^CIEr
VNG. '
: vend
Partout.
lux' Bordeaux
samncre aux
ant Usago de
te, on recevra
P°ur faire So?
Pensable aux
aD(3s services
né°PU^res S
née d’une dé-
6 soude ou de
,res> '0 fr.; de
me Richelieu
■rrb Véron.
r"« Chanchat
CINQUANTE-HUITIÈME année
\1îON N E M E Ni T S
PARI S
g>X IL1"’ 70 _
|iji an.
_u!j0llIlemenls varient des t" el 10 de chaque mois
direction
Politique, Littéraire et Artistique
l'ililtllli VÉItON
Rédacteur en C h e f
BUREAUX
pjS LA RÉDACTION BT DE L’ADMINISTRATION
Rue de la Victoire, WiO
LE
ibunal civil
^ai I875
PRIMES POUR 1890
et invisible
b
sfuttiesansen avoir
lDiQESTiP.asanlé-
9,pour ses Liqueurs.
le Charivari, comme les années précédentes, s’est mis
mesure d’offrir à ses abonnés une attrayante collectio 1
jj prîmes dont voici la nomenclature :
PRIMES GRATUITES
OFFERTES AUX ABONNÉS D'UN AN SEULEMENT
Tout abonnement d’UN AN, FAIT D'UNE SEULE FOIS ET
qNS INTERMÉDIAIRE, donne droit à une des trois primes
filuiles suivantes :
!» le PETîT joubnâl pour rire
PARAISSANT TOUTES LES SEMAINES
Huit pages de texte et de dessins comiques, 52 numéros par an
r TROIS VOLUMES A CHOISIR
DES
CAMES GAILLARDS ET NOUVELLES PARISIENNES
Collection illustrée composée de douze volumes, format
ji-12, imprimés avec grand luxe sur papier vélin teinté, titre
Mge et noir, couverture en bronze vert et couleurs, vendue au
B de B FRANCS LE VOLUME.
Meunier. Chair à plaisir. Illustr. de A. Fepdinandus —
ifauc. Joyeux Devis. 111. de Le Natur. — Maizrroy Le
Iil d'aimer. III. de Courboin. — Maizeroy. Mire LonLa.
III,4e Jeanniot — Meunier Miettes d’Amour 111. de A.
fiRDiNANDUS — Brio. Chattes et Renards 111. de Japhet —
Sii.vestrk. Le Péché d’Eve. III. de Rociiegrosse. — Flirt.
irai Larcins. IIl.de Le Natur. — Bio. A Huis Clos III.
Marris Perret — Meunier. Baisers tristes. III. de R.-V.
Meunier. — Thilda. Pour se damner. 111. de IIenriot. —
O’Cmtin (W.). Peine de Cœur. Illustr. de Elzingre.
MIS PRIMES EXCEPTIONNELLES
OFFERTES A TOUS LES ABONNÉS ET LECTEURS
I LES DIAMANTS AMÉRICAINS
(Rock Spring Diamonds)
Ces pierres, Irès appréciées aux Etats-Unis, introduites
* France depuis l’Exposition, remarquables pour leurs
«naturels, sont 1 aillées comme les véritables diamants
«montées à jour,
suite d'un traité avec la maison qui représente à
:iris les Diamants américains, Le Charivari offre à tous
^abonnés et lecteurs, au prix de
2 O francs iu lieu de 5 O francs
Soit
Mue paire de boucles d'oreilles
Soit
Uue éping|e en diamants américains
monture en on
'Situant un charmant cadeau d’étrennes,
avec chaque demande un mandat de 20 fratlcj
5un franc pour recivoir franco à domicile).
au traité passé avec la grande Maison d’édition mu-
1 mesnvo tllr?tre^ flleugel éditeur), le Charivari s’est mis
e tloürir à ses lecteurs et abonnés :
morceaux (Valses, Quadrilles, Polkas, Msz
'brbach**S’gnés des noms populaires d’Arbar, J. Strai
1 AlbumoI?USiet’ Gung’l, Bullini, Mirecki, etc., etc.
est ollert par le Charivari au prix de
tout a la danse
MAGNIFIQUE ALBUM
fPclUCS au lieu de
ler 1 lr. 50 pour le porl.)
30 francs
Prix du Numéro : 25 centimes MERCREDI 18 DÉCEMBRE 1889
ABONNEMENTS
DÉPARTEMENTS
Trois mois. 20 l'r.
Six mois... 40 —
Un an. 80_
l'abonnement d’un an donne droit à la prime gratuite
DIRECTION
Politique, Littéraire et Artistique
iMIÏlUllî VlillOA
U é (I a c I c 111* eu Chef
ANNONCES
ADQLFHE EWIG, fermier de i.a publicité
S2, Rue Richelieu
CHARIVARI
Le vole émis par les droites, à propos des fonds se-
crets, a une signitîcalion très importante.
