 fr. l!Sfr. T2:^^l/J^ '£ïS«sNHfL win^Xl r VÎS^r PM^HiliBli^ Trois mois.................... 12 fr. 13 lr
Six mois...................... 24 30 Wi^lMl^^^^^a^^^^Ê^^éieÂs^^ 11ÊmÊ&3S&2& Six mois....................... 24 30
Un an......................... 43 60 M^^^^^^^mff^^^^^^^^^^^MF^^^^ Un an......................... 48 60
Les abonnemcns datent des 1« et 16 de chaque mois. ^S^^^^^^^mifWRy 'SsS^'^^^" abonnemens datent des l«f et 16 de chaque mois.
On s'abonne : à Lyon, chez Mme Philippe-Baudier, ^^^^^^Wq^^Bi // «ff/\f)f l'y' ' m\ tÉ^'^WT ' ""M On reçoit en paiement des abonnemens, les man-
H, rue Sl-Dominique; à Bordeaux, chez Mme Delpech, pi IhK /HwK'WHf fiFTO 'WlJHfl ûats à vue sur le Trésor et sur la Poste, et les effets
libr.; à Marseille, chez M. Miehelet-Peyron et chez ^^^^^^^^^JÊÊÈI^:Ml ffi f]P^ ^P^fTOMlaL, Bul' les maisons de Banque de Paris. — Tout ce qui
Mme Camoin, libr.; à Rouen, chez Mme Watré, 30, rue ^^^W^Ê^LW^^mS^sà^mi ^^STN^R^Î concerne l'administration du Journal doitêtre adressé
du Vieux-Palais ; à Londres, chez Cowie et son, F. News V^jIV,^^^^^^^^BypM^^^^/.^h>g^-SMS (franco) au Directeur, rue du Croissant, 16 (ancien
Paper office; dans tous les bureaux, des Messageries ^*^^^^S^^^^^^S^^^^^^^-_°"^^^0^-*^ LCU1 Albert).— Les lettres non affranchies seront
nationales et générales, et chez les libraires. ^as=sa=^feâs^^^^SS=.—~* —— "=--"- iigoureua;ment relusées.
LE
Les rédacteurs et compositeurs du Cha-
rivari ayant pris la détermination d'aller,
à l'occasion du nouvel an , offrir deux
oranges à leur ami Véron, et cette céré-
monie devant durer toute la journée, le
Charivari ne paraîtra pas le 2 janvier.
ASSEMBLÉE NATIONALE LÉGISLATIVE.
Séance du 31 décembre.
Il le fallait, il le f âàllait !... le chaptal Rouher pa-
rait. Il a son costume de notable. Il est éclatant sous
le linge ; le nœud de sa cravate aflecte la gravité ; la
sévérité de son costume rappelle les enterremens de
première classe ; en montant à la tribune il essaie
des effets de cuisse.
« Messieurs, s'écrie-t-il, tous mes efforts tendent
à effacer les souvenirs qu'a laissés dans vos cœurs
l'un des hommes que j'ai le plus admirés.Si je parviens
à mériter le surnom d'Oscar cadet, mes vœux seront
remplis.Complètement étranger àla question pannes
études, je l'aborde résolument. Il m'est impossible de
moins la connaître que mon collègue Lahitte dont
elle est la spécialité. Je ne vous dirai rien de l'ho-
norable Lahitte; vous venez de l'entendre, cela vous
suffit. Mais je vous ferai observer que ce ministre des
affaires étrangères est fort excusable. Il n'est ni cha-
bert ni chaptal ; il n'est pas même représentant ;
nous l'avons admis dans le cabinet comme homme
aimable, sans antécédens, sans prétention et pres-
que sans portefeuille. Considérez-le comme le gar-
dien du ministère qu'il porte sous son bras. U re-
çoit les lettres, il les ouvre, et il n'y répond pas. C'est
à cela que se bornent ses fonctions. En un mot l'ho-
norable Lahitte est le type des .ministres d'action.
Quant à moi,'.je suis absolument étranger à la ques-
tion de la Plata en elle-même, mais j'ai cru décou-
vrir dans le dossier une, certaine mitoyenneté que k
cour deRiom (M. Rouher salue)... que l'assemblée
appréciera.
1er le jeune Estancelin se lève et va offrir à M.
Thiers pour ses ékennes un petit verrat en sucre.
