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Mai
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LE CHARrVARS
signalé par un exprès envoyé au préfet. La population
s'êst aussitôt portée en masse vers le lieu indiqué
comme giie d’une bête aussi curieuse. Les femmes
étaient en majorité. Mais, le hanneton efbayé par le
bruit, s’est envolé dans la direction de la frontière, A
l’heure où vous mettrez sous presse, il aura quitté la
France.
D’Amiens :
Trompés par la rigueur de la saison, tous les canards
sont devenus sauvages.
De Tours :
On met des rallonges aux ombrelles, pour en faire
des parapluies.
Du Mans :
Par ces temps humides, les rossignols de nos bocages
sont tous « enrliubés du cerbeau »; cela se voit assez
au timbre nasal qu’a pris leur voix.
De Mézières :
L’arrêté sur la prohibition de la chasse en temps de
neige est tout près d’être affiché. Les épreuves du pla-
card sont dans les mains de l’imprimeur qui, d’un
moment à l’autre, recevra ordre de tirer.
De Nancy :
Etant donné l’état de détresse où se trouvent ros
jardins, une marchande de fleurs artificielles a fait
depuis un mois une fortune considérable.
D’Arras :
Un original s’est promené hier dans la ville avec un
pantalon blanc. Il a été arrêté aussitôt ; et il aura à ré-
pondre de son infraction au règlement qui interdit de
so déguiser, passé le temps du carnaval.
Etc.
Nous pourrons aviser nos lecteurs des informations
du même genre qui nous arriveront... dans le courant
de l’été.
Le Nouvellitte vaudois prônait ces jours derniers la
défense de la Suisse, accusée par la presse moscovite
d’être un foyer de haine contre tous les grands de la
terre, y compris ceux de la Russie.
Dans sa riposte, mondit Nouvelliste dressait le cata-
logue de tous les personnages des monarchies euro-
péennes qui avaient reçu l’hospitalité de la République
helvétique ; et « jamais", ajoutait le rédacteur, il n’a été
touché à un cheveu de leur tête. »
Pour moi, je n’aime guère ces détails de toilette dans
un écrit d’ailleurs bien intentionné, et très patrioti-
que.
Je suis même stupéfait d’apprendre que « d’augustes
voyageurs » partent de chez eux peignés une fois pour
toutes, et traversent la Suisse sans jamais entrer chez
le coi fleur.
Il est vrai que rien n’est difficile comme de tracer
une raie sur la tète d’une personne, ou d’y faire une
friction au quinquina, sans toucher les cheveux, et
ainsi sans exciter la défiance de la presse russe.
Nos journaux ont aussi leurs naïvetés, nolammont
dans le chapitre des annonces portant la rubrique :
Mariages.
On y lit fréquemment qu’un monsieur épouserait
volontiers une demoiselle ou une veuve.
Gomme si le sexe féminin comportait une troisième
variété épousable 1
Ce n’est que quand le divorce sera rétabli que les
j hommes, en quête d’une compagne, pourront faire in-
i sérer dans les feuilles cet entrefilet jusqu’alors pro-
s hibé :
} « On demande à se marier avec une femme mariée. »
Non, voyez-vous, ceux qui so payent, à un franc
vingt-cinq la ligne, une annonce où ils réclament le
cœur d’une demoiselle ou d’une veuve, ceux-là ne font
que satisfaire par écrit un besoin de verbiage.
La même démangeaison tient ces industriels qui
font peindre sur leur enseigne : Déjeuners, Dîners et
Soupers, au lieu de ce mot si'simple : Restaurant.
Je parlais du divorce (la prochaine question brûlante
i des séances du Parlement). C’est le cas de citer un !
| apologue indien que rapporte la Bibliothèque orientale. !
i La scène se passe à la porte du paradis de Brahma. I
| Une àme venue de la terre se présente, et demande à )
1 entrer. Le concierge, qui a des ordres, la questionne : j
— Vous avez passé par le nurgaloire, j’imagine ?
— Pas précisément... Mais je' dois vous avouer que, ;
de mon vivant, j’éiais mariée. j
— Cela revient au même... Entrez !
i A une deuxième àme, qui arrive triomphante :
i — Et VOUS, qu’est-ce quo vous désirez ?
— Dame! passer aussi.
— Vous avez fait votre temps de purgafoire ?
