CINQUANTE-HUITIÈME ANNÉE
Its
abonnements
PA1US
Trois mois. *£ r±
Six mois. “ _
Un an.
ui/(immenls varient des et 16 de chaque mois
DIRECTION
Politique, Littéraire et Artistique
MËllItE VÉltON
Kéilacteur en Cbof
BUREAUX
r,B LA RÉDACTION BT DE L'ADMINISTRATION
Rue de la Victoire, 20
Prix du Numéro : 25 centimes
MERCREDI 25 DÉCEMBRE 1889
ABONNEMENTS
DÉPARTEMENTS
Trois mois. 20 fr.
Six mois..... 40 —
Un an. . 80 —
Vabonnement d’un an donne droit a ta prime gratuite
DIRECTION
Politique, Littéraire et Artistique
PIË II II E V Ê II o iV
Ilédaclcui' en en ex
ANNONCES
4D0LPHE EWIG, fermier db LA PUBLICITÉ
92, Rue Richelieu
LE CHARIVARI
PRIMES POUR 1890
Le Charivari, comme les années précédentes, s’est mis
en mesure d’offrir à ses abonnés une attrayante collection
de primes dont voici la nomenclature :
PRIMES GRATUITES
OFFERTES AUX ABONNÉS D'UN AN SEULEMENT
Tout abonnement d’UN AN, FAIT D’UNE SEULE FOIS ET
SANS INTERMÉDIAIRE, donne droit à une des trois primes
ira tuiles suivantes :
!' LE PETIT JOURNAL POUR RIRE
PARAISSANT TOUTES LES SEMAINES
Huit pages de texte et de dessins comiques, 52 numéros par an
r TROIS VOLUMES A CHOISIR
DES
CONTES GAILLARDS ET NOUVELLES PARISIENNES
Collection illustrée composée de douze volumes, format
in-12, imprimés avec grand luxe sur papier vélin teinté, titre
rouge et noir, couverture en bronze vert et couleurs, vendue au
prix de 5 FRANCS LE VOLUME.
Meunier. Chair à plaisir. Illustr. de A. Fepdinandus —
IUssiac. Joyeux Devis. 111. de Le Natur. — Maizkroy. Le
Mal d’aimer. III. de Courboin. — Maizeroy. Mire LonLa.
IH. de Jeanniot — Meunier Miettes d’Amour III. de A.
Ferdinandus — Brio. Chattes et Renards 111. de Japhet —
Su.ykstre. Le Péché d’Eve. III. de Rociiegrosse. — Flirt.
Doux Larcins. 111. de Le Natur — Bio. A Huis Clos. III-
deMarius Perret.— Meunier. Baisers tristes. 111. de R.-V.
Meunier. — Thilda. Pour se damner. 111. de Henriot. —
0'Cantin (W.). Peine de Cœur. Illustr. de Elzingre.
OFFERTES A TOUS LES ABONNÉS ET LECTEURS
1°LES DIAMANTS AMERICAINS
(Rock Spring Diamonds)
Ces pierres, très appréciées aux Etats-Unis, introduites
eu France depuis l’Exposition, remarquables pour leurs
leux naturels, sont taillées comme les véritables diamants
et montées à jour.
Par suite d’un traité avec la maison qui représente à
Paris les Diamants américains, Le Charivari offre à tous
ses abonnés et lecteurs, au prix de
20 francs au lieu de 5 O francs
Soit
Vue paire de boucles d’oreilles
Soit
Vue épingle en diamants américains
MONTURE BV OR
constituant un charmant cadeau d’étrennes.
Envoyer avec chaque demande un mandat de 20 francs
(plus un franc pour recevoir franco à domicile).
T
. Par un traité passé avec la grande Maison d’édition mu-
sicale le Ménestrel (Heugel éditeur), le Charivari s’est mis
en mesure d’offrir à ses lecteurs et abonnés :
TOUT A LA DANSE
MAGNIFIQUE ALBUM
contenant vingt morceaux (Valses, Quadrilles, Polkas, Mazur-
?[’ Galops) signés des noms populaires d’Arbac, J. Strauss,
raarbach, Broustet, Gung’l, Rubini, Mirecki, etc., etc.
U Album est offert par le Charivari au prix de
6 francs au neu de 30 francs
(“jouter 1 fr. 50 pour le port.)
