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Le charivari — 58.1889

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Mai
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https://doi.org/10.11588/diglit.23883#0524
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LE CHARIVARI

On rencontre au Salon le gros financier X..., qui,
quoique riche, ne s’est jamais, jusqu’à présent, soucié
d’art ni de peinture, et qui professait, au contraire, pour
tous les barbouilleurs de toiles, sans exception, le plus
souverain et le plus brayant mépris.

Et voici que, ô miracle ! on le rencontre au Salon tous
les jours, visitant scrupuleusement toutes les salles, de
A à Z, examinant longuement tous les tableaux, et pre-
nant fébrilement des notes sur son petit carnet d’homme
d’affaires.

— Ah! çà, lui dit-on enfin, est-ce que par hasard,
par un impossible hasard, vous vous décideriez à ache-
ter quelque chose ici et à vous monter une galerie ?

— Hélas ! répond le gros homme avec un soupir en-
core plus gros que lui, il le faut bien ! C’est pour mai-
grir : le médecin m’a ordonné les croûtes !

Dialogues contemporains.

Une douairière du faubourg Saint-Germain est en

grande conversation avec sa demoiselle de compa-
gnie.

Il paraît qu’un mécréant de fournisseur a manqué de
respect à la noble dame, en lui envoyant, un peu plus
tôt qu’il ne fallait, une note acquittée.

Et la demoiselle de compagnie en est toute suffo-
quée :

— Traiter ainsi une personne comme vous! Vous
n’étes cependant pas la dernière venue !...

■—Malheureusement non, réplique la vieille. Car, si
j'étais la dernière venue, je serais plus jeune !

Henri Second.

BOURSE-EXPRESS

On ne fait toujours pas grand’chose : c’est la chaleur
qui veut cola. Mais attendez que la liquidation soit ter-
minée, et vous verrez si on ne reprend pas !

Pour le comptant, c’est déjà fait. Les diminutions de
la fin de la semaine dernière ont produit une très bonne
impression sur l’esprit de l’épargne : celte fleur, brûlée
par tous les feux de la hausse, est rafraîchie mainte-
nant et renaît sous la petite averse de réalisations qui,.,
que... Enfin, le comptant, qui trouvait les cours de la
semaine dernière bons pour vendre, trouve que les cours
actuels sont bons pour acheter.

Et quand le comptant est dans ces dispositions-là, ce
que les vendeurs en spéculation ont de mieux à faire,
c’est de se replier en bon ordre. Ainsi feront-ils. Aux
prix où on est, mieux vaut être acheteur que vendeur
fin courant.

CI

Casiorine.

Goûlcz et comparez le Rhum Jackson, se vend partout-

Paris — Alcan-Lévy, imprimeur breveté, 24, rue Chauchat

BAJSrQXTE

PARIS ET DES PAYS-BAS

RAPPORT

Présenté par le Conseil d'administration

DANS

L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ORDINAIRE

du 3 Mai 1889

Messieurs,

Conformément aux articles 24 et36 des Statuts,
nous vous avons réunis en Assemblée ordinaire
pour vous exposer la situation de notre Société
et vous en soumettre les comptes au 31 décembre
dernier.

L’Exercice 1888 a été favorable au développe-
ment de notre activité. Les résultats que nous
vous présentons accusent des augmentations no-
tables dans toutes les branches de nos opéra-
tions.

Dans le premier semestre, nous avons donné
notre concours pour l’introduction en France de
de l’Emprunt 6 0/0 de la République de l'Uru-
guay, présenté au public anglais par MM. Baring
frères et Cie. Nous avons pris part successive-
ment à plusieurs opérations financières à l’Etran-

fer, notamment au placement de diverses valeurs
résiliennes et argentines, à la conversion de la
Dette norvégienne, etc. Ces participations sont
soldées avec un résultat satisfaisant.