— Oh 1 oui, allez... J’ai été mariée deux fois 1
— Deux foisl Youlez-vous bien vous sauver i
— Mais... je... vous... Enfin, puisque vous avez bien j
tiré le cordon à l’autre.
— Deux foisl... Allez, petite sotte, et souvenez-vous \
que le paradis n’est pas fait pour les imbéciles !
Albert de Lasalle.
Chemins de fer de l'Ouest. — La compagnie des chemins
de fer de l’Ouest organise, à l’occasion des fêtes de la Pen-
tecôte, des trains de plaisir à prix réduits d’Arques, de Ber-
nay, de Bolbec, de Chartres, de Dieppe, d’Elbeuf, d’Evreux,
de Fécamp, de Gournay, du Havre, de Lisieux, de Louviers,
de Neufcliâtel-en-Bray, de Nogent-le-Rotrou, de Pont-de-
l’Arche, de Rouen, de Vernon, d’Yvetot et des localités com-
prises entre ces villes sur Paris. Ces trains arriveront à Pa-
ris le 1" juin et en repartiront le % et 3.
~-H-----
Chemins de fer de l’Ouest. — A l’occasion des fêtes de la
Pentecôte, train de plaisir de Paris au Havre. Aller et re-
tour : 3' classe, 10 fr. ; 2' classe, 13 fr. Aller : départ de Pa-
ris (Saint-Lazare), samedi 31 mai 1379, à 9 h. 30 soir ; retour :
départ du Havre, lundi 2 juin, à 7 h. 53 soir.
Le gérant : Axtarochk.
PETITE _GAZETTE
Maison du PONT-NEUF. Jaquette alpaga 8r
Application spéciale de verre» gradués
pour toutes les vues fatiguées ou affaiblies.
FISCHER, opticien-oculiste, 7, rue de la Paix.
Vente de 32,000 actions
DE LA
MÉTROPOLE
Compagnie d’Assurances contre l’Incendie
SOCIÉTÉ ANONYME AU
Capital «le 20 MILLIONS de francs
Divisé en 40,000 actions de 500 fr. chacune
(Libérées du quart)
CONSEIL D’ADMINISTRATION
JV1. •/?
» " mimsire ae l agricul-
ture et du commerce, Président.
MM.
BAYVE11 (Ad.), # manufacturier.
G1RAUDEAU (Ad.), de la maison Giraudeau et G0, né-
nociaut.
HENNECART, ancien juge au tribunal de commerce.
MAUGNY (Cte de), $, propriétaire.
OUTREY, C., #, adrninist. de la Société du laurium.
PÉPIN LEILA.LLEUR (R.), propriétaire.
REBOUL, E., tjfc, Direct1, de la G0 d’assurances sur la
Vie l'Atlas.
SAINT, F., négociant.
SAINT ROMAN (Cte de), propriétaire.
WELLES DE LA YALLETTE (Cte), O administrateur
de .a C° des chemins de fer de l’Ouest.
Directeur :
M. L. COLOMBET, ancien directeur-adjoint de la
Compagnie d assurances contre l’incendie la France.
Ces actions mises en vente par le groupe des fonda-
teurs de la Compagnie, sont offertes'au public au prix
de 725 fr., soit en déduisant les 375 fr. non versés :
350 francs net à payer
comme suit :
ÎOO fr. en faisant la demande.
250 fr. au 1er juillet au moment du transfert des
LES DEMANDES D’ACTIONS SONT REÇUES
Les 5 et 6 juin
A Pabis : A la Société Générale, 54, rue de Pro-
vence, et dans les bureux de quartier.
En Pbovince : Dans toutes les succursales de la
Société Générale, et chez ses correspondants.
On peut dès maintenant transmettre des demandes
d’actions par lettres chargées, adressées à la Société
Générale, à Paris, ou à l’une de ses succursales.
En cas de réduction, la répartition sera proportion-
nelle aux demandes.
L.0 Prospectus et les Statuts sont tenus à la disposition de
toute personne qui en fera la demande.
la cote officielle sera demandée.
Paris. — Imprimerie J. Yoisvenel, 24, rue Chauchat.