——- 1 "i Qi g O <sssa—»-
Lss souscripteurs dont l’abonnement expire
le 31 Décembre sont prièsfde le renouveler
immédiatement, s’ils ne veulent pis éprouver
d'interruption dans l’envoi du journal.
bulle™ 'politique
Il n’y a pas à se le dissimuler, la politique est morne
en ce moment.
D’un côté, l’inüuenza; de l’autre, l’approche des
étrennes. On pense à autre chose.
Cependant., quelques épisodes»..ntretionneut l’at-
tention.
Dimanche dernier, c’était un punch.
Pas un punch d’indignation, un punch de sympa-
thie qu’on offrait à M. Mathé, député républicain et
socialiste.
Or, en réponse à un toast qui lui était dédié, l’ho-
norablepiMic/ie a prononcé cette phrase, qui m’a paru
digne d’être méditée :
« II a fallu, pour combattre le boulangisme, re-
noncer momentanément aux revendicarions -légiti-
mes du parti ouvrier ; mais dès que le péril sera
conjuré, et que le boulangisme sera passé à l’état de
souvenir, il faudra donner satisfaction aux aspira-
tions du travailleur. »
En même temps, nous Pouvions dans le Matin un
article de M. Emmanuel Arène, intitulé : La disci-
pline.
Et ce passage me sautait aux yeux :
« Un électeur du treizième arrondissement m’é-
crit, de la circonscription qui vanommer, dans quel-
ques semaines, un député, par suite de l’invalida-
tion de M Paulin Méry. Mon correspondant est, vi-
siblement, un modéré, non pas de ces modérés à la
façon de M. Armand Després et de ses amis de
Sceaux, qui votent pour les boulangistes en haine
des radicaux, mais un modéré raisonnable, j’oserais
presque dire un opportuniste, si je ne craignais de
compromettre l’excellent homme. lia voté aux élec-
tions dernières pour M. Basly, et ne le regrette pas ;
mais maintenant que c’est à refaire, il se demande,
et veut bien me demander, à moi aussi, s’il n’y au-
rait pas moyen de faire autrement. »
Ceci, rapproché de cela, ouvre des horizons qui
ne sont pas tout à fait roses.
J’y ai songé, moi aussi, et plusieurs fois, à ce
lendemain mystérieusement inquiétant.
Le boulangisme a fait un miracle incontestable.
Non pas un miracle eu faveur de sou prophète,
mais bien en faveur de la République.
Il a momentanément apaisé et rapproché par la
haine du césarisme.
On a vu les revendications intransigeantes faire
tout à coup silence et des socialistes ardents voter
pour un candidat de l’opportunisme, taudis que des
électeurs ultra pacifiques donnaient leurs voix à
M. Basly, l’homme des revendications ouvrières.
On a vu ce spectacle invraisemblable. Peut-être
le reverra-t-on encore pour les scrutins partiels qui
vont suivre les invalidations. Mais il y a un après,
très gros d’inconnu. . . .
M. Mathé le signifiait, dimanche : la lutte ne tar-
dera pas à reprendre, la lutte pour le progrès, aussi
acharnée que la lutte pour la vie'.
Dès que le boulangisme .sera définitivement
anéanti, on se remeltra à se struggler entre alliés de
la veille.
M. Basly présentera des propositions de loi qui
feront dresser les cheveux sur la Lête des gens qui
l’auront investi du mandat en vertu duquel il vien-
dra légiférer.
Nous entendrons éclater à nouveau les anathèmes
contre le bourgeois, les imprécations co .trele capi-
tal infâme.
Or, savez-vous à quelle conclusion mène directe-
ment cette constatation quasi officielle?
Il est p-em-iis d’en induire qu’au lieu de chercher à
écraser le boulangisme, un gouvernement bien avisé
l’entretiendrait doucement, afin de perpétuer à l’aide
de cet épouvantail la concorde éphémère.
Jadis on joua ainsi du speclre rouge.
Je ne sais pas au juste quelle nuance on pourrait
bien attribuer au spectre boulangiste, assez versico-
lore de sa nature. Mais ce qu’il y a de certain, c’est
qu’il a déjà rendu de fiers services et qu’il pourrait
en rendre encore; c’est que, le jour où il sera sup-
primé définitivement, on le regrettera, n’en doutez
pas.
Car, ce jour-là, ceux qui s’embrassaient recom-
menceront à se morire, ceux qui se tendaient la
main recommenceront à se montrer le poing.
Pierre Véron.