—J'ose dire, messieurs, continue le chaptal Rouher,
que Buénos-Ayres et Montévidéo sont séparés par
un fleuve. (Vive approbation à droite.) Or, d'après
coutume de Normandie, de Bretagne, et suivant pédition en sucre de pommes
es mstttutes, qui dit : fleuve dit : rivière. Ergo les J —Alors, répond le président Dupin, rien ne nous
terrains d'alluvion se trouvent régis conformément à
l'article 782... d'où je conclus que Rosas l'intimé,
nonobstant la procédure du rapporteur Daru, peut
valablement opposer à Montévidéo les contrats pas-
sés devant l'amiral Leprédour et son collègue, no-
taires à Paris, entre le sieur Oribe et autres acqué-
reurs de bonne foi...
L'aimable Taschereau entre sur ces derniers mots,
et comme il a l'habitude de faire lui-même ses visi-
tes du jour de l'an à pied, il dépose sa carte chez
M. Malleville. L'exemple de l'aimable Taschereau.
pique la politesse de quelques uns de ses collègues.
M. MallevHlo finit par I<iko fondre par le. bon-
homme Tropique (M. Faure de Nantes) qu'il n'y est
pas.
— Abordant la discussion au point de vue politi-
que, continue le chaptal Rouher,—à qui l'un des
secrétaires vient de glisser une orange ; — je ferai
observer à M. Daru que la ravissante Manuela ne
serait peut-être point insensible aux marrons gla-
cés et qu'il serait bien imprudsnt d'avoir recours
aux armes quand il encore possible de rétablir no-
tre influence par la douceur. Messieurs, personne de
vous n'ignore que ce moment est celui où les coufi-
seurs français ont le plus besoin d'encouragement.
Chacun de nous a ses petits cadeaux à faire. Ne
rompons point trop brusquement avec Rosas; on
dirait que c'est un prétexte pour ne pas lui donner
d'étrennes !
Aces mots un mouvement extraordinaire a lieu
dans l'assemblée ; tous les représentans se jettent
dans les bras des uns des autres. — Je vous la sou-
haite bonne et heureuse !
—Et suivie de plusieurs réélections.
La séance est interrompue pendant quelques ins-
tans. Un huissier apporte à Pierre Leroux une char-
mante petite triade de la part de Proudhon ; le beau
Poujoulat offre un cierge au révérend Montalembert;
le babjf Hortensius un perroquet à son ami Mortimer
Ternaux.; Heckeren un sac de jujube à Hovvyne-
Tranchère.
Enfin îe rapporteur Daru s'élance à-La tribune, et
tirant de sa poche un cédrat confît :—Je ne suppor-
terai pointj s'écrie-t-il, les reproches du chaptal
Rouher. Personne dans la commission n'a songé à
manquer d'égards vis-à-vis de la belle Manuela.
Nous sommes d'avis d'appuyer nos réclamations
près de Rosas par une expédition... mais par une ex-
empêche de mettré les amendemens aux voix. Je
consulte l'assemblée sur celui de Marquis... c'est-à-
dire du baron de Rancé qui propose de, mettre à
la disposition des ministres de la marine et de la
guerre dix millions... de papillottes à pétards.
Les confiseurs l'emportent ! l'amendement a été
adopté à une voix de majorité,
FONTANAROSE DIRECTEUR.
Voyons, seigneur Fontanarose, Jerez-vous un
nouveau procès au Charivari s'il prétend que vous
régnez à la rue Richelieu, sous le pseudonyme de
M. Arsène Houssaye votre directeur blond ?
L'ancien conseil judiciaire du Théâtre-Français
destitué en masse ; le nouveau rempli de vos matas-
sins ordinaires ; Me Boinvilliers, bâtonnier de l'ordre,
chassé par Me Chaix-d'Est-Ange, avocat de Mlle Ra-
chel ; M" Léon Duval, votre éloquent défenseur, Me
Cauvain, qui rédige avpc. tant h';™^.*:.!:.; j— *
Constitutionnel le c E_ ^« ■ ■ ma
à la place de Mes M
L'avocat à la cour i E
la veille cassés aux
narose, voir votre n E-^
Si ce bruit est fai E. «
le démentir dans le =_r g,
pendant ? Vous av E_ +^ 5
distraire, le gouve E °
l'accorder; quel ma E ^-
que les coulisses ar =" / \
les cancans, pour le =— %
foyers et des loges. E. "TT
femmes que celles q = <" ^_
blanc sur les épauh -
seuses aux pieds coi E N
efflanquées^ chanteiE"- ^ ^
au feu de la rampe E-
premier maillot suiE-^
nue de trente-six ai E.
l'amoureux patois iE 10 û. g
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c
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grâces auxquelles = ^
gloire est de régne E _
commence à la prir- 00
que flétrie, à la SaqE-
fondent des journaiEJ? 3 >
cherchent à influer =_ o
veulent gouverner lE_w "q
tre, voilà leur ambE
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MARDI JANVIER 1850. __K~* "f ~\ir\ JL DIX-NEUVIÈME ANNÉE. — N° 1.