AVIS
Vient de paraître la 2* Édition du Splendide
Catalogue général illustré (ÉTÉ 1879) :
(Habillements pour Hommes
jeunes (Gens s (Enfants
Costumes ir Communion
SONNETERIE — CHEMISES — CHAPELLERIE —CHAUSSURtS
Extrait du Catalogue général :
LE SUCCÈS
Splendide
Habillement1
complet
en drap, belle
Nouveauté
d’Elbeuf
f
LE REUSSI
Yeston Alpaga i tr\f
entièrement 111
doublé 1
!n; COMMUNION
Costume complet | § f
drap noir fin 1 TT
L’UNIVERSEL
Vêtement compl. b ^ f
en coutil 1 f 1
irrétrécissable 1 ÙL
COSTUMEcompiet
Coutil fantaisie of
pour eufants / ‘
de 3 à 8 ans. «40
Pour recevoir le Catalogue général franco, adresser
les demandes à M. GABRIEL, directeur des
PHARES» BASTILLE
IF^IRIS
Expédition en province et à l’Étranger.
fiDE PR0.P™S2r l'OI'IMUIIIT
rue Folie-Méncourt, 22, propre à l’industrie.Rev.
brut, 21,700 f.—M. a px, 350,000f.—A ADJ”, srime
ench. en la ch. des not.de Paris, le 3 juin 1879, prM°
Legay, 82,r. St-Lazare, dép. del’ench.et sries lieux.
r H* ICONS, près la gare de Passy, Bd Mont-
t) lllAlumorency,2f,2lbiset21 ter,AADJUGER,
s’une ench. en 3 lots, en la ch. des not. de Paris,
le 3 juin 1879. M.àpr.:n121,452I"40c. E2,000f.n°21 bis,
2,162m92c., 130,000 f.;n°21 ter, 429m58c. 58,000 f.S’ad.
sr les lieux et àM« Legay, notaire, r. St-Lazare, 82.
HOTEL AVENUE DTÜA.53, —S,.
écuries pour 20 chevaux. (Superficie, 1,178 met.)-
CHATEAU etTERREde YILLEQEIEIt
(Seme-Inf">). Mise à prix de chaque lot, 400,000 f-
A adj uger, sr une ench., en la ch. des not. de Paris,
le 1er juillet 1879,parM°Bazin, aven, de l’Opéra,27.
I |ON sur une ench. en la ch. des notaires de
ADJ Paris, le 17 juin 18-79, en deux lots :
II A IC11tltl à PARIS, rues de Sèvres, 49, et Dupin,
JÎJAIiJuil 2. Rev. 7000 fr. — Mise à pr. 70,000 l’r.
Il I A -41 neuve à PARIS, r. Belfort, 17 (11° arr.,
illAISl'iï Rev. 7,120 fr. — Mise à pr. 80,000 fr.
S’ad. à M° Cabre, not,, pi. des Petits-Pères, 9.
DOUANE DE CUATEAI1-ERAYE
Commune de Vigneux et autres, canton de Vil-
leneuve St-Georges, arr. de Corbeil (s.-et-O.) Châ-
teau,parc, bois, terme,terres.Cont.,129h.35 i.env.
A ADJUGER, même sur une enchère, nu la ch. des
notaires de Paris, le mardi 10 juin 1879, midi.
Mise à pr., 350,000 fr. — Facilités de paiement.
S’adr. à M°Chbiirier, not.,r. J.-J.-Rousseau 4.
ACTIONS DE LA COMPAGNIE
GÉNÉRAIS TRANSATLANTIQUE
Le Crédit Général Français,
16, rue Le Peletier, à Paris, vend et
livre immédiatement à ses gui-
chets, dans ses Succursales et dans
ses Agences des départements,
LES ACTIONS
de la Compagnie Générale Transatlantique
AU PRIX DE 585 FRANCS
Coupon de 15 fr. échéant le 2 juillet détaché.
Série officielle des prix de la Ville de
Paris pour IM90.1S80 vient de paraître chez
MM. A. Chaix et C°, éditeurs de cette publica
tion.
„ de la série complète :
Edition avec les sous-détails, broché : 30 francs.
Edition de poche sans les sous-détails, cart. 11 fr.
La série se divise en neuf parties qui corres
pondent aux divers gens de travaux et se ve
dent séparément.
, Adresser les demandes à MM. A Chaix et
éditeurs de la Série officielle de la Ville, rue B__
gere. 20. à Paris.
ASTHME* CATARRHE
fflfa CIGARETTES ESPIC ’JÎSS
Ttatt* lu PfHtraMiu. — Bwét : Ht. ru» ft-Laur». ràris
REGIE DES ANNONCES : 2, RUE FLECIIIKG.