Traduction libre :
— Ça se décolle.
La droite, en effet, s’est montrée tergiversante d’a-
borJ, puis elle s’est séparée en trois.
Donne occasion, si M. Routier était encore de ce
monde, pour rééditer sa célèbre théorie des trois
tronçons.
Le tronçonnage, par malheur, û’a jamais fait d’effet
que comme ligure de rhétorique.
Coupez en trois un serpent, il sera fortement in-
commodé.
C’est, je crois, le cas de la droite actuellement.
Elle espérait se glisser serpenlinement à travers
les obstacles. La voilà, du premier coup, arrêtée.
Il y a eu quelques intransigeants.
Il y a eu des abstentions
Il y a eu des transigeants.
Triple scission.
Ce sont les transigeants qui, si je ne m’abuse, fe-
ront prochainement école. On sent d s craquements
précurseurs.
Dame! il y a si longtemps que les droitiers ambi-
tieux attendent sous l’orme !
Ils ont bien le droit de se dire :
— C’est métier de dupe ; mieux vaut tenir que de
courir.
Et ils se le disent, n’en doutez pas.
Il y en a qui se le sont déjà dit.
Quel accueil doit-on leur faire?
Ils savent si bien, par expérience, à quel point la
monarchie est impuissante, qu’il n’y a pas à craindre
de t'ahison après la conversion.
Pourquoi joueraient ils de mauvais tours à la Ré-
publique, si la République leur fait bonne mine?
C’est peut-être le plus sage.
Tout en se rappelant, bien entendu, que méfiance
est mère desûreté, et en observant du coin de l’œil
ces nouveaux alliés.
On a toujours le droit de tenir les déserteurs en
surveillance.
Pierre Véron.
1?Gia ns
A LA PETITE SEMAINE
lui
Un homme vient de mourir dont le nom a remué
en moi un monde de souvenirs et de pensées.
Cet homme, c’est le marquis de Caux.
Ahl qu’elles sont lointaines, les impressions qui se
réveillent !
J’étais fillette. C’était le moment où la marquise
se sépara brusquement de son mari.
La marquise!... Comment a-t-elle jamais pu avoir
l’ambition de se faire appeler ainsi, quand elle était
déjà pour le monde entier la Patti 1
N’était-ce pas aspirer à descendre?
Je n’ai jamais compris, pour ma part, ce besoin
d’être quelque chose lorsque l’on a la chance d’être
quelqu’un ou quelqu’une.
La noblesse, qu’est-ce que cela à côté de la célé-
brité?
Bien souvent j’y ai songé depuis, et la chose est
devenue d’autant plus inintelligible, que le dénoue-
ment, à la suite, l’embrouilla encore davantage.
rW*
c/|\j
Ce dénouement, je n’ai pas à le rappeler.
Tout d’un coup, départ à deux. Puis procès. Pois
divorce, pour aboutir à être, en secondes noces, ta
femme du ténor Nicolini.
Je n’ai pas — les femmes doivent avoir l’esprit de
corps — je n’ai pas à apprécier ces variations fémi-
nines. Mais ce qui m’a toujours paru être un curieux
sujet d’étude, ce sont les sensations contradictoires
par lesquelles put bien passer M. de Caux à travers
ces vicissitudes inattendues.
Etonnant I II n’y paraissait guère. On peut presque
dire qu’il n’y paraissait pas du tout.
Cet automne encore, je le regardais aux courses
de Longchamps,
Il avait épaissi légèrement, mais il avait gardé la
même impassibilité égayée par un sourire vague.
Son lorgnon, incrusté dans l’œil, suivait avec le
même intérêt les évolutions des feuilletées qui cir-
culaient autour de lui. Et si quelqu’une manifestait
à sa vue quelque curiosité, il y paraissait toujours
sensible.
C’était, évidemment, un philosophe.
JÎV»
Autrement, combien aurait dû lui paraître cruel ce
revers de médaille conjugale !
Comme il aurait eu à faire d’amères réflexions sur
les retours des choses d’ici-bas !
Et avec cet ordre d’idées, nous entrons dans les
considérations générales qui m’ont souvent intri-
guée.
Je me suis souvent demandé comment un homme
peut s’exposer aux risques de ce rôle si difficile à
jouer ? Le rôle de m ri d’actrice 1
Il y a des exceptions heureuses, je le sais. Je vous
en citerais moi-même, et je les félicite.
Il n’en est pas moins vrai que la règle générale
crie :
— Ne passez pas par là.
D’abord, si j'étais homme, je serais férocement ja-
loux.
Et rien qu'à la pensée que chaque spectateur ou
auditeur me prend quelque chose de l’aimée, j’arri-
verais au paroxysme de la révolte.
