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https://doi.org/10.11588/diglit.43075#0327
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1. Ch. Blanc. Grammaire, des arts du dessin.
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distance
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dimension. « Par exemple, pour saisir d’un coup
d’œil un bâton qui a un mètre de longueur, il
faut se placer à la distance de trois mètres, si
l’on est doué d’une vue ordinaire.
» Supposons que le peintre se mette à la fenê-
tre de sa chambre pour regarder la campagne :
les objets qui se présenteront à sa vue seront si
nombreux et occuperont une si vaste étendue
qu’il lui faudra tourner la tête et promener ses
regards dans le paysage pour en voir, l’une après
Ce que nous avons déjà dit du croquis, dans
nos précédents numéros, convient au paysage.
Le paysage, en effet, ne comprend pas unique-
ment les vues complètes de sites et les panora-
mas ; ce genre comporte encore un chemin creux
perdu dans la campagne, un sentier sous bois,
une ferme, une église de campagne, une chau-
mière ombragée d’un vieil arbre, etc.
Composii
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11 est u — co
l’on veut E
grande ét ET
obtenir 1’
le genre i E
1 autre, les diverses parties. S il rentre a recu-
lons dans sa chambre, l’étendue diminuera, et
si l’ouverture de la croisée a un mètre de large
et qu’il s’en éloigne de trois mètres, cette dis-
tance lui fournira la mesure de l’espace qu’il
peut embrasser d’un seul regard. La croisée sera
le cadre tout tracé de son tableau 1 ».
Avant de dessiner, il faudra donc rechercher
la partie du paysage que l’on peut normalement
considérer d’un seul regard et la délimiter
soigneusement. On tracera ensuite le cadre du
tableau A B C D (fig. 1) ; la ligne A B sera la
Sa nature.
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1. Ch. Blanc. Grammaire, des arts du dessin.
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dimension. « Par exemple, pour saisir d’un coup
d’œil un bâton qui a un mètre de longueur, il
faut se placer à la distance de trois mètres, si
l’on est doué d’une vue ordinaire.
» Supposons que le peintre se mette à la fenê-
tre de sa chambre pour regarder la campagne :
les objets qui se présenteront à sa vue seront si
nombreux et occuperont une si vaste étendue
qu’il lui faudra tourner la tête et promener ses
regards dans le paysage pour en voir, l’une après
Ce que nous avons déjà dit du croquis, dans
nos précédents numéros, convient au paysage.
Le paysage, en effet, ne comprend pas unique-
ment les vues complètes de sites et les panora-
mas ; ce genre comporte encore un chemin creux
perdu dans la campagne, un sentier sous bois,
une ferme, une église de campagne, une chau-
mière ombragée d’un vieil arbre, etc.
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obtenir 1’
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1 autre, les diverses parties. S il rentre a recu-
lons dans sa chambre, l’étendue diminuera, et
si l’ouverture de la croisée a un mètre de large
et qu’il s’en éloigne de trois mètres, cette dis-
tance lui fournira la mesure de l’espace qu’il
peut embrasser d’un seul regard. La croisée sera
le cadre tout tracé de son tableau 1 ».
Avant de dessiner, il faudra donc rechercher
la partie du paysage que l’on peut normalement
considérer d’un seul regard et la délimiter
soigneusement. On tracera ensuite le cadre du
tableau A B C D (fig. 1) ; la ligne A B sera la