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de Yidouville (Manche), dem1 à Paris, 11,13,15, bd Ornano
W F II H A Afirn ITM^AGI:. TOIl/E'fl'TE, etc.- En Province les JHAC11IIVEH9 à coudre,
M f* §*§ i | fi I O sr 11 B i MACHIIVE® & plisser età tuyauter sont expédiées à moitié payement'.
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s'êst aussitôt portée en masse vers le lieu indiqué
comme giie d’une bête aussi curieuse. Les femmes
étaient en majorité. Mais, le hanneton efbayé par le
bruit, s’est envolé dans la direction de la frontière, A
l’heure où vous mettrez sous presse, il aura quitté la
France.
D’Amiens :
Trompés par la rigueur de la saison, tous les canards
sont devenus sauvages.
De Tours :
On met des rallonges aux ombrelles, pour en faire
des parapluies.
Du Mans :
Par ces temps humides, les rossignols de nos bocages
sont tous « enrliubés du cerbeau »; cela se voit assez
au timbre nasal qu’a pris leur voix.
De Mézières :
L’arrêté sur la prohibition de la chasse en temps de
neige est tout près d’être affiché. Les épreuves du pla-
card sont dans les mains de l’imprimeur qui, d’un
moment à l’autre, recevra ordre de tirer.
De Nancy :
Etant donné l’état de détresse où se trouvent ros
jardins, une marchande de fleurs artificielles a fait
depuis un mois une fortune considérable.
D’Arras :
Un original s’est promené hier dans la ville avec un
pantalon blanc. Il a été arrêté aussitôt ; et il aura à ré-
pondre de son infraction au règlement qui interdit de
so déguiser, passé le temps du carnaval.
Etc.
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du même genre qui nous arriveront... dans le courant
de l’été.
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défense de la Suisse, accusée par la presse moscovite
d’être un foyer de haine contre tous les grands de la
terre, y compris ceux de la Russie.
Dans sa riposte, mondit Nouvelliste dressait le cata-
logue de tous les personnages des monarchies euro-
péennes qui avaient reçu l’hospitalité de la République
helvétique ; et « jamais", ajoutait le rédacteur, il n’a été
touché à un cheveu de leur tête. »
Pour moi, je n’aime guère ces détails de toilette dans
un écrit d’ailleurs bien intentionné, et très patrioti-
que.
Je suis même stupéfait d’apprendre que « d’augustes
voyageurs » partent de chez eux peignés une fois pour
toutes, et traversent la Suisse sans jamais entrer chez
le coi fleur.
Il est vrai que rien n’est difficile comme de tracer
une raie sur la tète d’une personne, ou d’y faire une
friction au quinquina, sans toucher les cheveux, et
ainsi sans exciter la défiance de la presse russe.
Nos journaux ont aussi leurs naïvetés, nolammont
dans le chapitre des annonces portant la rubrique :
Mariages.
On y lit fréquemment qu’un monsieur épouserait
volontiers une demoiselle ou une veuve.
Gomme si le sexe féminin comportait une troisième
variété épousable 1
Ce n’est que quand le divorce sera rétabli que les
j hommes, en quête d’une compagne, pourront faire in-
i sérer dans les feuilles cet entrefilet jusqu’alors pro-
s hibé :
} « On demande à se marier avec une femme mariée. »
Non, voyez-vous, ceux qui so payent, à un franc
vingt-cinq la ligne, une annonce où ils réclament le
cœur d’une demoiselle ou d’une veuve, ceux-là ne font
que satisfaire par écrit un besoin de verbiage.
La même démangeaison tient ces industriels qui
font peindre sur leur enseigne : Déjeuners, Dîners et
Soupers, au lieu de ce mot si'simple : Restaurant.
Je parlais du divorce (la prochaine question brûlante
i des séances du Parlement). C’est le cas de citer un !
| apologue indien que rapporte la Bibliothèque orientale. !
i La scène se passe à la porte du paradis de Brahma. I
| Une àme venue de la terre se présente, et demande à )
1 entrer. Le concierge, qui a des ordres, la questionne : j
— Vous avez passé par le nurgaloire, j’imagine ?
— Pas précisément... Mais je' dois vous avouer que, ;
de mon vivant, j’éiais mariée. j
— Cela revient au même... Entrez !
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i — Et VOUS, qu’est-ce quo vous désirez ?
— Dame! passer aussi.