Au mois d’aoùt, nous avons émis à Paris, ainsi
que dans nos trois succursales en Belgique, en
Suisse et en Hollande, 112,000 obligations 5 0/0 de
la Compagnie Française des Chemins de fer Ar-
gentins. L’émission a eu un succès complet ;

14,000 souscripteurs ont demandé plus de un mil
lion de titres et la valeur n’a cessé d’ètre appré-
ciée sur le marché. Cette affaire a contribué, pour
une bonne part, aux résultats favorables dont
nous vous rendons compte. La Compagnie des
Chemins de fer Argentins a traité à forfait avec
la Compagnie de Fives-Lille pour la construction
de son réseau et la fourniture de tout le matériel
roulant. C’est la première ligne, dans la Républi-
que Argentine, duin ut cunstriictiou .-oit conli e
des entrepreneurs français. Nous avons été lie.i-
reux daider notre industrie à s’établir clans un
pays où tant de travaux sont encore à exécuter.

Le fait le plus important de l'Exercice est la
eonclusion des négociations que nous avions, dès
le mois d’octobre, engagées directement avec le
gouvernement impérial de Russie pour l’émission
d’un Emprunt 4 0/0 au capital nominal de 500 mil-
lions destiné principalement à rembourser les
titres d’une dette de 5 0/0 contractée en 1877.
Nous avons signé le contrat à Saint-Pétersbourg,
le 17 novembre, conjointement avec les principaux
Etablissements de crédit français et les plus im-
portantes maisons des places étrangères. La sous-
cription publique a été ouverte, le 10 décembre,
en France, en Russie, en Angleterre et en Hol-
lande,

L’épargne française, qui n’avait pas été appelée
dep'iis nombre d’années à s’intéresser aux valeurs

rusnes, a manifesté sa confiance et ses sympa-
thies en faisant un accueil presque sans précédent
au nouvel emprunt, qui a pris sa place dons tous
les portefeuilles, même les plus modestes. Sur un
million de titres dont se composait l’emprunt, les
porteurs de la Dette 5 0/0 1877, qui avaient un
droit de préférence, ont absorbé 310,000 obliga-
tions. Les souscriptions contre espèces, en Rus-
sie, en Hollande et en Angleterre, se sont élevées
à 228,000 obligations, tandis qu’en France les de-
mandes, centralisées aux guichets des principales
Sociétés de crédit, atteignaient le chiffre de

2,563,000 titres. La répartition à raison de 22 1/2
pour cent, a attribué aux souscripteurs hors de
France 60,000 titres, et aux souscripteurs en
France 600,000 titres qui ont été divisés entre
110,824 souscripteurs cfifférents, soit moins de
6 obligations par souscripteur.

La Banque de Paris et des Pays-Bas a été
chargée, aux termes du contrat, de correspondre
avec le ministère des finances, et de centraliser
toutes les opérations auxquelles a donné lieu

l’emprunt, mouvements de fonds et de titres,
comptabilité, etc.

Nous n'avons prélevé, au profit de l'Exercice
1883, aucune portion des bénéfices réalisés, soit
comme commission de placement, soit comme
participation, dans l’importante opération de l'em-
prunt russe. Tous les résultats reviendront à
l’année en cours.

Nos trois succursales n’ont cessé de nous don-
ner un concours utile pour le classement des va-
leurs auxquelles nous nous sommes intéressés.
Gomme opérations spéciales, nous avons effectué
à Bruxelles, le placement des obligations 3 0/0
de la Compagnie des Chemins de fer Guillaume-
Luxembourg, et, à Genève, nous avons fait avec
succès, conjointement avec les principales mai-
sons do la Suis-e. une émission d’obligations
4 0/0 du Crédit foncier Franco-Canadien.

Bien que nous n’ayons à vous entretenir ici que
des faits se rattachant à. l'Exorcice 1888, nous
croirions ne pas répondre à votre attente si nous
ne vous parlions pas des événements graves qui
se sont produits sur notre marché pendant le pre-
mier trimestre de cette année et des conséquences
que ces événements peuvent avoir pour notre So
ciété.