Même comme maîtresse, la femme de théâtre me
paraîtrait un instrument de supplice atrocement per-
fectionné.
VNG. '
: vend
Partout.
lux' Bordeaux
samncre aux
ant Usago de
te, on recevra
P°ur faire So?
Pensable aux
aD(3s services
né°PU^res S
née d’une dé-
6 soude ou de
,res> '0 fr.; de
me Richelieu
■rrb Véron.
r"« Chanchat
CINQUANTE-HUITIÈME année
\1îON N E M E Ni T S
PARI S
g>X IL1"’ 70 _
|iji an.
_u!j0llIlemenls varient des t" el 10 de chaque mois
direction
Politique, Littéraire et Artistique
l'ililtllli VÉItON
Rédacteur en C h e f
BUREAUX
pjS LA RÉDACTION BT DE L’ADMINISTRATION
Rue de la Victoire, WiO
LE
ibunal civil
^ai I875
PRIMES POUR 1890
et invisible
b
sfuttiesansen avoir
lDiQESTiP.asanlé-
9,pour ses Liqueurs.
le Charivari, comme les années précédentes, s’est mis
mesure d’offrir à ses abonnés une attrayante collectio 1
jj prîmes dont voici la nomenclature :
PRIMES GRATUITES
OFFERTES AUX ABONNÉS D'UN AN SEULEMENT
Tout abonnement d’UN AN, FAIT D'UNE SEULE FOIS ET
qNS INTERMÉDIAIRE, donne droit à une des trois primes
filuiles suivantes :
!» le PETîT joubnâl pour rire
PARAISSANT TOUTES LES SEMAINES
Huit pages de texte et de dessins comiques, 52 numéros par an
r TROIS VOLUMES A CHOISIR
DES
CAMES GAILLARDS ET NOUVELLES PARISIENNES
Collection illustrée composée de douze volumes, format
ji-12, imprimés avec grand luxe sur papier vélin teinté, titre
Mge et noir, couverture en bronze vert et couleurs, vendue au
B de B FRANCS LE VOLUME.
Meunier. Chair à plaisir. Illustr. de A. Fepdinandus —
ifauc. Joyeux Devis. 111. de Le Natur. — Maizrroy Le
Iil d'aimer. III. de Courboin. — Maizeroy. Mire LonLa.
III,4e Jeanniot — Meunier Miettes d’Amour 111. de A.
fiRDiNANDUS — Brio. Chattes et Renards 111. de Japhet —
Sii.vestrk. Le Péché d’Eve. III. de Rociiegrosse. — Flirt.
irai Larcins. IIl.de Le Natur. — Bio. A Huis Clos III.
Marris Perret — Meunier. Baisers tristes. III. de R.-V.
Meunier. — Thilda. Pour se damner. 111. de IIenriot. —
O’Cmtin (W.). Peine de Cœur. Illustr. de Elzingre.
MIS PRIMES EXCEPTIONNELLES
OFFERTES A TOUS LES ABONNÉS ET LECTEURS
I LES DIAMANTS AMÉRICAINS
(Rock Spring Diamonds)
Ces pierres, Irès appréciées aux Etats-Unis, introduites
* France depuis l’Exposition, remarquables pour leurs
«naturels, sont 1 aillées comme les véritables diamants
«montées à jour,
suite d'un traité avec la maison qui représente à
:iris les Diamants américains, Le Charivari offre à tous
^abonnés et lecteurs, au prix de
2 O francs iu lieu de 5 O francs
Soit
Mue paire de boucles d'oreilles
Soit
Uue éping|e en diamants américains
monture en on
'Situant un charmant cadeau d’étrennes,
avec chaque demande un mandat de 20 fratlcj
5un franc pour recivoir franco à domicile).
au traité passé avec la grande Maison d’édition mu-
1 mesnvo tllr?tre^ flleugel éditeur), le Charivari s’est mis
e tloürir à ses lecteurs et abonnés :
morceaux (Valses, Quadrilles, Polkas, Msz
'brbach**S’gnés des noms populaires d’Arbar, J. Strai
1 AlbumoI?USiet’ Gung’l, Bullini, Mirecki, etc., etc.
est ollert par le Charivari au prix de
tout a la danse
MAGNIFIQUE ALBUM
fPclUCS au lieu de
ler 1 lr. 50 pour le porl.)
30 francs
Prix du Numéro : 25 centimes MERCREDI 18 DÉCEMBRE 1889
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Trois mois. 20 l'r.
Six mois... 40 —
Un an. 80_
l'abonnement d’un an donne droit à la prime gratuite
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Politique, Littéraire et Artistique
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U é (I a c I c 111* eu Chef
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CHARIVARI
Le vole émis par les droites, à propos des fonds se-
crets, a une signitîcalion très importante.
Traduction libre :
— Ça se décolle.