— Vous avez fait votre temps de purgafoire ?
— Oh 1 oui, allez... J’ai été mariée deux fois 1
— Deux foisl Youlez-vous bien vous sauver i
— Mais... je... vous... Enfin, puisque vous avez bien j
tiré le cordon à l’autre.
— Deux foisl... Allez, petite sotte, et souvenez-vous \
que le paradis n’est pas fait pour les imbéciles !
Albert de Lasalle.
Chemins de fer de l'Ouest. — La compagnie des chemins
de fer de l’Ouest organise, à l’occasion des fêtes de la Pen-
tecôte, des trains de plaisir à prix réduits d’Arques, de Ber-
nay, de Bolbec, de Chartres, de Dieppe, d’Elbeuf, d’Evreux,
de Fécamp, de Gournay, du Havre, de Lisieux, de Louviers,
de Neufcliâtel-en-Bray, de Nogent-le-Rotrou, de Pont-de-
l’Arche, de Rouen, de Vernon, d’Yvetot et des localités com-
prises entre ces villes sur Paris. Ces trains arriveront à Pa-
ris le 1" juin et en repartiront le % et 3.
~-H-----
Chemins de fer de l’Ouest. — A l’occasion des fêtes de la
Pentecôte, train de plaisir de Paris au Havre. Aller et re-
tour : 3' classe, 10 fr. ; 2' classe, 13 fr. Aller : départ de Pa-
ris (Saint-Lazare), samedi 31 mai 1379, à 9 h. 30 soir ; retour :
départ du Havre, lundi 2 juin, à 7 h. 53 soir.
Le gérant : Axtarochk.
PETITE _GAZETTE
Maison du PONT-NEUF. Jaquette alpaga 8r
Application spéciale de verre» gradués
pour toutes les vues fatiguées ou affaiblies.
FISCHER, opticien-oculiste, 7, rue de la Paix.
Vente de 32,000 actions
DE LA
MÉTROPOLE
Compagnie d’Assurances contre l’Incendie
SOCIÉTÉ ANONYME AU
Capital «le 20 MILLIONS de francs
Divisé en 40,000 actions de 500 fr. chacune
(Libérées du quart)
CONSEIL D’ADMINISTRATION
JV1. •/?
» " mimsire ae l agricul-
ture et du commerce, Président.
MM.
BAYVE11 (Ad.), # manufacturier.
G1RAUDEAU (Ad.), de la maison Giraudeau et G0, né-
nociaut.
HENNECART, ancien juge au tribunal de commerce.
MAUGNY (Cte de), $, propriétaire.
OUTREY, C., #, adrninist. de la Société du laurium.
PÉPIN LEILA.LLEUR (R.), propriétaire.
REBOUL, E., tjfc, Direct1, de la G0 d’assurances sur la
Vie l'Atlas.
SAINT, F., négociant.
SAINT ROMAN (Cte de), propriétaire.
WELLES DE LA YALLETTE (Cte), O administrateur
de .a C° des chemins de fer de l’Ouest.
Directeur :
M. L. COLOMBET, ancien directeur-adjoint de la
Compagnie d assurances contre l’incendie la France.
Ces actions mises en vente par le groupe des fonda-
teurs de la Compagnie, sont offertes'au public au prix
de 725 fr., soit en déduisant les 375 fr. non versés :
350 francs net à payer
comme suit :
ÎOO fr. en faisant la demande.
250 fr. au 1er juillet au moment du transfert des
LES DEMANDES D’ACTIONS SONT REÇUES
Les 5 et 6 juin
A Pabis : A la Société Générale, 54, rue de Pro-
vence, et dans les bureux de quartier.
En Pbovince : Dans toutes les succursales de la
Société Générale, et chez ses correspondants.
On peut dès maintenant transmettre des demandes
d’actions par lettres chargées, adressées à la Société
Générale, à Paris, ou à l’une de ses succursales.
En cas de réduction, la répartition sera proportion-
nelle aux demandes.
L.0 Prospectus et les Statuts sont tenus à la disposition de
toute personne qui en fera la demande.
la cote officielle sera demandée.
Paris. — Imprimerie J. Yoisvenel, 24, rue Chauchat.
