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Le dessin à l'école et dans la famille: revue d'éducation esthétique — 3.1924/​1925

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No. 2 (1er novembre 1924)
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https://doi.org/10.11588/diglit.43075#0051
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Les serpents n’offrent guère d’intérêt pour
les arts décoratifs. On compose pourtant de
jolis supports de lampadaires avec cet élément
qui demande une grande habileté d’interpré-
tation.
Les tortues.
Les chéloniens, ou tortues, s’abritent sous
une carapace formée de deux boucliers indé-

pendants et soudés, la dossier e et le plastron.
On distingue les tortues fluviales, marines, pa-
lustres, terrestres, selon qu’elles vivent dans
les fleuves, la mer, les marais ou sur la terre.
Les tortues, par la lourdeur de leurs formes
et leurs couleurs ternes, ne sont guère utili-
sables dans le décor peint, mais on les trouve
joliment interprétées par la sculpture qui en
tire des bibelots non dépourvus d’agrément.
(A suivre).


POUR LES GRANDES SCEÜRS

Un coussin.

Les coussins, toujours à la mode, garderont
les faveurs des Grandes Sœurs. Voici un modèle
ovale décoré de poissons. (Voir l’article : Com-
position décorative, du n° d’octobre ; on y trou-
vera des croquis de poissons-)
Cette broderie se fera au point de tige, en

soie rouge, sur un fond de toile écrue. Les al-
gues seront brodées en soie verte. Le coussin
pourra s’agrémenter d’un volant décoré de pois
au plumetis et bordé d’un feston.Ces ornements
seront brodés en rouge sur toile écrue.
Mte L.


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