A LA PETITE SEMAINE
L1V
On vient de condamner un curé aux travaux for-
cés à perpétuité.
Bien que l’arrêt n’ait pas été prononcé à Paris, il
intéresse tout le monde, et spécialement les femmes.
C’est pourquoi je me permettrai de le commenter
brièvement.
Comme toutes les jeunes filles, j’ai passé par le
confessionnal, et voilà pourquoi ces souvenirs d’an-
fan m’émeuvent profondément lorsque je vois un
prêtre tomber sous le coup de la loi.
Car je me rappelle qu’à un autre prêtre — qui pou-
vait, plus tard, être reconnu indigne, sinon crimi-
nel — la piété me forçait à ouvrir mou cœur, à con-
ter ma vie, à étaler les plus intimes secrets de ma
conscience.
En vérité, de tels exemples ne suffisent-ils pas à
démontrer toute l’odieuse absurdité de cette règle
catholique qui peut ainsi livrer les honnêtes gens à
l’exploitation, à la curiosité d’un homme accessible
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r TROIS VOLUMES A CHOISIR
DES
CONTES GAILLARDS ET NOUVELLES PARISIENNES
Collection illustrée composée de douze volumes, format
in-12, imprimés avec grand luxe sur papier vélin teinté, titre
rouge et noir, couverture en bronze vert et couleurs, vendue au
prix de 5 FRANCS LE VOLUME.
Meunier. Chair à plaisir. Illustr. de A. Fepdinandus —
IUssiac. Joyeux Devis. 111. de Le Natur. — Maizkroy. Le
Mal d’aimer. III. de Courboin. — Maizeroy. Mire LonLa.
IH. de Jeanniot — Meunier Miettes d’Amour III. de A.
Ferdinandus — Brio. Chattes et Renards 111. de Japhet —
Su.ykstre. Le Péché d’Eve. III. de Rociiegrosse. — Flirt.
Doux Larcins. 111. de Le Natur — Bio. A Huis Clos. III-
deMarius Perret.— Meunier. Baisers tristes. 111. de R.-V.
Meunier. — Thilda. Pour se damner. 111. de Henriot. —
0'Cantin (W.). Peine de Cœur. Illustr. de Elzingre.
OFFERTES A TOUS LES ABONNÉS ET LECTEURS
1°LES DIAMANTS AMERICAINS
(Rock Spring Diamonds)
Ces pierres, très appréciées aux Etats-Unis, introduites
eu France depuis l’Exposition, remarquables pour leurs
leux naturels, sont taillées comme les véritables diamants
et montées à jour.
Par suite d’un traité avec la maison qui représente à
Paris les Diamants américains, Le Charivari offre à tous
ses abonnés et lecteurs, au prix de
20 francs au lieu de 5 O francs
Soit
Vue paire de boucles d’oreilles
Soit
Vue épingle en diamants américains
MONTURE BV OR
constituant un charmant cadeau d’étrennes.
Envoyer avec chaque demande un mandat de 20 francs
(plus un franc pour recevoir franco à domicile).
T
. Par un traité passé avec la grande Maison d’édition mu-
sicale le Ménestrel (Heugel éditeur), le Charivari s’est mis
en mesure d’offrir à ses lecteurs et abonnés :
TOUT A LA DANSE
MAGNIFIQUE ALBUM
contenant vingt morceaux (Valses, Quadrilles, Polkas, Mazur-
?[’ Galops) signés des noms populaires d’Arbac, J. Strauss,
raarbach, Broustet, Gung’l, Rubini, Mirecki, etc., etc.
U Album est offert par le Charivari au prix de
6 francs au neu de 30 francs
(“jouter 1 fr. 50 pour le port.)
——- 1 "i Qi g O <sssa—»-
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immédiatement, s’ils ne veulent pis éprouver
d'interruption dans l’envoi du journal.
bulle™ 'politique
Il n’y a pas à se le dissimuler, la politique est morne
en ce moment.
D’un côté, l’inüuenza; de l’autre, l’approche des
étrennes. On pense à autre chose.
Cependant., quelques épisodes»..ntretionneut l’at-
tention.
Dimanche dernier, c’était un punch.
Pas un punch d’indignation, un punch de sympa-
thie qu’on offrait à M. Mathé, député républicain et
socialiste.