Nous avons, tout d'abord, â vous faire connaî-
tre que, par un prélèvement sur les bénéfices réa-
lisés, nous avons amorti, fin décembre, et porté
pour 1 franc dans notre inventaire tous les titres
et engagements directs que la Banque avait dans
les valeurs de cuivre Nous ne sommes plus en-
gagés, aujourd’hui, que comme préteurs sur war-
rants de cuivre. La totalité de nos avances, dont
la plus grande partie date du mois de janvier, ont
porté sur 12.490 tonnes environ, pour une somme
un peu inférieure à 15 millions. La baisse surve-
nue en mars a fait disparaître en quelques jours
la marge de 30 à 35 0/0’ qui avait cto considérée
comme suffisante pour me les prêteurs à l'a-
bri de tout risque. Les cours actuels laisseraient,
en cas de réalisation immédiate, une perte do
3 millions environ, perte qui serait atténuée par
l’exercice des droits que nous aurions à faire va-
loir cintre les emprunteurs. Vau; verrez plus loin
que, pour le cas ou cette éventualité se produi-
rait, les bénéfices reportés au profit de l’Exercico
en cours représentent une somme équivalente.

Dès les premiers symptômes do l’ébranlement
qui se produisit sur notre marché, nous n’avons
pas hésité à intervenir pour empêcher une catas-
trophe imminente. Nous nous sommes adressés,
au nom de l’intérêt général, à quc'fjues Maisons
qui ont largement répondu à notre appel et, en
les groupant autour de nous et sous notre nom,
nous avons fait, au Comptoir d'Escompte de Pa-
ris, pour compte commun, les avances sur titres
mentionnées dans te Rapport des Administrateurs
provisoires de cet Etablissement. L’aide donnée
par nous et par nos amis a permis d’attendre les
mesures de salut qui ont été prises, le lendemain,
sous le haut patronage de la Banque de France.
Nous nous sommes naturellement associés, avec
les principales Sociétés et Maisons de la place,
à la combinaison qui a permis d'arrêter la crise
et d’en limiter les conséquences. Les conclusions
du Rapport des Administrateurs provisoires du
Comptoir d’Escompte démontrent que les suites
du concours que nous avons cru de notre devoir
de donner ne laisseront pas de mécomptes.

Vos commissaires vous fournissent, sur les diffe
rents chapitre du Bilan au 31 décembre dernier,
dos renseignements précis auxquels nous ne
voyons rien à ajouter.

L’augmentation de 133 millions que présente le
relevé général des comptes provient principale-
ment du grand mouvement de fonds qu'a entraîné
ta centralisation entre nos mains de toutes les
opérations relatives à l'Emprunt Russe sur les
diverses places de l’Europe

En abordant l’examen du cor . Profits et

Pertes, nous vous signalerons. ; . « nier lieu,

la progression constante des ■ .il- obtenus
dans les six dernières années

L’Exercice 18S3 a laisse J'

— 1884

— 1885

— 1886

— 1887

— 1888

F';

/’i o o.ot h

■i,2;.v;,0n0

4.324.000

5.055.000

5.910.000

6.623.000

7.398.000 •

Au crédit, nous trouvons, dans ie Compte Com
mission, s’élevant à 1.200,0(0 francs, une aug-
mentation de 287,000 francs sur 1887 : ce comple
présentait déjà, alors, un accroissement de 278,000
francs sur 1886. Le chiffre de 1,200,900 francs est
le chiffre le plus élevé obtenu depuis huit ans.

Les deux Comptes Intérêts et fit* ports, qui

représentent le produit des capitaux dont nous
disposons, déduction faite des intérêts payés à
des tiers, sont également en progrès sur l'année
précédente. — 4,251,000 francs au lieu de 3,302,000
francs. Le capital dont dispose le Siège social, y
compris les réserves, étant de 71 millions environ,
déduction faite du fonds de roulement affecté aux
trois succursales, le bénéfice de 4,251,000 francs
correspond à un intérêt de 5,70 0/0 environ.

Le bénéfice du compte Fonds publics, Ac-
tions et Obligations, malgré un prélèvement de

1,078,000 francs, dont nous allons vous parler,
s'élève à 1,094,000 francs, soit une augmentation
de 347,000 francs sur 1887. Le chiffre de 1,094,000
francs est le bénéfice net obtenu en sus de l'in-
térêt fixe de 5 0/0, que nous prélevons sur le ca-
pital que représentent les valeurs possédées par
ia Banque. C’est dans ce chapitre des Fonds Pu-
blics que se trouve le résultat de notre participa-
tion dans les diverses opérations financières aux-
quelles nous avons donné notre concours.