La droite, en effet, s’est montrée tergiversante d’a-
borJ, puis elle s’est séparée en trois.
Donne occasion, si M. Routier était encore de ce
monde, pour rééditer sa célèbre théorie des trois
tronçons.
Le tronçonnage, par malheur, û’a jamais fait d’effet
que comme ligure de rhétorique.
Coupez en trois un serpent, il sera fortement in-
commodé.
C’est, je crois, le cas de la droite actuellement.
Elle espérait se glisser serpenlinement à travers
les obstacles. La voilà, du premier coup, arrêtée.
Il y a eu quelques intransigeants.
Il y a eu des abstentions
Il y a eu des transigeants.
Triple scission.
Ce sont les transigeants qui, si je ne m’abuse, fe-
ront prochainement école. On sent d s craquements
précurseurs.
Dame! il y a si longtemps que les droitiers ambi-
tieux attendent sous l’orme !
Ils ont bien le droit de se dire :
— C’est métier de dupe ; mieux vaut tenir que de
courir.
Et ils se le disent, n’en doutez pas.
Il y en a qui se le sont déjà dit.
Quel accueil doit-on leur faire?
Ils savent si bien, par expérience, à quel point la
monarchie est impuissante, qu’il n’y a pas à craindre
de t'ahison après la conversion.
Pourquoi joueraient ils de mauvais tours à la Ré-
publique, si la République leur fait bonne mine?
C’est peut-être le plus sage.
Tout en se rappelant, bien entendu, que méfiance
est mère desûreté, et en observant du coin de l’œil
ces nouveaux alliés.
On a toujours le droit de tenir les déserteurs en
surveillance.
Pierre Véron.
1?Gia ns
A LA PETITE SEMAINE
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Un homme vient de mourir dont le nom a remué
en moi un monde de souvenirs et de pensées.
Cet homme, c’est le marquis de Caux.
Ahl qu’elles sont lointaines, les impressions qui se
réveillent !
J’étais fillette. C’était le moment où la marquise
se sépara brusquement de son mari.
La marquise!... Comment a-t-elle jamais pu avoir
l’ambition de se faire appeler ainsi, quand elle était
déjà pour le monde entier la Patti 1
N’était-ce pas aspirer à descendre?
Je n’ai jamais compris, pour ma part, ce besoin
d’être quelque chose lorsque l’on a la chance d’être
quelqu’un ou quelqu’une.
La noblesse, qu’est-ce que cela à côté de la célé-
brité?
Bien souvent j’y ai songé depuis, et la chose est
devenue d’autant plus inintelligible, que le dénoue-
ment, à la suite, l’embrouilla encore davantage.
rW*
c/|\j
Ce dénouement, je n’ai pas à le rappeler.
Tout d’un coup, départ à deux. Puis procès. Pois
divorce, pour aboutir à être, en secondes noces, ta
femme du ténor Nicolini.
Je n’ai pas — les femmes doivent avoir l’esprit de
corps — je n’ai pas à apprécier ces variations fémi-
nines. Mais ce qui m’a toujours paru être un curieux
sujet d’étude, ce sont les sensations contradictoires
par lesquelles put bien passer M. de Caux à travers
ces vicissitudes inattendues.
Etonnant I II n’y paraissait guère. On peut presque
dire qu’il n’y paraissait pas du tout.
Cet automne encore, je le regardais aux courses
de Longchamps,
Il avait épaissi légèrement, mais il avait gardé la
même impassibilité égayée par un sourire vague.
Son lorgnon, incrusté dans l’œil, suivait avec le
même intérêt les évolutions des feuilletées qui cir-
culaient autour de lui. Et si quelqu’une manifestait
à sa vue quelque curiosité, il y paraissait toujours
sensible.
C’était, évidemment, un philosophe.
JÎV»
Autrement, combien aurait dû lui paraître cruel ce
revers de médaille conjugale !
Comme il aurait eu à faire d’amères réflexions sur
les retours des choses d’ici-bas !
Et avec cet ordre d’idées, nous entrons dans les
considérations générales qui m’ont souvent intri-
guée.
Je me suis souvent demandé comment un homme
peut s’exposer aux risques de ce rôle si difficile à
jouer ? Le rôle de m ri d’actrice 1
Il y a des exceptions heureuses, je le sais. Je vous
en citerais moi-même, et je les félicite.
Il n’en est pas moins vrai que la règle générale
crie :
— Ne passez pas par là.
D’abord, si j'étais homme, je serais férocement ja-
loux.
Et rien qu'à la pensée que chaque spectateur ou
auditeur me prend quelque chose de l’aimée, j’arri-
verais au paroxysme de la révolte.
Même comme maîtresse, la femme de théâtre me
paraîtrait un instrument de supplice atrocement per-
fectionné.