CHAPITRE IV.
DES SOLIDES DE RÉVOLUTION.
CONSIDÉRATIONS THÉORIQUES.
En général, on donne le nom de solides de révolution à un grand
nombre de corps ronds ou mixtes, dont les plus caractéristiques et les
seuls que décrivent tous les traités de géométrie, sont les trois suivants :
le cylindre, le cône et la sphère.
Ces solides sont engendrés par la rotation d'une ligne tantôt droite,
tantôt circulaire, appelée génératrice, tournant autour d'un axe fixe situé
dans le même plan. Dans ce mouvement circulaire, chaque point de la
génératrice décrit un cercle dont le plan est perpendiculaire à l'axe
servant de charnière.
Le plus simple de tous ces corps est le cylindre : celui-ci est engendré
par la rotation d'un rectangle ou d'un polygone plan carré autour d'un
de ses côtés considéré comme charnière ou axe (planche XXXVII,
figures I et II).
Les bases du cylindre sont les deux cercles décrits par les côtés du
plan générateur perpendiculaires à l'axe.
H
DES SOLIDES DE RÉVOLUTION.
CONSIDÉRATIONS THÉORIQUES.
En général, on donne le nom de solides de révolution à un grand
nombre de corps ronds ou mixtes, dont les plus caractéristiques et les
seuls que décrivent tous les traités de géométrie, sont les trois suivants :
le cylindre, le cône et la sphère.
Ces solides sont engendrés par la rotation d'une ligne tantôt droite,
tantôt circulaire, appelée génératrice, tournant autour d'un axe fixe situé
dans le même plan. Dans ce mouvement circulaire, chaque point de la
génératrice décrit un cercle dont le plan est perpendiculaire à l'axe
servant de charnière.
Le plus simple de tous ces corps est le cylindre : celui-ci est engendré
par la rotation d'un rectangle ou d'un polygone plan carré autour d'un
de ses côtés considéré comme charnière ou axe (planche XXXVII,
figures I et II).
Les bases du cylindre sont les deux cercles décrits par les côtés du
plan générateur perpendiculaires à l'axe.
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