Vous savez sur quelles bases est faite, depuis
l’origine de notre Société, l’estimation de nos di-
verses valeurs. Nous avons appliqué ces bases
de manière à ne laisser, même après la crise du
mois de mars, que dos prévisions favorables pour
le nouvel Exercice.

La situation des valeurs qui composent le Por-
tefeuille Industriel continue de s’améliorer; la
plupart d'entre elles commencent à entrer dans
la période productive.Un prélèvement de 1,078,000
francs a été effectué sur les bénéfices des Fonds
publics pour réduire le Portefeuille Industriel,
dont le montant a été ramené à 9,191,000 francs.

Le bénéfice net de nos trois Succursales s'é-
lève, y compris l’intérêt à 5 0/0 sur le capital
affecté à leurs opérations, à 853,000 francs. C'est
une diminution de 507,000 francs sur l’année pré-
cédente, diminution qui s’explique par le fait
qu’aucune opération exceptionnelle n'a accru te
produit des transactions ordinaires.

Si nous passons au débit du compte de Profits
et Pertes, nous remarquerons que les frais de
toute nature sont restés dans les mêmes limites
que l'année précédente.

Après payement de toutes les charges, le pro-
duit net de l’Exercice est de Fr. 6 358 448 20

En pi «levant sur cettte somme au
profit de la Réserve légale, qui se
trouvera ainsi portée à 6,250,000 fr.,
soit au dixième du capital social
(art. 50 des statuts) . ..145 000 »

Vous connaissez M. Sautter comme nous;vonj
savez son dévouement à vos intérêts et ses efforts
incessants pour lo développement de la prospé-
rité delà Banque. Nous n’avons donc pas à insis-
ter sur les considérations qui ont décidé le C®.
seil.

La situation qu’occupent dans le monde dos af-
faires M. le cemte de Germiny et M. Demachy est
un sûr garant des services qu’ils rendront ils
Banque.

C’est donc avec une entière confiance que nous
vous demandons aujourd’hui de confirmer nos
choix.

MM. H. Bambergeii et J. Stern, réélus Adminis-
trateurs dans l’assemblée générale du 10 mai 1883,
arrivent à l'expiration do leur mandat. Conformé-
ment à l’article 20 des statuts, les Administrateurs
sortants sont rééligibles.

L’adjonc-tion de trois nouveaux Administrateurs
dont nous venons de vous entretenir portait à dix
le nombre des membres du Conseil ; aujourd'hui,
ce nombre est réduit à neuf.

il reste disponible une somme de Fr. 6 213 448 20
qui permet de fixer te dividende à 40 francs par
action , soit 8 0/0 du capital, en laissant
1,005,115 fr. 29 c., au compte des bénéfices re-
portés à l'Exercice en cours, compte qui sera, par
;e fait, porté à 3,023,674 fr. 49 c.

Les sommes, successivement prélevées sur les
Bénéfices annuels et maintenues à la disposition
Je la Banque, ■— Réserve légale, fonds de pré-
voyance et bénéfices non répartis, — se trouve-
ront ainsi, si vous voulez bien approuver nos pro-
positions, accrues de 1,150,030 francs, soit

22,416,000 francs au lieu de 21,296,000 francs.

Au cours de l'année 1SSS, la mort nous a enlevé,
dans ta personne de M. Duclerc, un collègue
profondément dévoué aux intérêts de notre So-
ciété, et qui, par l’élévation de son caractère et la
sûreté de ses relations, s’était acquis toute notre
sympathie. II était entré à la Banque on 1876 et
t’avait momentanément quittée pour occuper la
haute situation de Président du Conseil des Mi-
nistres, mais il était fidèlement revenu parmi
nous. M. Duclerc nous a laissé des regrets que
vous partagerez certainement.