Or, en réponse à un toast qui lui était dédié, l’ho-
norablepiMic/ie a prononcé cette phrase, qui m’a paru
digne d’être méditée :
« II a fallu, pour combattre le boulangisme, re-
noncer momentanément aux revendicarions -légiti-
mes du parti ouvrier ; mais dès que le péril sera
conjuré, et que le boulangisme sera passé à l’état de
souvenir, il faudra donner satisfaction aux aspira-
tions du travailleur. »
En même temps, nous Pouvions dans le Matin un
article de M. Emmanuel Arène, intitulé : La disci-
pline.
Et ce passage me sautait aux yeux :
« Un électeur du treizième arrondissement m’é-
crit, de la circonscription qui vanommer, dans quel-
ques semaines, un député, par suite de l’invalida-
tion de M Paulin Méry. Mon correspondant est, vi-
siblement, un modéré, non pas de ces modérés à la
façon de M. Armand Després et de ses amis de
Sceaux, qui votent pour les boulangistes en haine
des radicaux, mais un modéré raisonnable, j’oserais
presque dire un opportuniste, si je ne craignais de
compromettre l’excellent homme. lia voté aux élec-
tions dernières pour M. Basly, et ne le regrette pas ;
mais maintenant que c’est à refaire, il se demande,
et veut bien me demander, à moi aussi, s’il n’y au-
rait pas moyen de faire autrement. »
Ceci, rapproché de cela, ouvre des horizons qui
ne sont pas tout à fait roses.
J’y ai songé, moi aussi, et plusieurs fois, à ce
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Le boulangisme a fait un miracle incontestable.
Non pas un miracle eu faveur de sou prophète,
mais bien en faveur de la République.
Il a momentanément apaisé et rapproché par la
haine du césarisme.
On a vu les revendications intransigeantes faire
tout à coup silence et des socialistes ardents voter
pour un candidat de l’opportunisme, taudis que des
électeurs ultra pacifiques donnaient leurs voix à
M. Basly, l’homme des revendications ouvrières.
On a vu ce spectacle invraisemblable. Peut-être
le reverra-t-on encore pour les scrutins partiels qui
vont suivre les invalidations. Mais il y a un après,
très gros d’inconnu. . . .
M. Mathé le signifiait, dimanche : la lutte ne tar-
dera pas à reprendre, la lutte pour le progrès, aussi
acharnée que la lutte pour la vie'.
Dès que le boulangisme .sera définitivement
anéanti, on se remeltra à se struggler entre alliés de
la veille.
M. Basly présentera des propositions de loi qui
feront dresser les cheveux sur la Lête des gens qui
l’auront investi du mandat en vertu duquel il vien-
dra légiférer.
Nous entendrons éclater à nouveau les anathèmes
contre le bourgeois, les imprécations co .trele capi-
tal infâme.
Or, savez-vous à quelle conclusion mène directe-
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Il est p-em-iis d’en induire qu’au lieu de chercher à
écraser le boulangisme, un gouvernement bien avisé
l’entretiendrait doucement, afin de perpétuer à l’aide
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Jadis on joua ainsi du speclre rouge.
Je ne sais pas au juste quelle nuance on pourrait
bien attribuer au spectre boulangiste, assez versico-
lore de sa nature. Mais ce qu’il y a de certain, c’est
qu’il a déjà rendu de fiers services et qu’il pourrait
en rendre encore; c’est que, le jour où il sera sup-
primé définitivement, on le regrettera, n’en doutez
pas.
Car, ce jour-là, ceux qui s’embrassaient recom-
menceront à se morire, ceux qui se tendaient la
main recommenceront à se montrer le poing.
Pierre Véron.
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On vient de condamner un curé aux travaux for-
cés à perpétuité.
Bien que l’arrêt n’ait pas été prononcé à Paris, il
intéresse tout le monde, et spécialement les femmes.
C’est pourquoi je me permettrai de le commenter
brièvement.
Comme toutes les jeunes filles, j’ai passé par le
confessionnal, et voilà pourquoi ces souvenirs d’an-
fan m’émeuvent profondément lorsque je vois un
prêtre tomber sous le coup de la loi.
Car je me rappelle qu’à un autre prêtre — qui pou-
vait, plus tard, être reconnu indigne, sinon crimi-
nel — la piété me forçait à ouvrir mou cœur, à con-
ter ma vie, à étaler les plus intimes secrets de ma
conscience.
En vérité, de tels exemples ne suffisent-ils pas à
démontrer toute l’odieuse absurdité de cette règle
catholique qui peut ainsi livrer les honnêtes gens à
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