AVIS
Vient de paraître la 2* Édition du Splendide
Catalogue général illustré (ÉTÉ 1879) :
(Habillements pour Hommes
jeunes (Gens s (Enfants
Costumes ir Communion
SONNETERIE — CHEMISES — CHAPELLERIE —CHAUSSURtS
Extrait du Catalogue général :
LE SUCCÈS
Splendide
Habillement1
complet
en drap, belle
Nouveauté
d’Elbeuf
f
LE REUSSI
Yeston Alpaga i tr\f
entièrement 111
doublé 1
!n; COMMUNION
Costume complet | § f
drap noir fin 1 TT
L’UNIVERSEL
Vêtement compl. b ^ f
en coutil 1 f 1
irrétrécissable 1 ÙL
COSTUMEcompiet
Coutil fantaisie of
pour eufants / ‘
de 3 à 8 ans. «40
Pour recevoir le Catalogue général franco, adresser
les demandes à M. GABRIEL, directeur des
PHARES» BASTILLE
IF^IRIS
Expédition en province et à l’Étranger.
fiDE PR0.P™S2r l'OI'IMUIIIT
rue Folie-Méncourt, 22, propre à l’industrie.Rev.
brut, 21,700 f.—M. a px, 350,000f.—A ADJ”, srime
ench. en la ch. des not.de Paris, le 3 juin 1879, prM°
Legay, 82,r. St-Lazare, dép. del’ench.et sries lieux.
r H* ICONS, près la gare de Passy, Bd Mont-
t) lllAlumorency,2f,2lbiset21 ter,AADJUGER,
s’une ench. en 3 lots, en la ch. des not. de Paris,
le 3 juin 1879. M.àpr.:n121,452I"40c. E2,000f.n°21 bis,
2,162m92c., 130,000 f.;n°21 ter, 429m58c. 58,000 f.S’ad.
sr les lieux et àM« Legay, notaire, r. St-Lazare, 82.
HOTEL AVENUE DTÜA.53, —S,.
écuries pour 20 chevaux. (Superficie, 1,178 met.)-
CHATEAU etTERREde YILLEQEIEIt
(Seme-Inf">). Mise à prix de chaque lot, 400,000 f-
A adj uger, sr une ench., en la ch. des not. de Paris,
le 1er juillet 1879,parM°Bazin, aven, de l’Opéra,27.
I |ON sur une ench. en la ch. des notaires de
ADJ Paris, le 17 juin 18-79, en deux lots :
II A IC11tltl à PARIS, rues de Sèvres, 49, et Dupin,
JÎJAIiJuil 2. Rev. 7000 fr. — Mise à pr. 70,000 l’r.
Il I A -41 neuve à PARIS, r. Belfort, 17 (11° arr.,
illAISl'iï Rev. 7,120 fr. — Mise à pr. 80,000 fr.
S’ad. à M° Cabre, not,, pi. des Petits-Pères, 9.
DOUANE DE CUATEAI1-ERAYE
Commune de Vigneux et autres, canton de Vil-
leneuve St-Georges, arr. de Corbeil (s.-et-O.) Châ-
teau,parc, bois, terme,terres.Cont.,129h.35 i.env.
A ADJUGER, même sur une enchère, nu la ch. des
notaires de Paris, le mardi 10 juin 1879, midi.
Mise à pr., 350,000 fr. — Facilités de paiement.
S’adr. à M°Chbiirier, not.,r. J.-J.-Rousseau 4.
ACTIONS DE LA COMPAGNIE
GÉNÉRAIS TRANSATLANTIQUE
Le Crédit Général Français,
16, rue Le Peletier, à Paris, vend et
livre immédiatement à ses gui-
chets, dans ses Succursales et dans
ses Agences des départements,
LES ACTIONS
de la Compagnie Générale Transatlantique
AU PRIX DE 585 FRANCS
Coupon de 15 fr. échéant le 2 juillet détaché.
Série officielle des prix de la Ville de
Paris pour IM90.1S80 vient de paraître chez
MM. A. Chaix et C°, éditeurs de cette publica
tion.
„ de la série complète :
Edition avec les sous-détails, broché : 30 francs.
Edition de poche sans les sous-détails, cart. 11 fr.
La série se divise en neuf parties qui corres
pondent aux divers gens de travaux et se ve
dent séparément.
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éditeurs de la Série officielle de la Ville, rue B__
gere. 20. à Paris.
ASTHME* CATARRHE
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REGIE DES ANNONCES : 2, RUE FLECIIIKG.
GRESPIN AINE
de Yidouville (Manche), dem1 à Paris, 11,13,15, bd Ornano
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