Par suite de ce vide, le Conseil d’administration
ne comptait plus que sept membres ; nous avons
pensé qu’il ne pouvait que gagner en lumières et
en autorité en s’adjoignant trois nouveaux mem-
bres. C’est dans cet ordre d’idées, et en nous con-
formant aux dispositions des articles 18 et 20 des
Statuts, que nous avons appelé à siéger provisoi-
rement au Conseil :

M. Charles Sautter, qui, avec le titre d’Admi-
nistrateur-Directeur, conserverait les fonctions
qu’il remplit dans la Banque depuis la date de sa
fondation ;

M. le comte Adrien de Germiny, Administrateur
du Chemin de fer du Nord, de la Banque Otto-
mane et de la Compagnie d’assurances la Natio-
nale, ancien trésortsr-payeur général à Rouen et
Régent de la Banque de France ;

M. Charles Demachy, un des chefs de la maison
Demachy et F. Scillière, Administrateur de la
Compagnie des Chemins de fer Autrichiens et de
la Société des Chargeurs-Réunis.

En effet, dès les premiers jours du mois dt
mars, M. Hentsch nous avait annoncé l’intention
de résigner ses fonctions ; nous l’avions alors en-
gagé à ajourner toute décision. M. I-Ientsch nous
ayant fait savoir récemment que sa résolution
était définitive, nous avons dû accepter sa dé-
mission, avec le regret de voir cesser une colla-
boration toujours dévouée et qui datait do la
fondation même de la Société.

C’est dans ces mêmes conditions et avec te
mêmes regrets que nous avons dû enregistrerla
démission de MM. Thomas et Berthier, Censeurs.

Le Comité de Censure se trouvant tout entier
démissionnaire, nous vous invitons à désigner di-
rectement un Censeur qui s’adjoindra, dans les
concluions déterminées par les Statuts, un n -
plusieurs collègues, dont ia confirmation sen /
soumise à votre prochaine réunion.

Nous soumettrons à votre approbation, après
■ i lecture du Rapport de MM. ’os Commissaires,
les résolutions dont le texte vous a été remis i
votre entr o dans cette salle.

RESOLUTIONS

Volées par VAssemblée générale ordinain

du 3 Mai 1889

EXTRAIT DU PROCÈS-VERBAL

Après la lecture clos Rapports qui précèdent,te
propositions qui étaient à l’ordre du jour sont»
cessivement mises aux voix et adoptées.

Première Résolution

L'Assemblée générale, à l'unanimité,

Approuve dans toutes leurs parties le Rapport
et les Comptes de l’Exercice 1888, tels qu’ils s®

présentés par la Conseil d’administration, et lis
à 40 francs par action le montant du dividenne
pour cet Exercice.

Un acompte de 20 francs sur le dividende ày®j
été payé le 1er Janvier dernier, le solde, soit w

francs par action, sera payé à partir du 1" Jette1
issu :_/ i, 1 ;... jci

1889, sous déduction des impôts établis par
lois de Alliances.

Deuxième Résolution

L’Assemblée générale léolit, à runttnifflité,
M. H. Bambebger, M. J. Stern, administrateur!

- Troisième Résolution

L’Asskmbi.ée générale, à l’unanimité, aonft**
les nominations faites à titre provisoire par
Conseil (art. 20 des Statuts) :

M. Ch. Sautter, administrateur pour trois ans,
en remplacement de M. E. Duclerc, décède;

M.. le comte A. de Germiny, M. Ch. DeMACb.i
administrateurs pour six ans.

Quatrième Résolution
L’Assemblée générale, à l’unanimité, nomme-
M. Choppin de Janvry, censeur.

Cinquième Résolution
L’Assemblée générale, à l’unanimite, M®® '

M. E. Leviez et M. I. Salles, commissaires
ort à la ]

Société, sur le Bilan et sur tes Comptes

M. I. Salles, . As.
chargés de faire un Rapport à la ctfon de la

UO UlllU Ull ivappui b <* “v A., (

semblée générale ordinaire sur la sl("“ ,

par les Administrateurs pour l’Exercico n»», _
avec faculté, pour chacun des deux Commissaires,
d accomplir seul le mandat ci-dessus, en casdem
pêchement de son collègue pour une cause qu®1'
conque.

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