Bureau de la rédaction et de l'administration, à Paris, ^Mî^^^^^âv^^^ff F/Çj Piibïfenot chaque joui un nouveau dessin en lithographie
rue du croissant, 16 (hotel colbert). If/^!^ _^^^^^^^^SÊ^^S^^^Êw J l^OilQ = llli ou sravures, et vignettes sur bois.
paris, départ. /•^^s^^vJ^^L JVasv JôvM^^^^m^ÊmmM— PAB,S- dei'art-
Trois mois................... Ï2 fr. l!Sfr. T2:^^l/J^ '£ïS«sNHfL win^Xl r VÎS^r PM^HiliBli^ Trois mois.................... 12 fr. 13 lr
Six mois...................... 24 30 Wi^lMl^^^^^a^^^^Ê^^éieÂs^^ 11ÊmÊ&3S&2& Six mois....................... 24 30
Un an......................... 43 60 M^^^^^^^mff^^^^^^^^^^^MF^^^^ Un an......................... 48 60
Les abonnemcns datent des 1« et 16 de chaque mois. ^S^^^^^^^mifWRy 'SsS^'^^^" abonnemens datent des l«f et 16 de chaque mois.
On s'abonne : à Lyon, chez Mme Philippe-Baudier, ^^^^^^Wq^^Bi // «ff/\f)f l'y' ' m\ tÉ^'^WT ' ""M On reçoit en paiement des abonnemens, les man-
H, rue Sl-Dominique; à Bordeaux, chez Mme Delpech, pi IhK /HwK'WHf fiFTO 'WlJHfl ûats à vue sur le Trésor et sur la Poste, et les effets
libr.; à Marseille, chez M. Miehelet-Peyron et chez ^^^^^^^^^JÊÊÈI^:Ml ffi f]P^ ^P^fTOMlaL, Bul' les maisons de Banque de Paris. — Tout ce qui
Mme Camoin, libr.; à Rouen, chez Mme Watré, 30, rue ^^^W^Ê^LW^^mS^sà^mi ^^STN^R^Î concerne l'administration du Journal doitêtre adressé
du Vieux-Palais ; à Londres, chez Cowie et son, F. News V^jIV,^^^^^^^^BypM^^^^/.^h>g^-SMS (franco) au Directeur, rue du Croissant, 16 (ancien
Paper office; dans tous les bureaux, des Messageries ^*^^^^S^^^^^^S^^^^^^^-_°"^^^0^-*^ LCU1 Albert).— Les lettres non affranchies seront
nationales et générales, et chez les libraires. ^as=sa=^feâs^^^^SS=.—~* —— "=--"- iigoureua;ment relusées.
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Les rédacteurs et compositeurs du Cha-
rivari ayant pris la détermination d'aller,
à l'occasion du nouvel an , offrir deux
oranges à leur ami Véron, et cette céré-
monie devant durer toute la journée, le
Charivari ne paraîtra pas le 2 janvier.
ASSEMBLÉE NATIONALE LÉGISLATIVE.
Séance du 31 décembre.
Il le fallait, il le f âàllait !... le chaptal Rouher pa-
rait. Il a son costume de notable. Il est éclatant sous
le linge ; le nœud de sa cravate aflecte la gravité ; la
sévérité de son costume rappelle les enterremens de
première classe ; en montant à la tribune il essaie
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« Messieurs, s'écrie-t-il, tous mes efforts tendent
à effacer les souvenirs qu'a laissés dans vos cœurs
l'un des hommes que j'ai le plus admirés.Si je parviens
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suffit. Mais je vous ferai observer que ce ministre des
affaires étrangères est fort excusable. Il n'est ni cha-
bert ni chaptal ; il n'est pas même représentant ;
nous l'avons admis dans le cabinet comme homme
aimable, sans antécédens, sans prétention et pres-
que sans portefeuille. Considérez-le comme le gar-
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çoit les lettres, il les ouvre, et il n'y répond pas. C'est
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1er le jeune Estancelin se lève et va offrir à M.
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—J'ose dire, messieurs, continue le chaptal Rouher,
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l'article 782... d'où je conclus que Rosas l'intimé,
nonobstant la procédure du rapporteur Daru, peut
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M. Arsène Houssaye votre directeur blond ?
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